Fonction Satirique Et Didactique De La Littérature

Pikine Est 10 M. Abdou Aziz KEBE Professeur de Lettres Lycée Seydina lssa Rohou Lahi 11 M. Mamadou SAM Professeur de Lettres Lycée Yeumbeul 12 M. Omar lbrahima SOW Professeur de Lettres Lycée Pikine EQUIPE DE VALIDATION N 0 Prénoms Nom Fonction Structure 1 Mme Fatimata Ibra SY IEMS IA/Dakar 2 Mme Tiané Dieng BASAL Formatrice en Lettres CRFPE/Dakar 3 M. Bounama MBENGUE Formateur en Lettres CRFPE/Dakar 4 M. Baytir KÄ Formateur en Lettres CRFPE/Dakar 5 M. Moussa FALL IGEF FLSH 6 M

 Sommaire page 1 Le XVIIIe siècle 1 1.1 Histoire et société 1 1.2 Rationalisme et sensibilité 1 1.3 La langue française 1 1.4 Les principales tendances de la littérature 1 1.5 La vie artistique 2 1.6 Le progrès des sciences 2 2 Le siècle des Lumières 2 2.1 Introduction 2 2.2 Caractéristiques 2 3 Les idées de Voltaire 2 3.1 La métaphysique 2 3.2 Religion et morale 3 3.2.a L’existence de Dieu 3 3.2.b Le déisme voltarien 3 3.2.c La tolérance 3 3.3 Idéal politique 3 3.4 La civilisation 4 3.4.a La paix

également omniprésent comme nous l’avons vu, fait partie des attributs traditionnels du Tentateur qui veut détourner l’homme de Dieu, du Bien, car « on ne peut servir à la fois Dieu et Mammon », dit l’Évangile. Enfin, son pouvoir de séduction fonctionne comme un piège dans lequel tombe Tressignies : elle l’attend dans la ruelle obscure comme on attend sa proie et finit par l’ensorceler avec son regard à l’éclat insoutenable et quasi magique au point qu’« il fut littéralement aveuglé », l’adverbe

4. Le texte explicatif: Il est considéré comme le niveau supérieur du texte informatif, il prépare l'argumentation et cherche à informer, à expliquer et à rendre plus clair un sujet que le lecteur ou l'interlocuteur est censé ignorer. Il a une fonction pédagogique. 4.1. Ses caractéristiques: Le présent de l'indicatif. Des termes d'articulation du discours pour marquer les étapes de l'explication (d'abord, ensuite...) 5. Le texte informatif: Il a pour objectif de renseigner, de communiquer

l'égard de l'histoire littéraire lansonienne (de Gustave Lanson, le promoteur, à la fin du xixe siècle, de l'histoire littéraire à la française), dont ils contestaient la domination dans les études littéraires à l'université. Ils s'opposaient à la littérature considérée en relation avec son auteur, ou comme expression de son auteur, suivant une doctrine résumée dans le titre courant des thèses de lettres : X, l'homme et l'oeuvre. Avant Lanson, cette vulgate était identifiée depuis longtemps à Sainte-Beuve

des auteurs comme Alexandre Dumas fils. Ce théâtre se positionne au-dessus du vaudeville dans la hiérarchie des genres. En effet, la comédie sérieuse attache une importance capitale aux longues répliques, aux « [...] développements lyriques ou didactiques comme il y en a tant chez Augier et consorts.2 » Or, nous le verrons dans le détail, le vaudeville ne présente aucun de ces aspects considérés comme « élevés » et prestigieux. Il mérite pourtant largement sa place aux côtés de la comédie, puisque

arts ont été immédiatement perçus, et se sont perçus, comme des collaborateurs ou des rivaux potentiels selon les personnes et les moments. Le cinéma s'est défini par rapport à bien des arts : la peinture, la photographie, bien sûr, mais aussi la littérature. Le théâtre, néanmoins, a toujours semblé la référence supérieure d'un cinéma à la recherche tâtonnante de son identité esthétique. Le théâtre, de même, n'a jamais perdu son statut social prestigieux que face au cinéma ; comme le note Hans-Thies

l’or, également omniprésent comme nous l’avons vu, fait partie des attributs traditionnels du Tentateur qui veut détourner l’homme de Dieu, du Bien, car « on ne peut servir à la fois Dieu et Mammon », dit l’Évangile. Enfin, son pouvoir de séduction fonctionne comme un piège dans lequel tombe Tressignies : elle l’attend dans la ruelle obscure comme on attend sa proie et finit par l’ensorceler avec son regard à l’éclat insoutenable et quasi magique au point qu’« il fut littéralement aveuglé », l’adverbe

l’or, également omniprésent comme nous l’avons vu, fait partie des attributs traditionnels du Tentateur qui veut détourner l’homme de Dieu, du Bien, car « on ne peut servir à la fois Dieu et Mammon », dit l’Évangile. Enfin, son pouvoir de séduction fonctionne comme un piège dans lequel tombe Tressignies : elle l’attend dans la ruelle obscure comme on attend sa proie et finit par l’ensorceler avec son regard à l’éclat insoutenable et quasi magique au point qu’« il fut littéralement aveuglé », l’adverbe

Mais il ne s'est pas privé, selon la tradition classique, d'emprunter à des confrères certains mouvements, certaines anecdotes. Bien avant 1672, il y eut des femmes prétentieuses qui se croyaient capables de rénover les mœurs, la langue, la littérature, la philosophie et voulaient régner autrement que par leurs charmes naturels, et des écrivains s'étaient emparés de ce type de femme pour le ridiculiser. Depuis un siècle, les érudits en ont découvert un grand nombre dont Molière aurait pu se servir