Fonction Sociale De Madame Vauquer

auteurs et aux textes ET La méthodologie française -qui suit une approche synchronique qui part de l’analyse des textes EXEMPLE DE PROGRESSION ET D’INTEGRATION CLASSE III Thématique culturelle 1: La littérature médiévale Cadre historique et social du Moyen-Age et naissance de la langue française o la littérature épique et la littérature courtoise : “La mort de Roland”: “Chant de joie” “La Mort des amants” Chrétien de Troyes: Le Chevalier à la charrette “Le Graal” Le Roman de la rose La

champ lexical de l’argent omniprésent : « argent de l’étudiant », « pourboire », « vingt sous ». Cette pauvreté est très marquée par « vingt sous » qui équivaut à très peu, puis les références à "l'étudiant" et à Christophe, le valet de la pension Vauquer (personnes non rémunérées, désargentées donc). Le narrateur insiste sur les inégalités de richesse entre les gendres du vieil homme et Christophe, valet de la pension, avec une antithèse entre « armories » et « vingt sous », qui rend poignant le dénuement

Le personnage de roman Objet d'étude : Le roman et ses personnages. Corpus : Gustave Flaubert : Madame Bovary (1857) Stendhal : Le Rouge et le Noir (1830) Honoré de Balzac : Le Père Goriot (1835) Victor Hugo : Quatrevingt-treize (1874) Emile Zola : L'Assommoir (1877) Guy de Maupassant : Bel-Ami (1885). e terme de personnage désigne chacune des personnes fictives d'une œuvre littéraire. Le roman

du personnage peut être explicite (le narrateur indique les marques de l'état-civil qui fixent les distinctions sexuelles et sociales, il brosse les portraits ou analyse les ressorts psychologiques qui dépeignent un caractère), mais elle est plus souvent implicite : les connotations attachées aux noms mêmes, les combinaisons narratives, les discours et les relations sociales complètent indirectement notre connaissance du personnage. La désignation : Démiurge, le romancier est attentif

logique dans le cadre de la présentation très complète des lieux et des personnages. Après avoir décrit la pension, le narrateur nous promène dans une sorte de galerie où figurent la propriétaire Mme Vauquer, la vieille demoiselle Michonneau avec Poiret, qui se ressemblent, et Victorine avec madame Couture sa gouvernante. Voici à son tour Vautrin. Puis sera évoquée la biographie de Goriot.Quand il présent un personnage, le narrateur veut créer un effet de réel en imposant une physionomie. Dans le

misère mais par la suite lorsqu’il découvre Paris il se laisse charmer par le luxe de cette ville et va tout faire pour accédé aux plus hautes sphères de la société. Pour y parvenir il va se rapprocher de sa cousine éloigné, madame de Beauseant qui va lui apprendre comment fonctionne la vie dans la haute société.. b)ses rencontres marquantes , le luxe qui façonne sa personalite : vautrin : le choix entre le bien et le mal Dans ce discours Vautrin se présente à Rastignac comme un guide, un initiateur

familles : le héros est souvent le représentant de tout un groupe social. Grande exactitude historique et sociale. S'intéresse beaucoup à la société, aux problèmes sociaux d'actualité (misère, maladie, boisson, moeurs marginales, importance des ouvriers, difficultés des petits bourgeois, aisance des grands bourgeois...). Fascination pour la science exacte et la biologie des espèces. Le réalisme observe tous les milieux sociaux, toutes les situations (à comparer au journalisme). Volonté d'objectivité

il ne se passe rien. Cependant, loin de ralentir le récit comme le jeune lecteur le croit souvent, la description peut faire percevoir au lecteur de nombreux éléments essentiels à l’intrigue comme une situation historique particulière, un milieu social ou encore le caractère d’un personnage. Les descriptions dans un roman peuvent être objectives mais elles sont le plus souvent subjectives et dévoilent la vision qu’a l’écrivain de l’homme et du monde. Dans quelle mesure le font-elles ? Nous analyserons

À la Précédé par d'or maison Vauquer, il rencontre Jacques Collin, alias Le Colonel Vautrin, qui excite ses mauvais penchants. Toutefois Suivi par Chabert Rastignac, ambitieux mais humain, ne suit pas jusqu’au bout les conseils criminels de Jacques Collin. Ami d’Horace Bianchon (médecin), il aime Delphine de Nucingen, fille du père Goriot, dont il sera l’amant dans Splendeurs et misères des courtisanes. Très vite il fait son chemin dans les plus hautes sphères sociales (la Maison Nucingen). Il devient

son habit : le marquis de la Mole lui donne en effet la permission de porter un « habit bleu » lorsqu’il ne fait pas directement fonction de secrétaire. Avec cet habit bleu, il est considéré par le marquis comme un égal, pour son plus grand plaisir. C’est la seconde fois du roman que le héros voit son ascension marquée par un habit, la première étant le moment où Madame de Rênal lui confectionne un habit de garde d’honneur pour la visite d’un roi à Verrières, habit également bleu, qui permet à Julien