Flûte traversière

de l’être en tant qu’être… -Clémence : Disposition qui porte à épargner un coupable ou à atténuer son châtiment -Emollient : Médicament, procédé qui relâche, amollit les tissus -Dioscoride : Médecin grec du 1er siècle ap.J-C -Fifres : Petite flute traversière en bois, au son aigu utilisée dans les fanfares militaires -Mousqueterie : Décharge de mousquets ou de fusils qui tirent en même temps -Coquins : Individu malhonnête, sans scrupule -Baïonnette : lame effilée qui s’adapte au bout d’un fusil -Te

départ du domicile familial. Malgré ces difficultés au bac blanc, elle se projette dans l’avenir et prévoie une formation pour être bibliothécaire. La précarité de sa situation ne lui a pas permit et ne lui permet toujours pas de reprendre la flûte traversière, activité qu’elle a pratiqué huit ans durant son enfance. III. Les réponses éducatives de l’APASE face aux besoins des adolescents L’accompagnement individuel a pour but d’aider la personne à retrouver un mieux-être et/ou faciliter son

Elle appartient à l’époque Romantique. C’est une grande formation et il y a une voix soliste. Les caractéristique de le voix est soprano, qui est une voix de femme aigu qui chante en langue Italienne. Les accompagnements instrumentale sont la flute traversière les cordes frottées c’est-à-dire le violon, alto, le violoncelle et la contrebasse. Les cordes utilisent 3 technique de jeux, pizzicato et tremolo. Le tempo est lent, le genre est opéra et le nuance est douce. Maintenant je vais vous faire écouter

Musikalisches Lexicon, Leipzig 1739 J. Mattheson : Der vollkommene Capellmeister, Hamburg 1745 J.A. Scheibe : Der Critischer Musikus, Leipzig 1745 M. Spiess : Tractatus musicus compositorio-practicus, Augsburg 1752 J.J. Quantz : Essai... sur la flûte traversière, Berlin 1751-65 Diderot & d’Alembert L’Encyclopédie, article Musique 1753-62 C.P.E. Bach : Versuch über die wahre Art, das Clavier zu spielen, Berlin 1776 J.Ph. Kirnberger : Die Kunst des rainen Satzes, Berlin & Könberg 1788 - 1801 J

fréquences harmoniques de part leur composition (nombre et intensité différente) déterminent le timbre de l’instrument. Selon leur nombre et leur intensité respective, l’oreille reconnaîtra ainsi la note jouée par une harpe, un violoncelle ou une flûte traversière. Prenons pour exemple la note LA émise avec la même intensité par un diapason et par deux instruments différents la clarinette et la trompette. Le La du diapason est un son pur représenté par un signal périodique sinusoïdal caractérisé

musical est simple et soutenu d’instruments traditionnels : des bambous frappés, des battoirs d’écorce, des tambours en feuille. Plus tard viendront d’autres instruments comme l’harmonica, la guitare acoustique, l’accordéon, le derbouka, la flûte traversière, etc. Les musiciens puisent dans le répertoire traditionnel pour nourrir les nouvelles expressions musicales. Edou[27], l’une des figures emblématiques de ce grand courant, est ainsi le premier à adapter Cai waminetu[28], une berceuse traditionnelle[29]

discontinuité sémantique pouvant même aller à une absence de langage organisé. Pierre Boulez, compositeur français né en 1925 écrit de 1952 à 1954 une de ses œuvres principales : Le marteau sans maître*. L’œuvre est écrite pour 6 instruments (Flûte traversière, vibraphone, guitare, alto, xylorimba, percussions) et voix d’alto sur des poèmes de René Char. Les neuf pièces forment trois cycles en laison avec les poèmes de René Char : L’Artisanat furieux, Bourreaux de solitude, Bel édifice et les pressentiments

de basque et timbales. • Cuivres : 1 tuba, 3 trombones, 2 trompettes en Ut, 1 cornet à pistons en Si bémol, 2 cors en Fa. • Bois : 2 bassons, 2 clarinettes en Si bémol, 1 petite clarinette en Mi bémol, 1 cor anglais, 2 hautbois, 2 flûtes traversières et 1 flûte piccolo. Dans cette composition orchestrale, on peut observer une certaine allégeance au « goût français » dans la présence importante des instruments à vent (la tradition allemande étant plus tournée vers les cordes). Cependant, cette prédominance

principalement pour les vents (flûtes, hautbois, clarinettes) et les violons, et l’accompagnement est joué par les cordes graves et les cuivres : - - le deuxième, plus léger, est joué dans une nuance piano. Son timbre instrumental est réparti sur les vents (flûte, hautbois, clarinettes) et les cordes (violons). Il présente un rythme en croches et double-croches pour ses huit premières mesures : On remarquera que ce thème, comme le précédent, peut se diviser en deux phrases égales. Une transition en rythmes

flûtes traversières étaient d'un type qui avait lentement évolué, mais elles avaient ce son un peu aigrelet des flûtes baroques, et le flûtiste devait faire des acrobaties pour jouer toutes les notes justes, avec le même timbre. Puis Theobald Boehm mit au point la flûte traversière moderne, qui palliait bien des défauts des flûtes anciennes. À propos de cette flûte, aussi, on pourrait poser la question : 2 flûtistes peuvent-ils faire un art différent s'ils jouent tous les deux de cette flûte moderne