Fiodor Dostoïevski

socio-historique  dans lequel sont apparus ces chefs-d’œuvre de la littérature mondiale. Il permettra de découvrir la tradition orale (contes, bylines), l'apparition tardive mais fulgurante de ceux qu'on appellera les Grands Classiques (Pouchkine, Tolstoï, Dostoïevski), l'inventivité burlesque de la veine fantastique (Gogol, avant Boulgakov), la force de la littérature de témoignage et de contestation depuis le 17e siècle (d’Avvakum à Chalamov), la profondeur du renouveau théâtral (Tchekhov)...  Le XXe siècle

Julia CHARDAVOINE « L’ACTE GRATUIT » DANS CRIME ET CHÂTIMENT DE F. DOSTOÏEVSKI ET LES CAVES DU VATICAN D’A. GIDE Mémoire de Master sous la direction de Monsieur Philippe CHARDIN. École Normale Supérieure Lettres et Sciences Humaines. Section Lettres et Arts. Août 2008. 1 INTRODUCTION.......................................................................................................................................... 3 1 1.1 1.1.1 1.1.2 1.1.3 1.2 1.2.1 1.2.2 1.2.3 1.3 1.3.1 1.3.2

une denrée qui se vend au kilos ». De plus, une description est subjective, l’auteur choisit de décrire tels ou tels détails, ce qui oriente le point de vue du lecteur. Breton, dans son Manifeste, cite un extrait du roman Crime et Châtiment de Dostoïevski : « la petite pièce dans laquelle le jeune homme fut introduit était tapissée de papier jaune: il y avait des géraniums et des rideaux de mousselines aux fenêtres » . Les descriptions seraient donc un subtile moyen de faire adhérer le lecteur aux

CHEVALIER AU LION ; LE CONTE DU GRAAL. P .CLAUDEL : L'ANNONCE FAITE À MARIE ; LE SOULIER DE SATIN ; CINQ GRANDES ODES. J. COCTEAU : LA MACHINE INFERNALE ; LES ENFANTS TERRIBLES. COLETTE : SIDO/LES VRILLES DE LA VIGNE. DAUDET : LE PETIT CHOSE. DOSTOÏEVSKI : CRIME ET CHÂTIMENT ; L'IDIOT ; LES FRÈRES KARAMAZOV. M DURAS : HIROSHIMA MON AMOUR ; UN BARRAGE CONTRE LE PACIFIQUE. ÉLUARD : CAPITALE DE LA DOULEUR ; DERNIERS POÈMES D'AMOUR. FLAUBERT : MADAME BOVARY ; L'ÉDUCATION SENTIMENTALE ; SALAMBO

négation des valeurs morales sociologiquement acceptées et plus généralement, la négation de l'existence d'une réalité substantielle. Nihilisme et littératur Des écrivains comme Dostoïevski dans Les Démons et Émile Zola dans Germinal montrent et éventuellement dénoncent le danger de l'extrémisme et du nihilisme. Dostoïevski constate la difficulté de concilier l'idée d'un Dieu bon et tout-puissant avec l'existence du mal. Le mal, surtout, le tourmente. D'un autre côté, il constate que l'athéisme occidental

L’éternel mari Intro : Dans ce texte extrait du roman "L'éternel mari" de Dostoïevski publié en 1870, PP rend visite pour la deuxième fois à V, et lui annonce la mort de Bagaoutov, également amant de Natalia Vissilievna. Tout le roman tourne autour du triangle amoureux, mais se recentre justement ici sur le rapport entre amant et mari, puisque N est morte, les laissants seul face à face. Cet extrait se situe au chapitre intitulé "Le mari et l'amant s'embrassent", ce qui tend à faire croire à

Dostoïevski Dostoïevski se rend à Baden Baden, il est accompagné de Pauline Soslova. A cette époque vont apparaître les œuvres "Le joueur" en 1866. Comme dans le roman, Dostoïevski lui même ne peut pas résister à l'attrait de l'argent facile. IL montre que même ceux qui sont protégés de l'argent se font engloutir. Le personnage principal va oublier l'existence de Pauline. IL va essayer de gagner de l'argent facile. Ça montre avec quelle facilité les aristocrates russes jouent et perdent. L'extraordinaire

compare à un « prophète des temps modernes ». D'autres auteurs, tel Victor Hugo, font du vaincu de Sainte-Hélène le « Prométhée_ moderne ». L'ombre de « Napoléon le Grand » plane sur de nombreux ouvrages de _Balzac, Stendhal, Musset, mais aussi de Dostoïevski, de Tolstoï_ et de bien d'autres encore._

de sa rude vie de condamné, dont le fond est décrit de fond en comble dans ce « carnet de bord ». En réalité, Alexandre Petrovitch est Dostoïevski : en effet, celui-ci raconte sa propre vie durant les quatre ans (1850-1854) qu’il a passé aux travaux forcés, en Sibérie,  comme condamné politique. En réalité, Alexandre Petrovitch est Dostoïevski : en effet, celui-ci raconte sa propre vie durant les quatre ans (1850-1854) qu’il a passé aux travaux forcés, en Sibérie,  comme condamné politique

subconscient, aux choses cachées apparemment insignifiantes : un réel plus profond est à découvrir. Ce que les réalistes avaient, selon Sarraute, aperçu. Les initiateurs de cette dissolution : Dostoïevski, Kafka. Le personnage a peu à peu perdu ses attributs et prérogatives jusqu’à devenir vide et anonyme. Dostoïevski : personnages dans des états paroxystiques pour se frayer un chemin vers autrui et de lui faire perdre son opacité pour révéler les plus secrets replis. Kafka : les espaces entre les êtres