Force de travail

notion de classe ouvrière se détermine par le sentiment d'appartenance à la catégorie sociale déterminée des ouvriers. Les ouvriers sont des travailleurs manuels de l'industrie peu ou pas qualifié évoluant généralement dans des conditions difficiles ( travail à la chaine.) Une classe sociale est un groupe d'individus possédant des caractéristiques communes comme par exemple le niveau de qualification, les rémunérations, les modes de consommations ou encore la même façon de penser. Selon Marx une classe

part des bénéfices à une personne qui, bien qu'elle ne fasse l'apport d'aucune somme d'argent ni d'aucun bien en nature, fera profiter la société d'une activité future, elle apporte sa force de travail, qu’il soit manuel ou intellectuel. L'apporteur en industrie s'engage donc envers la société à réaliser le travail promis pour la durée (qui peut être la durée de la société ou une durée plus courte) et dans les conditions fixées au moment de l'apport. Cette obligation de faire va donc survivre à la

cette façon, l’ouvrage Travail, salarié et capital paru en 1849 à la suite de plusieurs articles écrits par Karl Marx. Il semble que le rapport entre le salarié, son travail et ceux qui détiennent le capital pose problème dans la société capitaliste amenant à des crises économiques permanentes. Aujourd’hui, en pleine période de crise économique, il est intéressant de s’intéresser aux craintes de Karl Marx sur les dérives de l’exploitation des ouvriers comme simple force de travail. Nous allons donc étudier

simple. L’ouvrier qui travaille pour le capitaliste va se voir remettre par le capitaliste en échange de son travail, des moyens de subsistance. Cependant lorsqu’on regarde les termes de l’échange dans le sens inverse on s’aperçoit que le capitaliste est privilégié. Marx nous explique que celui-ci, en échange des moyens de subsistance donnés à l’ouvrier, il va recevoir non seulement le travail fourni par l’ouvrier mais aussi la valeur supplémentaire qu’il aura donné à son travail. C’est-à-dire que le

éternelles, d'un peuple plutôt pauvre, et d'un pouvoir central dont les fonctionnaires pouvaient tout s'offrir. Le système communiste prévoyait la nationalisation des moyens de production, car si l'individu ne possède rien (rien d'autre que sa force de travail, mise au service de tous), il ne possède pas plus qu'un autre et l'inégalité disparaît. Dans la théorie, le modèle est séduisant, mais dans la pratique il a montré que la résurgence de classes inégales, certaines plus pauvres que d'autres, semble

fixer, il cumule « des petits boulots » en passant de l’Ouest des Etats-Unis jusqu’à Deadwood, le Michigan, l’Idaho ou encore Chicago. A travers ces éléments, Anderson nous fournit déjà les premières caractéristiques de ce mode de vie hobo. De travail en travail, de déplacements en déplacements, le hobo subit le processus d’américanisation de cette époque. Selon l’auteur la catégorie d’ouvriers que représentent les hobos est le fruit du désordre provoqué aux Etats-Unis par l'industrialisation, l'urbanisation

d'externalités. La théorie du capital humain est dans la stricte ligne de l'école néoclassique puisqu'elle retient l'idée d'un arbitrage rationnel des individus en situation d'information parfaite. Elle considère aussi que sans éducation, la force de travail est indifférenciée ; à l'équilibre, le salaire est égal à la productivité marginale. Cette théorie améliore considérablement l'analyse économique de la répartition, en montrant que les différences de revenu sont en partie motivées par la formation

Marx. Il y a division de la société, entre la Bourgeoisie et le Prolétariat. Les classes existent réellement d'après Marx, il y a une exploitation des prolétaires, c'est-à-dire des ouvriers, par les Prolétaires, car il ne peuvent que vendre leur force de travail, ceci étant leur seule ressource, alors que la Bourgeoisie possède les moyens de production. Cette bipolarisation de la société était très forte pendant les « Trente Glorieuses ». Depuis, on a constaté des changements sur la définition de classe

existence. Le profit comme but - Analyse marxiste Dans une économie capitaliste, la force de travail est une marchandise comme toutes les autres. Elle s'achète au prix du salaire, et sa valeur dépend de l'état du marché du travail. Plus il y a de chômeurs, plus la force de travail est dévaluée, suivant la loi de l'offre et de la demande. Mais, à la différence de toutes les autres marchandises, la force de travail est elle-même productrice de valeur. En une journée, un ouvrier produit plus que ce

devient provisoirement (mais provisoirement seulement ) le plus efficace. |FORCES PRODUCTIVES |MODES DE PRODUCTION |RAPPORTS DE PRODUCTION | |Force musculaire |Mode de production asiatique |Sociétés quasi esclavagistes dans lesquelles la | | |