Focalisation Germinal

en s’appuyant sur un travail minutieux de documentation et en s’inspirant notamment de la méthode expérimentale du physiologiste Claude Bernard. Le chef de file du naturalisme est Émile Zola. Procédés narratifs récurrents : la description, la focalisation externe, le discours indirect libre, etc. Notions proches : réalisme, positivisme, scientisme. Quelques textes : * Émile Zola (1840-1902), préface de Thérèse Raquin (1867) : Dans Thérèse Raquin, j’ai voulu étudier des tempéraments et non

Germinal, Emile ZOLA La situation : Emile ZOLA est un écrivain du XIXème siècle (1840-1902). Il appartient au mouvement réaliste, mouvement qui consiste a faire vrai tout en reproduisant le plus fidèlement possible la réalité. Il écrit Germinal en 1885 et Nana en 1880. Germinal, paru en 1885 raconte la vie des mineurs ainsi que les grèves des mineurs tout en accentuant sur la pauvreté, la faim et le désespoir qui est omniprésent. Etienne Lantier est un des protagonistes du roman qui se bat

Thérèse Raquin, contrôle de séquence Corpus de textes : -Préface -Chapitre 1 -Chapitre 5 -Chapitre 11 -Dernier chapitre Notions à développer -Le naturalisme -Le déterminisme -Le réalisme -Biographie Zola -Focalisations/Points de vue PREFACE, Zola défend son roman considéré par les critiques comme l’œuvre d’ « une misérable hystérique qui se plait à étaler des pornographies » BUT SCIENTIFIQUE AVANT TOUT ! Parle de l’opposition romantiques/ naturalistes -Romantiques étudient

ils le font. Son but n’est pas, comme on pourrait le croire, de ralentir le récit ou de simplement remplir les pages. Chez Stendhal il écrit des proses avec peu de descriptions, il ne retient que les détails significatifs. En choisissant une focalisation interne pour ses récits, il montre la réalité comme lui l’a perçoit (= Réalisme subjectif). Pour Stendhal, il est très important d’aller droit au but, d’être clair et précis.  Honoré de Balzac : ses romans sont regroupés en une Saga nommée

jours sont des scènes dialoguées ce qui donne du mouvement et de la vivacité au récit. b) Les focalisations de la narration L’histoire témoigne d’une vision du monde qui est celle de Boris Vian mais la présence de l’auteur dans le récit est inexistante. En revanche, la parole des personnages abonde sous la forme du discours direct lors des dialogues. Concernant les focalisations, c’est la focalisation externe qui est majoritairement présente. Celle-ci consiste à décrire de l’extérieur les faits

sentiments des deux personnages. Les dialogues argumentatifs dévoilent les pensées et convictions des personnages (dialogues d'Étienne avec les autres mineurs dans Germinal de Zola [exemple à développer]). Le roman tient de la poésie par la révélation directe des sentiments : il donne accès directement à l'univers affectif et mental par la focalisation interne. Tantôt, lorsqu'il est aussi narrateur, le personnage s'exprime directement, recourant à une expression lyrique (Le Dernier Jour d'un condamné de Hugo)

qu'une plate photographie du réel; un passage comme celui-ci montre en effet que les droits du tempérament et de l'imagination de l'artiste, son droit à transposer la réalité, ne sont pas sacrifiés au désir de "faire vrai",Comme avec le Voreux dans Germinal, la description de l'alambic du père Colonrnïe prend la dimension mythique d'un être tapi, accroupi, mystérieux et menaçant comme un dieu maléfique; des allitérations en -s- et en -m- se font écho au début et à la fin du passage pour souligner

gliales les plus fréquentes chez l’adulte. L’histoire clinique est généralement constituée de crises convulsives révélatrices. Ces crises convulsives sont plus fréquemment partielles ou à début focal. Il peut s’agir également de signes de focalisation (déficit moteur, troubles phasiques...). Le syndrome d’hypertension intracrânienne est souvent rare et en général tardif. Les images neuroradiologiques ont des expressions très variables : il peut s’agir d’une tumeur kystique avec un nodule

d'une coupe anatomique: les "enroulements sans fin de tuyaux" font penser aux intestins, à un ventre, et nous reconnaissons là un fantasme de Zola repérable aussi bien dans le titre Le Ventre de Paris que dans la topographie des galeries de mine de Germinal ou dans le tunnel de La Bête humaine, d'où le "souffle intérieur", le "ronflement souterrain" avec les jeux de sonorités qui imitent une respiration humaine ou animale ou digne d'un monstre : d'une sorte de Minotaure enfermant son labyrinthe dans

»). De même, la gradation « l’air de toujours défier quelqu’un, les passants, les maisons, la ville entière » rend son attitude conquérante assez ridicule, dessinant un héros ambitieux mais sans réelle compétence. Enfin, le passage écrit en focalisation interne montre un esprit calculateur, voire mesquin. http://commentairecompose.fr/bel-ami-incipit/ 3/8 12/6/2014 Incipit de Bel-Ami | commentaire composé Il préfère en outre garder le peu d’argent qu’il lui reste pour des « collations