Fonction décroissante

La valeur d'échange se ramène à une quantité de travail incorporée. La loi des rendements décroissants : A partir de sa théorie de la répartition, Ricardo forme sa loi des rendements décroissants. Pour faire face à l'accroissement de la demande induit par l'augmentation de la population, il est nécessaire de cultiver de nouvelles terres de moins en moins fertiles, dont le rendement est donc décroissant. Les terres moins fertiles nécessitant plus de travail pour les cultiver, le prix du blé augmente

pays industrialisés, le travail coute cher donc on va remplacer le travail par du capital. Dans d’autre pays en voie de développement, où la main d’œuvre est abondante et peu chère on va favoriser le travail. Les choix vont aussi se faire en fonction du progrès technique. On choisit la combinaison productive la moins chère et la plus efficace. Pour mesurer l’efficacité de cette combinaison productive, on utilise un indicateur : la productivité. * Productivité globale : production /

des différents agents économiques). * Considère que les choix des individus sont rationnels ( = hypothèse de rationalité individuelle obtenir la satisfaction maximale avec notre budget). * Suppose que les choix des agents économiques sont fonction de leurs intérêts individuels ( = hypothèse d’égoïsme). * Modeste (la théorie peut être réfutée à tout moment). * Honnête ( ne se plie pas à ses préférences idéologiques et accepte des conclusions qu’il n’aime pas à priori). Chapitre 1 :

croissance endogène(2) seront exposés dans cette partie. Le modèle de SOLOW Solow suppose la quantité de travail stable à long terme. Dans ce cas, seule une augmentation de capital peut faire varier la production. Or du fait de la loi des rendements décroissants, la productivité marginale tend vers zéro. A terme l’économie parvient à un état stationnaire. La croissance ne peut alors être provoquée que par une augmentation de la quantité de travail, considéré comme un facteur exogène, et par le progrès

à l'idée voisine d'extensibilité de la demande. Cette notion d’élasticité, mise en lumière par Cournot (1801-1877) mais attribuée aux néoclassiques Walras (1834-1910) et Marshall (1842-1924), varie selon ses déterminants et se définit toujours en fonction de ses derniers. L'élasticité prend alors de l’ampleur. Au-delà du cadre purement théorique, le concept d'élasticité trouve de nombreuses applications dans la vie courante, et par là même un intérêt certain. De plus, l'élasticité se situe au cœur

rationalité des agents économiques et équilibre économique a)Les postulats de la microéconomie traditionnelle b)Les critiques traditionnelles de la microéconomie néoclassique §une critique mineure, mais décisive : la critique des rendements décroissants §une critique majeure : la critique keynésienne qui donne naissance à la microéconomie 2 Les nouveaux libéraux acceptent et élargissent les objets d’étude de la microéconomie néoclassique §les néolibéraux et nouveaux classiques radicalisent

(épargne). LA LOI DE SAY - LOI DES DÉBOUCHÉS OFFRE REVENUS  SALARIES  CONSOMMATION + ÉPARGNE  DEMANDE  CHEF D’ENTREPRISE  CONSOMMATION + INVESTISSEMENT  Pour ces économistes classiques, l'État est un État-gendarme qui a des fonctions régaliennes (diplomatie, police, justice, sécurité). L'État doit laisser faire. Cependant pour Smith, l'État peut intervenir dans l'éducation et des biens collectifs. les classiques pessimistes David Ricardo (1772-1823) « Des principes de

Chapitre 2: source et limite de la croissance économique Les éléments qui aboutissent à la croissance économique et montrer en même temps les obstacles qu'elle peut rencontrer. I) La mobilisation des facteurs de productions A) La fonction de production Les économistes considèrent quelques fois que la production résulte principalement de la combinaison des facteurs de production. On distingue 3 types de facteurs: le capital(=moyens matériels de production), le travail et les facteurs naturels

détermination du volume de production a) La loi des rendements décroissants Permet de déterminer le volume de production. Si on augmente un facteur de production sans changer l'autre alors il arrive un moment où la productivité moyenne du facteur qui augmente et marginale va décroître. b) Le calcul des coûts de production *Les coûts fixes et les coûts variables Les coûts variables sont des coûts qui vraient en fonction du niveau de production (matière première, composants...)

production ( le coût marginal) avec ce qu’elle gagne ( la productivité marginale qui est , en cpp , le prix) . Tant que le prix est supérieur au coût marginal , l’entreprise a intérêt à produire car son profit augmente . Or, la loi des rendements décroissants postule que, plus la production augmente , plus la productivité est faible . Car les entreprises choisissent , au départ les facteurs de production les plus efficaces . La productivité marginale diminue donc , c’est-à-dire que la production augmente