Forêt du Bassin du Congo

anti-érosives........................................................ 57 5.1.4 Marchés et lutte anti-érosive ................................................................................. 59 5.2 Les coûts et bénéfices des programmes d’aménagement des bassins versants ......... 60 5.2.1 Coûts et stratégies d’aménagement ..................................................................... 60 5.2.2 La réhabilitation du milieu : nécessité et opportunité économique ....................... 61 5.3 Les conditions

municipales et agricoles. Alors que de nombreuses questions demeurent sur la façon de traiter et d'atténuer les pressions sur nos ressources en eau, les progrès réalisés dans certains secteurs est à noter. Les unités naturelles, telles que les bassins hydrographiques et les systèmes aquifères, sont de plus en plus institutionnellement reconnue: un exemple est la directive cadre sur l'eau. L'évaluation des ressources est de plus en plus adoptée par les programmes nationaux et régionaux. Une attention

croissance Dynamiques géographiques des grandes aires continentales © Cned - Académie en ligne Séquence 6 – HG00 3 1 L’Amérique : puissance du Nord, affirmation du Sud Plan du chapitre : traitement de la problématique Notions clés Repères A- Le Bassin Caraïbe : interface américaine, interface mondiale Interface, tourisme, migrations, trafics (drogue, armes, argent…), paradis fiscaux 5 documents (cartes, texte, photographies) B- Le continent américain entre tensions et intégrations régionales

africain, Utile, Assié, Kilouka, Mbel, Efobrodedwo, Ijebu Taille : Arbre qui peut atteindre les 60 m et de 2 m de diamètre. Statut de l’espèce : Vulnérable (IUCN) Forêts d’où vient ce bois : Forêt tropicale humide du Bassin du Congo, Côte d'Ivoire Menaces spécifiques à l’espèce Arbre surexploité (dans les 5 premiers en République du Congo), risque de disparition locale malgré une plutôt bonne capacité de régénération dans les milieux ouverts (défriche ou trouée d’exploitation) . Les jeunes plantules

potentialités du milieu. ® l’aménagement pour l’extraction minière, traditionnellemnt limitée, reliée à la ville par une route de montagne ou dès la fin du XIXème par des téléphériques. On observe aujourd’hui des aménagements très localisés dans les bassins intra-montagnardes. Il faut souligner l’importance économique qu’offre une région d’altitude où la zone présente d’importants minerais. Ainsi, au Chili septentrional, il existe en raison d’exploitations minières, des villages à plus de 5000 m. ®Concernant

entre 120 et 150 km/h dans la moitié sud de la France, à plus de 150 km/h sur la Bretagne et le Bassin parisien (172 km/h à Orly). Soixante-neuf départements ont alors été déclarés en état de catastrophe naturelle, et 88 personnes sont mortes du fait de la tempête. En CharenteMaritime par exemple, il y a eu 15 morts, 60 blessés, 250 000 foyers privés d’électricité, 200 bateaux endommagés ou coulés, des forêts entières dévastées. Si le coût humain et économique de telles tempêtes est très élevé, les conséquences

de cinquante projets PSE dans un pays comme l’Ouganda (Ruhweza et al, 2008), mais y inclut des initiatives aussi inattendues que les subventions accordées aux plantations industrielles de pin (supposées réduire indirectement les pressions sur les forêts naturelles pour le bois), et les projets de génération d’électricité à partir de barrages ou de valorisation des déchets dans l’agro-industrie. Ces expériences profitent en fait d’un concept imprécis, aux frontières peu nettes avec celles d’autres

moteur de l’économie du pays. Les ressources non renouvelables, comme le pétrole et le gaz naturel, énergies fossiles, fournissent l’énergie nécessaire à la production de presque tous les biens et services. Les ressources renouvelables, comme les forêts, les poissons et les aquifères, sont parmi les ressources naturelles les plus précieuses de la planète. Avec une bonne gestion, elles peuvent fournir des produits qui participent à une bonne qualité de vie. Les ressources naturelles occupent une place

durable des ressources partagées avec les pays voisins est abordée d'autre part. Cette approche pluridisciplinaire a mis à contribution une équipe de 15 experts nationaux sous la haute autorité du Professeur Mbede, Ministre de l'Environnement et des Forêts, assisté de Monsieur Essame, Conseiller Technique N 2. La coordination technique a été assurée par Monsieur Mbassi Menye, chargé d'Etudes Assistant à la Direction de l'Environnement, assisté de Monsieur Mbouegnong, Adjoint au Chef de Division des

02 43 83 31 92 Moise.Tsayem_Demaze@univ-lemans.fr Introduction La forêt amazonienne suscite l’attention de la communauté internationale depuis quelques décennies suite à l’évolution de la déforestation en particulier au Brésil. Cette déforestation est perçue au niveau international comme une menace voire un danger écologique et climatique aux répercussions planétaires. Pourtant au niveau national, la déforestation à laquelle la forêt amazonienne du Brésil est soumise depuis les années 1970 semble inscrite