Fontaine Wallace

Plan de commentaire composé de la fable "Les obsèques de la Lionne" de Jean de La Fontaine Introduction Comme "Les animaux malades de la Peste", cette fable attaque les puissants en dénonçant le caractère tyrannique du Roi, son injustice, sa bêtise et l'hypocrisie des courtisans ; mais cette fois-ci le plus faible, à savoir le Cerf, sort vainqueur grâce à son intelligence et sa vivacité d'esprit. Nous montrerons que la vivacité et la variété du récit sont mises au service d'une critique véhémente

d'abord conçue pour distraire le lecteur et pour le projeter dans un monde imaginaire même si ce dernier ressemble beaucoup au notre. C'est cela qui fait de la fiction un genre littéraire agréable et facile à lire, nous rappelant la citation de La Fontaine « placere e docere » . Cette amusement et cette accessibilité attire un public beaucoup plus large que celui de l'argumentation. En effet, lire une argumentation requiert une certaine implication intellectuelle et beaucoup d'attention, elle est

Fables de la Fontaine Biographie de Jean de la fontaine : - Né à Château-Thierry, dans la campagne picarde, le 8 juillet 1621, il fût passionné par la lecture d’œuvres antiques. Il passe 18 mois à l’Oratoire à partir de 1641. Mais il ne se passionneras pas pour les études religieuses, il préfère aller étudier le droit à Paris et obtiendra son diplôme d’avocat en 1649. Sa femme Marie Héricart, qu’il avait épousée en 1647, , lui donne un fils en 1653, Charles. En 1654, La Fontaine publie sa

signifiante et des enjeux qu’elle porte qui constitue l’intérêt pédagogique principal de ce texte. 3) Une écriture d’une puissante économie : Ce qui est extraordinaire, c’est la force avec laquelle, à travers une grande économie de moyens, La Fontaine évoque et suggère, représente de manière concrète tout en ouvrant sur de multiples interprétations possibles de la morale de cette fable. Des relectures attentives rendent sensibles à certaines caractéristiques de l’écriture et à leurs effets

Les animaux malades de la peste, Jean de la Fontaine Il s’agit de la première fable du deuxième recueil des Fables de Jean de la Fontaine, paru en 1678 et dédié à Mme de Fontespan, maîtresse du roi Louis XIV. Cette fable se présente comme un long récit clairement structuré par une succession de discours qui suivent l’exposition de la situation et constituent une représentation évidente des sociétés humaines. Une brève morale occupe les deux derniers vers. Il sera intéressant de voir en quoi

argumentative. Le récit s'organise autour d'animaux, de végétaux, ou d'hommes. Il peut être lu au premier degré comme un quelconque récit, mais il a un second sens d'ordre moral que le lecteur doit déchiffre, il a donc une visée didactique. Selon La Fontaine, l'apologue est composé de deux parties : Le corps représentant la fable, l'histoire racontée et l'âme, qui symbolise la morale. La fable est un genre ancien qui remonte à l'antiquité, son fondateur est grec et a pour nom Esope, il aurait vécu au

sujet1 : Les moralités de la fable. Préface notion de moralité plus large que celle de la morale. Notion de norme commune de codes de valeurs, de principe qui a fait parler de L.F comme un moraliste,en effet il s’inscrit dans une tradition de parler avec un certain nombre de valeur générale et de valeur. La morale et la deuxième partie de la fable celle qui complète le corps (le récit) et L.F parle de l'âme (la morale) chose plus abstrait et un coté plus précieux(tradition biblique!). Il emploie

jean de la fontaine "Les animaux malades de la peste" Etude : I - Une fable habilement menée 1.Une Fable qui rappelle les récits mythologiques • Récit • « Un mal qui répand la terreur » : allusion à Œdipe de Sophocle (mauvais comportement des Hommes qui entraîne des châtiments avec la nécessité d’une victime expiatoire) • Idée du destin • Début récit mythologique puis scène de théâtre, justice et enfin morale 2. Variété

- C’est assez, dit le rustique ;Demain vous viendrez chez moi :Ce n’est pas que je me piqueDe tous vos festins de Roi ; Mais rien ne vient m’interrompre :Je mange tout à loisir.Adieu donc ; fi du plaisirQue la crainte peut corrompre. Jean de La Fontaine, Les Fables

Notre-Dame. (p155) et inventera le torche-cul. Ou alors «Il pissait sur ses chaussures; chiait dans sa chemise, se mouchait sur ses manches, morvait dans sa soupe» (p121-123) Cette fonction vitale est également évoquée lorsque le narrateur décrit la fontaine de Thélème. «Au dessus, les trois Grâces, portant des cornes d'abondance rejetaient l'eau par les mamelles, la bouche, les oreilles, les yeux et autres orifices du corps» (p367) Cependant Gargantua goûte aussi aux plaisirs de la chair et utilise