Flocon de neige

les niveaux d'eau 2) L'évaporation Évaporation = passage de l'eau de l'état liquide à l'état gazeux, l'état gazeux étant la vapeur d'eau. Sublimation = passage de l'état solide à l'état liquide = évaporation de la neige a) Les sources de l'évaporation les eaux de surface : les océans, principale source, glaciers, neiges éternelles, lacs, cours d'eau les eaux du sol : sols = formation meuble composée d'éléments minéraux et organiques, sol se forme par

éclats de noisettes torréfiées -Chocolat noir 70% de cacao aux écorces d’oranges confites -Chocolat noir 70% de cacao aux écorces de citrons confites -Chocolat noir 70% de cacao aux billettes de riz soufflé -Chocolat noir 70% de cacao aux flocons de banane -Chocolat noir 70% de cacao à la cannelle -Chocolat noir 70% de cacao à la fleur de sel -Chocolat noir 70% de cacao à la menthe poivrée -Chocolat noir 70% de cacao à l’anis vert -Tablette de chocolat noir 100% de cacao -Tablette

inscrire chez le voiturier, on résolut de partir un mardi matin, avant le jour, pour éviter tout rassemblement. Depuis quelque temps déjà la gelée avait durci la terre, et le lundi, vers trois heures, de gros nuages noirs venant du nord apportèrent la neige qui tomba sans interruption pendant toute la soirée et toute la nuit. A quatre heures et demie du matin, les voyageurs se réunirent dans la cour de l'hôtel de Normandie, où l'on devait monter en voiture. Ils étaient encore pleins de sommeil, et grelottaient

je t'aime, tu serais étonnée car moi aussi je l'ai été quand je t'ai perdue.  Tu es la diablesse qui a mis à feu mon coeur, et qui entretient cette flamme au fond de moi... Je t’aime  C'est seulement quand les corbeaux seront blanc et que la neige sera noire que ton nom s'effacera de ma mémoire.  je suis la seul drogue que tu peut te procurer sans ordonnance ! (bellezza)  Tu dois être essoufflé à force de courir dans mes rêves.  Ne plus être avec toi à cette heure, ne plus entendre

et s'évapore : elle détient de la vapeur d'eau qui forme les nuages. Ceux-ci sont poussés par le vent et lorsqu'ils traverse esnt des régions froides, la vapeur d'eau se refroidit. Elle retombe sur la sol, sous forme de pluie, de neige ou de grêle. Quand l'eau de pluie arrive sur le sol, elle peut : - s'évaporer dans l'atmosphère - ruisseler sur le sol et alimenter les ruisseaux, rivières et fleuves - s'infiltrer dans le sous-sol et alimenter les nappes souterraines. 8 Schéma

inscrire chez le voiturier, on résolut de partir un mardi matin, avant le jour, pour éviter tout rassemblement. Depuis quelque temps déjà la gelée avait durci la terre, et le lundi, vers trois heures, de gros nuages noirs venant du nord apportèrent la neige qui tomba sans interruption pendant toute la soirée et toute la nuit. A quatre heures et demie du matin, les voyageurs se réunirent dans la cour de l'hôtel de Normandie, où l'on devait monter en voiture. Ils étaient encore pleins de sommeil, et

dure à enlever et vérifier leur travaille. ‑Le troisième groupe lui devait crée « une forêt de sapin enneigés ». Sur une feuille ¼ raisin de couleur bleu nuit ou noir, ils devaient tracé des traits verticaux à la peinture blanche pour simuler la neige tombant. Ont faisant les traits à l'aide de son index ou de son majeur. Pour les moyennes sections les groupes étaient divisés en deux : ‑l'un des groupes devaient retrouvé et entouré les lettres de quelques personnage de l'histoire « la lettre

Dans l'interminable Ennui de la plaine La neige incertaine Luit comme du sable. Le ciel est de cuivre Sans lueur aucune. On croirait voir vivre Et mourir la lune. Comme les nuées Flottent gris les chênes Des forêts prochaines Parmi les buées. Le ciel est de cuivre Sans lueur aucune. On croirait voir vivre Et mourir la lune. Corneille poussive1 Et vous, les loups maigres, Par ces bises aigres2 Quoi donc vous arrive? Dans l'interminable Ennui de la plaine La neige incertaine Luit comme du sable Le poème

narrateur utilise des termes forts et dévalorisants pour dénoncer les abus du Makhzen. 29 Poésie maghrébine 30 Salam sur GAZA Dans les bras de la lumière Et la beauté du monde En dépit du plomb durci A la barbe des sanguinaires Ces flocons de neige Pour apaiser la terre Du feu qui lui brûle les lèvres Pourquoi aimez-vous tant les cendres Quand la braise nourrit mon cœur Tendre dans les cours des rivières Pourquoi détruisez-vous mon limon Réduit en poussière Le soleil vous fait-il

presser ; Vous ! qui fûtes son doux Messie, L'avez-vous rendu bien heureux ? Du cœur je vous en remercie : C'était mon petit amoureux ! Marceline DESBORDES-VALMORE Enfance Au jardin des cyprès je filais en rêvant, Suivant longtemps des yeux les flocons que le vent Prenait à ma quenouille, ou bien par les allées Jusqu’au bassin mourant que pleurent les saulaies Je marchais à pas lents, m’arrêtant aux jasmins, Me grisant du parfum des lys, tendant les mains Vers les iris fées gardés par les grenouilles