Fle Rire

qu'il veut, c'est apprendre l'orthographe, apprendre à prononcer les voyelles, à différencier les vers de la prose, car tout ceci lui sera nécessaire dans sa rédaction d'un mot doux. Acte III Nicole, la servante, est prise par un énorme fou rire en voyant monsieur Jourdain habillé tel un gentilhomme. Par contre, madame Jourdain ne réagit pas de la même manière, puisqu'elle n'hésite pas à faire part à son mari qu’elle le trouve ridicule. Après cela, c'est l'arrivée de Dorante, un comte que

parait paisible. o Parlez-vous intérieurement en vous concentrant sur des idées et des affirmations positives, et sur des énoncés qui laissent l'empreinte du mot oui. o Allez voir un film comique ou à un cabaret de comédie tout simplement pour rire; le rire soulage la tension et remonte le moral. o Vous pouvez soulager votre tension en pleurant aussi, tout aussi bien qu'en riant; ce n'est pas un signe de faiblesse, et cela peut vous procurer une très grande sérénité par la suite. o La lecture d'un

divertissant et amusant. Les extraits de pièce de théâtre présents dans le corpus nous amènent à réfléchir sur le vrai rôle du comique. Nous pouvons donc nous poser une question : Les aspects comiques d’une pièce de théâtre ne servent-ils qu’à faire rire? Dans un premier temps, nous analyserons les documents donnés. Dans une seconde partie, nous utiliserons des exemples extérieurs, des connaissances personnelles au corpus. Le premier document constitue un extrait de la scène 4 de l’acte II de

toujours là. Et même quand tout s'écroulera autour de moi, je serais encore là. - Ne vous fiez pas à mon sourire, c'est si facile face à vous de cacher ma peine par le rire! - « Être fort, c'est rayonner de bonheur quαnd on est mαlheureux. C'est de donné, sans retour. C'est de sourire quand on a envie de pleurer. C'est faire rire quand on a le coeur en morceaux. C'est consoler quand on a besoin d'être consoler sois-même.. C'est croire en ceux qui ne croient pas en eux-même. » - Parler autant que

Premièrement, le charme de la comédie, c’est surtout le rire, la sourire. La comédie fait rire en se moquant des vices de l’homme et de l’absurdité de ce qui l’entoure comme la société ou encore le monde dans lequel il vit. Le spectateur peut alors se libérer de ses angoisses en se sentant supérieur aux personnages avec leurs défauts. Ce qui nous fait rire est c’est aussi l’exagération, l’excès dans les situations, les mots, les gestes, ou les caractères : par exemple dans Le Bourgeois Gentilhomme

Faisons entrer le rire dans l'entreprise", cela peut paraître un peu utopique et pourtant, un peu d'humour dans le monde rationnel du travail ferait du bien à tout le monde !Certes, le boulot, c'est sérieux. Mais qui a dit que l'on ne pouvait pas faire correctement son travail tout en plaisantant de temps en temps ? Je suis persuadée qu'un travail est mieux fait lorsqu'il a été mené dans une ambiance conviviale et détendue plutôt que de manière hyper sérieuse et guindée.L'humour, c'est un état d'esprit

amusante mais une œuvre traitant de sujets médiocres, mettant en scène des personnages n'étant ni des dieux, ni des nobles, ni des personnages fantastiques mais appartenant à la bourgeoisie ou au peuple. On parle alors d'histoire comique. Pour faire rire au théâtre, il existe différents procédés qui reposent sur des moyens différents. Le comique de situation: Il intervient lorsque c'est la situation en elle-même qui devient drôle. Cela peut être le cas lorsqu'on met un personnage en difficulté

d’interdit et de limite ce sont des réactions brutes et libres. Exemple : j’ai faim je pleure, j’ai envie de bonbons, je me serre Chez l’adulte, l’enfant libre est repérable lorsque la personne exprime sans détours ses émotions (saut, embrassades, éclats de rire, cris de terreur, pleurs...) Dans l' Enfant Naturel se trouve la source de nos émotions les plus authentiques. Nous sommes dans notre Enfant Naturel lorsque nous pleurons à gros sanglots ou lorsque nous rions aux éclats. Il est assez rare de voir des

comique - Le comique de répétition est classique, mais ici, il est volontairement souligné à outrance par les jeux d’opposition et de rigoureuse symétrie ; les personnages deviennent des mécaniques qui tournent à vide (cf. formule de Bergson sur le rire provoqué par « du mécanique plaqué sur du vivant »). - Le comique traditionnel est mis à distance : les personnages de Blazius et de Dame Pluche reposent sur des stéréotypes (le vieux prêtre ivrogne et pédant mais débonnaire, la vieille fille

deux protagonistes pour la gestuelle dans le récit d’Agnès (Acte II, 5) avec les révérences répétées pour mimer la rencontre. Pour Arnolphe, on peut dire à l’acte I, scène 4 ou à l’acte III, scène 4, avec des mimiques suggérées par les apartés, ou le rire forcé. On retrouve les personnages comiques chers à Molière : le valet, ici doublé du paysan. Ces rôles lui permettent de jouer sur les accents, le patois, les fautes de langue, tels « les biaux messieurs » que parle Georgette. Mais la pièce comporte