Fondement Du Protectionnisme

(discours de Jacques Delors, président de la Commission de la Communauté Européenne en juin 1993) est devenue dominante au sein des leaders d'opinion aussi bien en Europe qu'aux États-Unis. Cette vision obsessionnelle est selon lui d'une part sans fondement, les entreprises ayant un besoin impératif de compétitivité pour se maintenir sur un marché pour ne pas disparaître, alors que les Etats disposent de forces qui leur permettent de rétablir l'équilibre , et d'autre part, dangereuse en ce que le fait

largement créée par les banques de second rang. Ces analyses qui mettent l’accent sur, l’aspect “libéral” de l’industrialisation, laisser faire les entrepreneurs, coïncide avec la montée du discours libéral. Les principes de l’économie libérale Les fondements du libéralisme les origines philosophiques Les principes fondateurs (liberté, intérêt personnel, responsabilité, concurrence) et les institutions de base (propriété privée et contrat) Le libéralisme économique Le libéralisme au nom de l’efficacité

notamment grand krach Wall Street en 1929 et la dépression économique et de misère sociale qui ont suivi. (flucuations énormes des taux de change, effondrement de l’étalon or, recours aux dévaluations compétitives). Ils cherchent donc à jeter les fondements d’un nouveau système capable d’assurer la stabilité dans l’économie mondiale pour éviter un retour au désordre monétaire international. Les USA qui adoptent un rôle de leader dans la préparation des nouvelles organisations internationales

faillite parce qu'elles sont privées de prêts américains. -L'industrie  entre en profonde récession, l'Allemagne revient au protectionnisme. L'Angleterre abandonne la convertibilité de la Livre en or en 1931, et en 1932 elle choisit à son tour le protectionnisme, avec la signature du Commonwealth. Avec la fin de l'étalon-or et du libre-échange, ce sont deux fondements de l'ordre mondial d'avant 1914 qui s'effondre. Le commerce mondial s'écroule.   III- Comment s'en sortir.. ? 1 – L’échec

britannique au XIXe siècle (1850-1914) Le royaume-uni est au XIXe siècle la première puissance mondiale. Puissance industrielle et marchande sans égale, elle s’appuie sur un vaste empire colonial et la toute puissance de la livre sterling. 1° Ses fondements : Industrialisation précoce = domination technologique et technique —> forte productivité pour l’époque. ——> Monarchie parlementaire favorise les activités de la bourgeoisie —> production / industrialisation / investissement —> les grands progrès

marché Système libéral opposé à l’économie planifiée et qui s’apparente à l’économie capitaliste et au libre-échange ... 1.1.2) Les auteurs et théoriciens principaux soutenant l’économie de marché L’économie de marché ayant pour fondement le libéralisme économique, elle s’appuie donc sur les écrits d’auteurs tels que Smith ou Ricardo ainsi que des auteurs plus modernes Gilpin (professeur université de Prinxton), Roger Guesnerie (historien français) Warlas(théorie de l’équilibre comme

engagements officiels à l’égard du principe de liberté des échanges, force est de constater l’existence de formes modernes de protectionnisme. Les politiques commerciales des nations sont donc toujours d’actualité pour sauver les emplois ou encore pour protéger certains secteurs de la concurrence internationale. Quatre chapitres structurent le cours : 1. Les fondements de la macroanalyse en économie ouverte 2. Les interdépendances des économies et des politiques macroéconomiques 3. Les régimes

progrès technique (ces échanges sont relatif aux transports, électricité et infrastructure) et aussi les migrations sont du au phénomène de nationalisme empires coloniaux les guerres et l’initiative privée. La même période a connu aussi le protectionnisme (USA, Allemagne) et l’organisation bilatérale souvent entre pays industriel et colonies ; l’accord de libre échange entre le RU et la France du 2ème empire ; il y avait des barrières douanières qui entravent la forte croissance des échanges, mouvement

pauvres. Les défenseurs du libéralisme dénoncent la politique de solidarité. ((( la croyance en une régulation spontanée ( Jean Baptiste Say, à travers sa « loi des débouchés » croit en une régulation spontanée du marché. Ce propos est le fondement de l’optimisme des libéraux. Pour lui, « toute offre crée sa propre demande », ce qui permet une croissance optimale et exclue toute crise de surproduction générale. ( les libéraux considèrent que les crises économiques cycliques du 18ème et du

séparation amplifiée par l’inégalité dans la réussite. Les sociologues sont arrivés à une conclusion plus large : les couples doivent suivre le rythme des transformations identitaires de chacun. Ces deux explications illustrent le sentiment égalitaire au fondement des couples modernes. Cette liberté de pouvoir briser à tout moment le mariage est recherchée par l’homme mais est aussi source de crainte. Ce processus est explicable