Force de protection des Nations unies

L’EMPLOI DE LA FORCE ARMÉE DEVANT LA COUR INTERNATIONALE DE JUSTICE DE L’ORGANE JUDICIAIRE PRINCIPAL DES TENTATIVES D’INSTRUMENTALISATION POLITIQUE NATIONS UNIES par Guillaume ETIENNE (*) Succédant à la Cour permanente de justice internationale (CPJI) disparue en 1945, la Cour internationale de justice (CIJ) exerce la fonction, selon les termes mêmes de la brochure officielle de la Cour (1), de « tribunal mondial ». Ainsi, elle « règle conformément au droit international les différends d’ordre

partiellement ou totalement les femmes de jouir desdits droits et libertés, et préoccupée que ceux‑ci ne soient toujours pas protégés dans les cas de violence à l'égard des femmes, Reconnaissant que la violence à l'égard des femmes traduit des rapports de force historiquement inégaux entre hommes et femmes, lesquels ont abouti à la domination et à la discrimination exercées par les premiers et freiné la promotion des secondes, et qu'elle compte parmi les principaux mécanismes sociaux auxquels est due la subordination

nécessaire »3. Celui qui dénonce ainsi l’avarice coupable des États-Unis n’est pas un représentant des Nations unies mais le propre représentant de l’Amérique auprès de la maison de verre de Manhattan, l’ambassadeur Richard Holbrooke s’élevant tout à la fois contre les manœuvres obstructionnistes du Congrès et la passivité de l’Administration Clinton. Après avoir si souvent dénoncé les Nations unies, Richard Holbrooke, connu pour son franc-parler sinon la brutalité de ses propos, changeait de cible

d’intervention humanitaires auprès des armées. Cette interaction peut être un atout en augmentant les chances de stopper un conflit et de sauver la population, ou en trouvant de l’aide grâce aux armées pour mettre en place leurs missions, ainsi qu’une protection efficace pour les humanitaires de plus en plus soumis aux pressions et aux risques du métier. Sur le terrain, cette alliance peut aussi se révéler dangereuse : les confusions sont grandes, pour les populations et les groupes armés, et entrainent

citoyens d’avoir voix au chapitre dans le processus de prise de décisions. www.foe.org | La National Environmental Policy Act est promulguée aux États-Unis, qui deviennent ainsi l’un des premiers pays à établir un cadre législatif national pour la protection de l’environnement. Cette loi pose les bases de l’évaluation de l’impact environnemental dans le monde. | Partenaires pour le développement et CRDI (1970). Publication du rapport de la Commission d’étude du développement international. Il s’agit

surtout, tenir compte des réalités propres aux africains. La CADEG, une entrave a la souveraineté des Etats africains ? En effet, l´Etat dispose, de nos jours, d´une « souveraineté de responsabilité, de service, de civilité, de respectabilité, de protection et de développement intégral de l´Homme ». C´est dire qu´une « ingérence organisée » et « institutionnalisée » qui repose sur un ensemble de valeurs comme prétextes (respect des droits de l´Homme, de la démocratie, de la gouvernance, etc.) ne saurait

relations internationales devenaient plus tendues. Repris par les Nations Unies, le débat s’est poursuivi jusque dans les années 1970, décennie au cours de laquelle l’ensemble des Etats de la Communauté internationale sont parvenus, à l’unanimité, à l’adoption d’une résolution définissant l’agression, à la faveur de la détente. Si la notion est aussi controversée c’est qu’elle est liée au problème fondamental du recours à la force dans la société internationale, recours prohibé par la charte

Etats arabes, est entrée en vigueur le 15 mars 2008 – deux mois après la date de ratification d'un septième Etat, les Emirats arabes unies, conformément à son article 49 qui exige sa ratification par sept Etats membres de la Ligue. Cette entrée en vigueur de la Charte, qui contient un Préambule et 53 articles, marque une nouvelle étape dans le domaine de la protection des droits de l’homme dans le monde arabe. Les sept premiers pays ayant ratifié la Charte sont: la Jordanie (28 octobre 2004), l’Algérie

altermondialistes, dans un contexte où les conflits commerciaux se multiplient, tant entre les grandes puissances, bloc européen contre bloc américain, qu'entre pays du Nord et pays du Sud; - à vocation mondiale, mais fonctionnant hors du système des Nations unies, et de ce fait agissant sans ou avec une faible concertation avec les institutions chargées de la santé (OMS), du travail (OIT) ou de l'éducation (Unesco), tous domaines qui sont pourtant les enjeux des prochaines négociations sur les services

l'Union Européenne, 47% parlent l'anglais, 32% l'allemand, 26% le français, on conlut que l'héritage historique et la force économique décident le cadre d’utilisation d'une langue. Ce phénomène provoque de plus en plus d'inquiétudes de l'Organisation des Nations Unies: le développement des langues manque d’équilibre. On doit maintenir la variété des langues à l'aide de la protection des langues faibles. Partant, au mois de novembre 1999, Unesco a préconisé qu'à partir de 2000, le 21 février de chaque