Le pouvoir des fables
Préface notion de moralité plus large que celle de la morale. Notion de norme commune de codes de valeurs, de principe qui a fait parler de L.F comme un moraliste,en effet il s’inscrit dans une tradition de parler avec un certain nombre de valeur générale et de valeur.
La morale et la deuxième partie de la fable celle qui complète le corps (le récit) et L.F parle de l'âme (la morale) chose plus abstrait et un coté plus précieux(tradition biblique!). Il emploie quelque chose qui a vraiment de l'importance même si la morale et réduite dans ma fable.
Disproportion de corps et de l'âme.
→ tous ceux dont il puise sont inspiration on une morale explicite et L.F lui va s'octroyer se droit de ne pas toujours parler d'une morale explicite.
Il donne deux raisons pour expliquer pourquoi il n'a pas forcement mis de morale.
Quelles leçons donne L.F dans ces morale ?
-Comportement
-Défauts
-Penser
-Politique.
Comment est ce qu'elle(la morale) nous donne ces leçon ?
1°)Variété des morale dans les fables.
Formulation attendue tournure impersonnel, «tous bourgeois veut bâtir comme grand seigneur» emploie du comparatif. Par contre on est plus surpris de voir L.F intervenir de façon direct dans c'est fable(moralité des fables!) ex :F12,L1. F18,L1. On est surpris du 'je' qui prend la voix de L.F moraliste le 'je' ajoute un ton plus personnel de la moral. L'emploie du 'nous' donne l’impression d'une conversation avec le lecteur.
Phèdre et Esope pouvait le faire mais L.F l'emploie différemment.
P.89 --> reprend quelque chose qui est de l'ordre d'une moralité fait allusion a une devise.
-Notion de destinataire.
P.89 destinataire humain.
Destinataire qui se sent viser soit parce qu'on est victime ou responsable. Double objectif la victime pour être prévoyant et responsable pour changer.
- Interroger la place de la fable.
Brièveté de la moral entre deux et quatre vers lorsque elle et ajoute comme moral.
Relative