Forêt de Roumare

eu lieu) . 2-Les événements surnaturels Le Horla 2 : ils sont nombreux : les crises du narrateur durant son sommeil ( a l’impression que quelqu’un se penche sur lui pour l’étrangler), son impression d’être suivi (notamment dans la forêt de Roumare), l’épisode de la carafe d’eau, le moment où il a l’impression de voir une rose s’élever seule dans les airs… Le tour d’écrou : les moments où la gouvernante voit les domestiques, alors que ceux-ci sont en fait morts : quand elle voit Quint

soulagé, le narrateur est en proie à une terreur inexplicable. Ses nuits sont hantées par un cauchemar récurrent, au cours duquel il est agressé par un être invisible. Son état empire au fil des jours. Au cours d’une promenade dans la proche forêt de Roumare, il se sent suivi par une présence invisible tout près de lui. Le narrateur décide de partir en voyage. Le narrateur part visiter le Mont-Saint-Michel. L’excursion est merveilleuse, les paysages l’enchantent. A son retour il pense être

soulagé, le narrateur est en proie à une terreur inexplicable. Ses nuits sont hantées par un cauchemar récurrent, au cours duquel il est agressé par un être invisible. Son état empire au fil des jours. Au cours d’une promenade dans la proche forêt de Roumare, il se sent suivi par une présence invisible tout près de lui. Le narrateur décide de partir en voyage. Le narrateur part visiter le Mont-Saint-Michel. L’excursion est merveilleuse, les paysages l’enchantent. A son retour il pense être enfin

soulagé, le narrateur est en proie à une terreur inexplicable. Ses nuits sont hantées par un cauchemar récurrent, au cours duquel il est agressé par un être invisible. Son état empire au fil des jours. Au cours d’une promenade dans la proche forêt de Roumare, il se sent suivi par une présence invisible tout près de lui. Le narrateur décide de partir en voyage. Le narrateur part visiter le Mont-Saint-Michel. L’excursion est merveilleuse, les paysages l’enchantent. A son retour il pense être enfin

des cauchemars effroyable, il rêve qu’on l' étrangle dans son sommeil. Il a peur de se couché le soir. Il a « sans cesse des sensations affreuses de danger menaçant » Juin : Son état s'est aggravé. Il décide alors de faire un tour dans la foret de Roumare et il se sentit suivi et a du mal a retrouver son chemin, il a eu une sensation de vertige et il décide donc de partir en voyage pour se changer les idées. Juillet : Le narrateur va visiter le mont Saint-Michel. Il dit que son excursion était

l’exception de l’excursion au mont Saint-Michel, qui dure une journée. 2. Principaux événements relatés du 12 mai au 2 juillet : état maladif inexplicable, consultation du médecin, prise de remèdes, cauchemars récurrents, promenade dans la forêt de Roumare (grande forêt près de Rouen), voyage, excursion au mont Saint-Michel. 3 3. Champ lexical de la maladie (l. 1 à 47). Le 12 mai : « fièvre » (l. 1), « je me sens souffrant » (l. 1-2), « a ébranlé mes nerfs » (l. 11), « nos organes » (l. 18). Le 16

beaucoup de temps en utilisant le pronom personnel « Je ». On peut trouver les exemples suivants. « J`ai passé tout la matinée étendue sur l`herbe » Page 1 « J’ai un peu de fièvre depuis quelques jours » Page 2 « J´allai faire un tour dans la forêt de Roumare » Page 4 « J’ai visité le mont Saint-Michel » Page 5 « Je vais partir tout à l´heure pour Paris » Page 10 « Je pus enfin me distinguer complètement, ainsi que je le fais chaque jour en me regardant » Page 25 La description de lieux et des

rationnels. Pourtant il se passe des évènements inexplicables. Le narrateur a des crises pendant son sommeil, il ressent une présence inquiétante et invisible qu’il nomme le Horla. Celui-ci veut l’étrangler. Il a l’impression d’être suivi dans la forêt de Roumare, l’eau de sa carafe est bue pendant la nuit, il a l’impression de voir une rose s’élever dans les airs, il ne voit pas son reflet dans le miroir. Maupassant réussit donc à plonger le lecteur dans une profonde angoisse au travers des aventures

se réveille tout en sueur, à chaque fois il allume une bougie et voit qu’il est seul. À ce stade de l’histoire je commence à me demander si cet homme n’est pas fou. -Le 2 juin, son état s’est encore aggravé. Il va faire un tour dans la forêt de Roumare, on peut comprendre que là-bas il se sent très bien. Il pensait être suivit, mais non dès qu’il se retourne il ne voit personne. Et puis c’est la qu’il se perd : il ne sait même plus par où il est venu. -Le 3 juin, il projette de faire un

J'aime la chasse et la pêche. Or, j'avais derrière moi, au-dessus des grands rochers qui dominaient ma maison, une des plus belles forêts de France, celle de Roumare, et devant moi un des plus beaux fleuves du monde. Ma demeure est vaste, peinte en blanc à l'extérieur, jolie, ancienne, au milieu d'un grand jardin planté d'arbres magnifiques et qui monte jusqu'à la forêt, en escaladant les énormes rochers dont je vous parlais tout à l'heure. Mon personnel se compose, ou plutôt se composait d'un cocher