Fluorescéine

supravitalité. Pour obtenir la certitude de la mort cérébrale on utilisait avant l’EEG divers types de méthodes : * De type invasives : ponction dans le cœur avec un trocart pour vérifier s’il y a mouvement ou non. * De type injection de fluorescéine (3H-xanthène-3one) : se fixe en cas de circulation sanguine dans la pupille et observable dans le fond de l’œil. Avec le progrès de la science dans le domaine de la réanimation, le monde médical s’est trouvé en présence de « cadavres chauds »

aquarium                                                                   - de l'eau                                - 2 kilogrammes de sucre                                - un laser                                - fluorescéine   Protocole : ¤ Remplir un aquarium d'eau.                  ¤ Ajouter quelques gouttes de fluorescéine qui aura pour rôle de diffuser la lumière et de permettre de suivre le trajet du rayon lumineux (quelques gouttes suffisent).                  ¤ Laisser reposer l'ensemble disposé sur

image en 3D en haute résolution (de l’ordre du micromètre cube, alors que l’IRM classique atteint au mieux une résolution de l’ordre du millimètre cube). Classiquement on injecte dans le sang des colorants organiques (fluorochrome) comme la fluorescéine ou la rhodamine qui possèdent des propriétés de photoluminescence. On les associe généralement à des éléments plus gros (polysaccharides) afin de les maintenir dans le système intravasculaire. Toutefois, cette conjugaison n’est pas très lumineuse

digestive, pour récupérer les particules. Les Amibocytes permettent la distribution alimentaire au reste de l'individu. La sortie d'eau se fait au niveau des oscules, qui sont de gros orifices visibles en surface des cellules. ex : éponge + fluorescéine C) Cnidaires Chez les cnidaires, on trouve beaucoup d'osmotrophie, et certaines espèces microphagie. Beaucoup possèdent des symbiontes végétaux. Chez les cnidaires, la cavité digestive est le coelantéron. Les cavités digestives des anémones

n étant un rapport entre les indices de réfraction des milieux traversés, nous pouvons conclure que l'angle limite de réfraction dépend des deux milieux traversés par la lumière. 2° Réflexion totale Dans une cuve d'eau contenant de la fluorescéine, nous disposons une source lumineuse envoyant des rayons sous différents angles. Nous remarquons deux choses : 1. des rayons sortent de l'eau et sont réfractés (pourquoi ?) 2. des rayons ne sortent pas de l'eau et semblent être

Il repose sur un principe simple qui se déroule de la manière suivante. On va fixer des anticorps anti-CMV sur le virus qui se situe dans le noyau des polynucléraires (globules blancs). Ensuite on va ajouter des anti-anticorps marqués à la fluorescéine qui réagit aux U.V qui vont alors se fixer sur les anticorps anti-CMV. Après ces deux étapes, il reste l’observation qui s’effectue avec un microscope à lumière U.V. Si les noyaux des polynucléaires brillent, cela signifie que les anti-anticorps

mg/ml protein to which the antisense was directed in buffer containing RITC-dextran instead of FITC-dextran. Thus, cells injected with antisense oligonucleotides and subsequently with protein are identified positively by their fluorescence in the fluorescein and rhodamine channels. In these conditions, cells show normal electrical membrane properties, indicating that the integrity of their membranes is preserved. The advantages of patch pipette dialysis of antisense over nuclear microinjections are

utilisée sous hotte ventilée ; iii) Préparer les coupes de tissu congelé sur des lames de verre. Fixer les lames de verre à l’acétone pendant 5 à 10 min et sécher à l’air ; iv) Déposer le conjugué (anticorps anti-virus influenza porcin couplé à la fluorescéine) et incuber en chambre humide à 37°C pendant 30 min ; v) Laver dans du PBS, pH 7,2, faire tremper pendant 5 à 10 min dans du PBS frais, rincer à l’eau distillée et sécher à l’air ; vi) Déposer des lamelles sur les lames de verre, face cellule

t" La durée totale de l’écoulement est t = t’ + t" La durée maximale d’écoulement dans le bassin est appelée TEMPS de CONCENTRATION tc = max (t’+t") Sur le plan pratique, ce temps peut-être mesuré à l’aide de traceurs injectés dans l’eau (ex : fluorescéine). 3.4. HYDROGRAMME A L’EXUTOIRE L’hydrogramme à l’exutoire exprime la variation du débit en fonction du temps. Document réalisé par : KERLOC’H Bruno (C.E.T.E. NORD - PICARDIE) et MAELSTAF Damien (DDE 80) 44 A l’instant t i < tc : Seule l’eau

«Membrane-perturbing and lytic properties alkyltrimethylammonium salts. » Ecol. Bull. Stockholm., 36, 26-30. of surface-active • • • Jones K., Senft J.A., 1985. “An Improved Method to Determine Cell Viability by Simultaneous Staining with Fluorescein Diacetate-Propidium Iodide”. The Journal of Histochemistry and Cytochemistry. Vol. 33, No. 1, pp. 77-79. Lefevre M., 1974. « La 'Maladie Verte' de Lascaux », Studies in Conservation, Vol. 19, No. 3, pp. 126-156. Lefèvre M., and. Laporte G. S. (1969)