Flaubert Bouvard Et Pécuchet

Lecture analytique n° 3 : Flaubert, Madame Bovary (1857) Gustave Flaubert (1821 – 1880) : Flaubert est l'un des plus grands romanciers français du XIXème siècle. Il est connu pour ses romans réalistes (comme Madame Bovary, publié en 1857), pour son analyse lucide et pénétrante des rapports entre les hommes et les femmes et surtout pour la force de son style, reconnaissable entre tous, ainsi que pour son ironie discrète mais féroce. Il provient d'un milieu bourgeois plutôt à l'aise ; son père était

Bonne de madame Bovary Analyse Flaubert disséquant Madame Bovary.(Caricature d’A. Lemot parue dans La Parodie en 1869). Madame Bovary recèle des aspects réalistes et des aspects romantiques, comme l’œuvre de Flaubert, qui oscille elle-même sans cesse de la grisaille à la couleur, de la terne réalité aux fastes de l’imagination. Il y a loin de l’Éducation sentimentale à Salammbô, de Bouvard et Pécuchet à La Tentation de saint Antoine. Mais même lorsque Flaubert entend écrire sur un sujet trivial

« Contre la bêtise, les Dieux même luttent en vain » Dans sa correspondance, Flaubert évoquait son désir de rédiger une « encyclopédie de la bêtise humaine ». Vaste entreprise, que l’on retrouve dans Bouvard et Pécuchet . Si démesurée que le pauvre Bouvard n’y résista pas : il mourut en 1880, laissant l’ouvrage inachevé. Qu’entend-on par « bêtise » ? Les multiples acceptions du mot nous amènent aujourd’hui à nous interroger sur ses origines, son existence, épisodique ou permanente, et ses

vraisemblance : les personnages sont le miroir des hommes, le reflet du réel.  L’imitation du réel est l’objectif du romancier. Ils sont ancrés dans un temps, une époque et un lieu déterminés (ex : univers de bourgeois de province dans Mme Bovary de Flaubert). Les procédés littéraires : les efforts du romancier se concentrent vers cette quête. Le réalisme. (ex : souci de précision, souci du détail dans la description des personnages et du lieu dans lequel ils évoluent : la Maison Vauquer dans le Père

d’autre contenu que l’acte par lequel elle se profère, elle n’a d’autre origine que le langage lui-même. Le texte est un espace à dimensions multiples. Il est un tissu de citations issues de mille foyers de la culture. Pareil à Bouvard et Pécuchet (de Flaubert) l’écrivain ne peut qu’imiter un geste toujours antérieur, jamais originel. Son seul pouvoir est de mêler les écritures, voudrait-il s’exprimer, du moins devrait-il savoir que la « chose » intérieure qu’il a l’intention de « traduire »

Balzac définit par sa pratique le canon du roman. Gustave Flaubert : (1857-1880) critique les excès et les ridicules de la bourgeoisie qui rend les gens malheureux et bêtes. (Madame Bovary /gagne son procès pour immoralité, en 1857/, L'Éducation sentimentale /1869/, Bouvard et Pécuchet /1880/). Il aborde parfois des thèmes exotiques dans un esprit réaliste (Salammbô (1862), Trois Contes /1877/, La Tentation de Saint Antoine /1874/) Flaubert lit beaucoup de sources pour se renseigner sur les milieux

rires et les pleurs ne sont que des moments qui passent, et qui, au final, ne nous apportent rien. La vie se réduit à la monotonie, et toute forme de sentiment autre n’est que superficiel. C’est ce que nous rappelle Flaubert dans ses différents écrits philosophiques. Dans Bouvard et Pécuchet bien sûr, où ces deux personnages n’arrivent pas à chasser la monotonie de leur vie. Il est important de citer aussi son œuvre la plus connue Madame Bovary, dans laquelle il arrive à donner forme à l’ennui : « sa

meubles de sa chambre, toutes les robes qu’elle avait portées, les gens qu’elle fréquentait ; et le désir de la possession physique même disparaissait sous une envie plus profonde, dans une curiosité douloureuse qui n’avait pas de limites. » « Flaubert s’est inspiré de ses connaissances, Maurice Schlésinger, homme d’affaire influent du monde artistique et mari d’Elisa Schlésinger, le premier amour de l’auteur, pour composer la famille Arnoux » C’est pourquoi la formule déjà cité « Ce fut comme

| Documents complémentaires | Groupement de textes 1: Le personnage en question (en lien avec le portrait en image) * Mme de La Fayette, La princesse de Clèves, 1678 * Diderot, Jacques le Fataliste et son maître, 1796 * Gustave Flaubert, Bouvard et Pécuchet, 1881 * Jean-Paul Sartre, La nausée, 1938 * Sylvie Germain, Magnus, 2005Groupement de textes 2 : Portraits réalistes * Balzac, César Birotteau, portrait de Mlle Gamard * Stendhal, Lucien Leuwen, portrait de Mlle * Zola, La curée

elle qui est à la fois domine et dominante. Elle a trompé son mari, abandonner son père mais elle est quand même domine par Rastignac. Elle a trompe son mari, abandonne son père. Rastignac rompt avec mais va mettre sa future à l’abri. Gustave Flaubert : l'éducation sentimentale C'est un roman de 19 siècle. C'est l'histoire de Fréderic moreau, Ca retrace son parcours, jeune provinciale qui arrive à paris, il a une grande passion qui restera toujours platonique. Madame Bovary est Fréderic Moreau