Flûte en sol

sont composés d’une fréquence fondamentale et d’harmoniques. Les différentes notes sont différenciées par leur fréquence fondamentale : en effet, un « la 440 » correspond a une fréquence de 440Hz (soit 440 vibrations par secondes) tandis qu'un « sol » correspond à une fréquence de 392Hz (soit 392 vibrations par secondes). 3)Son timbre ou couleur Le timbre est donné par le nombre et l’intensité des harmoniques qui le compose et permet de reconnaître la personne qui parle ou l’instrument qui

joués par les mêmes musiciens), deux cors et un ou deux bassons. L’orchestre de Haydn à Esterhaza est plus réduit. S’il peut disposer de quelques bons solistes comme Tomasini et Weigl , certains instruments apparaissent de manière irrégulière : la flûte n’est pas sollicitée de manière constante par Haydn, en tout cas pas avant 1780 et la clarinette n’apparaît dans ses symphonies que lors du second voyage à Londres. Les grandes œuvres instrumentales À partir de 1785 et jusqu'en 1790, la musique

l’écriture contrapuntique (cf 4ème mouvement). 3. L’œuvre et son organisation interne : La 41ème symphonie de Mozart est en 4 mouvements respectant le schéma classique. Il faut noter un changement dans l’instrumentation, en effet il y a la présence d’une flûte traversière, l’absence des 2 clarinettes habituelles, ainsi que la présence de 2 trompettes. Il y a la présence d’une forme sonate dans les mouvements 1, 2 et 4, le 3ème étant le menuet. 1. 1er mouvement : Forme sonate (en Do M) Les thèmes Thème

développer une grande richesse harmonique: «gamme tzigane, quarte augmentée lydienne, coexistence de la tierce majeure et de la tierce mineure dans le même mode» . Cette danse folklorique est caractérisée par les accents exécutés par un pied battant le sol, un accent sur le troisième temps et par la fin du motif qui tombe fréquemment sur le deuxième temps (voir partition en annexe). L’accentuation dans celle en do majeur de l’opus 24 prend cette même forme. Elle est composée en ut majeur, tonalité sans

fils (Mozart s'y rendra régulièrement jusqu'en 1773) ; il y étudie l'opéra, forme musicale dans laquelle il excellera à notre goût (Le nozze di Figaro (les Noces de Figaro), Don Giovanni, Così fan tutte (Ainsi font-elles toutes), Die Zauberflöte (la Flûte enchantée)…) et grâce à son travail sur les harmonies vocales et sa maîtrise de la polyphonie, il apportera une touche personnelle de sensibilité à ce genre. En Italie, il se lie au savant Padre Martini, devient membre de l'Accademia Filarmonica de Bologne –

XXe siècle se caractérise par une tentative de rendre le clavecin plus populaire en lui donnant des caractéristiques qui rappellent du piano, ce qui marche bien, même si l’instrument ne connait pas sa gloire du passé. Pièces populaires 1- Menuet en Sol Majeur (BWV Anh 114) Composer par : J.S Bach Je trouve que cette pièce possède un bon style. Émouvante et clame, elle laisse le spectateur dans un sorte d’état d’âme «flottant», relaxer. Cette pièce, composée justement pour le clavecin, utilise bien

moment d'unanimitas ( tout le monde se rassemble) autour du prince. Le cortège est formé des sénateurs et des magistrats. Si l'empereur avait commandé des armées, ses soldats le suivaient, armes tournées vers le sol. Les esclaves portaient les trésors pris aux ennemis. Les joueurs de flûte, les pleureuses (praeficae), des acteurs portant les masques des ancêtres et un bouffon imitant le défunt suivaient. Avant l'incinération, on séparait une partie du corps (un doigt en général) que l'on enterrait

L’alimentation en Grèce antique En raison du climat de la Grèce et de la maigre fertilité de son sol, ses habitants se contentent nécessairement d'une nourriture simple et peut abondante (on peut encore le constater aujourd'hui). Dès l'époque d'Hésiode ( poète grec du viiie siècle av. J.-C) nous constatons que la viande est rare et chère. On n'en consomme gratuitement que lors des sacrifices publics qui représentent une façon de manger ensemble. En dehors de ces circonstances on ne mange de

fils (Mozart s'y rendra régulièrement régulièrement jusqu'en 1773) ; il y étudie l'opéra, forme musicale dans laquelle il excellera (Le nozze di Figaro (les Noces de Figaro), Don Giovanni, Così fan tutte (Ainsi font-elles toutes), Die Zauberflöte (la Flûte enchantée)…) et grâce à son travail sur les harmonies vocales et sa maîtrise de la polyphonie, il donnera ses lettres de noblesse à ce genre. En Italie, il se lie au savant Padre Martini, devient membre de l'Accademia Filarmonica de Bologne – qui pourtant

chacune à sa place, Qui calme les transports, comme elle rompt la glace. Parmi les charités, si légères au sol Qu'elles foulent si peu, que l'on dirait un vol Timide, à fleur déterre, ou d'ange ou d'hirondelle ; Au nom des tout petits qui soupent sans chandelle Sous les arbres, les yeux dans leurs cheveux trop longs, Et viennent d'Italie avec leurs violons ; Du vieux joueur de flûte, aux mèches toutes grises, Et du pauvre, à genoux sur le seuil des églises, Qui marmotte une antienne