Fond diffus cosmologique

par l’intermédiaire du profane. A la suite d’une manifestation transcendante (ou perçue comme telle, un élément profane devient dépositaire du sacré. Résumé T1 p 279 (s) p 288 (es) . Au fond de toute émotion religieuse profonde (=/= foi au salut, confiance ou amour) se trouve le « sentiment du mystère qui fait frissonner ». .Ses formes sont diverses : du profond recueillement à la convulsion, en passant par l’ivresse, le frisson d’horreur

en est-on si sûr ? C'est seulement en 1965 que cette théorie a pu être confirmée, grâce à la découverte du fond diffus cosmologique. C'est le nom donné au rayonnement électromagnétique issu, de l'époque dense et chaude qu'a connu l'Univers par le passé, le Big Bang. Et c'est lors de son expansion que ce rayonnement a été dilué et refroidi. Une autre preuve à l’appui du modèle cosmologique du Big Bang est l’abondance dans l’univers des éléments légers qui se sont formés pendant la phase chaude

sonde W.m.a.p., qui ont permis de réaliser la première carte complète du fond diffus cosmologique, sont les premières confirmations de ces fluctuations primordiales de l’espace-temps (5). Mais y a-t-il encore un autre monde « en dessous » du monde quantique ? Un univers « plus petit que tout » et qui aurait une taille nulle ? Ce monde-là, ce troisième monde, existe bel et bien au-delà de la tempête quantique, tout au fond du cône de lumière. Là-bas, la matière, l’énergie, toutes les forces qui

de la position des astres sur leurs orbites et le calcul des dates d'occurrence des éclipses (tables de Ptolémée, reprenant et perfectionnant des tables antérieures. Les premières devraient remonter à Hipparque) ; la discussion de systèmes cosmologiques non géocentriques (Aristarque). Mais cet apport, suivi seulement par Séleucos de Séleucie, restera en sommeil jusque Copernic ; l’établissement des premiers grands catalogues d'étoiles par Timocharis d'Alexandrie, Hipparque de Nicée, Archimède

emprunté le terme d’anthropologie, parlent d’anthropologie culturelle ou sociale. Cette substitution de qualificatifs indique un changement de méthode. Les Anglo-Saxons prétendaient expliquer la genèse et le développement de la culture, soit par la diffu- sion d’éléments essentiels à partir de « centres de civilisation », et leur extension à des « aires » culturelles ; soit par l’évolution des cultures selon un schéma hérité de l’évolutionnisme biologique. Étant donné l’extrême indigence, voire

jamais vues. Nous voguons vers un nouveau monde. Notre conception du cosmos est étroitement liée aux observations. Sans elles, nous tournerions en rond en jouant avec des équations de manière stérile. Ce sont elles qui ont provoqué la révolution cosmologique du début de ce siècle et ce sont encore elles qui provoqueront la révolution du vingt et unième, qui est maintenant si proche. Pour rendre compte de ces observations nouvelles, nous devrons perfectionner, ou peut-être même modifier profondément

a–t-il entre l’expression histoire des « idées » politiques et celles de « doctrines » politiques, ou de « pensée » politique ? Ces questions sont au cœur de cet enseignement. Elles renvoient à un débat terminologique qui suscite deux interrogations de fond. D’une part, celle de la notion « d’idées politiques » que l’on peut essayer de distinguer des « théories politiques » et des « doctrines politiques ». Les premières sont, en effet, des constructions intellectuelles prétendant apporter une explication

d'ouvrages peut-on lui attri buer et de quelle nature sont- ils ? Ces questions se posent en premier lieu, si l'on veut ensuite déterminer avec certitude l'influence de Jean dans l'évolution de l'esprit scientifique en Occident, sa contribution à la diffu sionde la science arabe. Or la réponse à ces questions est en dépendance étroite des problèmes biographiques qui le concernent. D'après nous, Jean d'Espagne, Jean de Tolède, Jean de Luna, Jean David (Ibn Daud ou Avendeuth) seraient autant de noms se

(latin scientia, « connaissance ») est « ce que l'on sait pour l'avoir appris, ce que l'on tient pour vrai au sens large, l'ensemble de connaissances, d'études d'une valeur universelle, caractérisées par un objet (domaine) et une méthode déterminés, et fondés sur des relations objectives vérifiables et que l’on peut répartir ainsi : - Les sciences dites exactes, comprenant les mathématiques et les « sciences mathématisées » ; - les sciences dites physico-chimiques et expérimentales (sciences de la nature

En ce sens, le rite est un moment décisif de la vie sociale, où l’existence humaine acquiert un sens qui la dépasse, où est associé à la dimension purement instrumentale de l’action – ou de l’activité humaine en générale – un sens symbolique et cosmologique. On trouve par exemple une telle compréhension du rituel chez l’historien des religions Mircea Eliade, qui en fait un élément clé pour comprendre le caractère fondamentalement religieux de l’homme. À travers le rituel, il devient donc possible