Formation brute de capital fixe

production dans le but d’améliorer la qualité de la production, la quantité produite, et si possible une réduction de couts. Ce qui débouche sur la théorie de substitution du travail sur le capital L’investissement immatériel : (= théorie du capital humain *citation Baker) tout ce qui correspond à la stratégie du capital humain, cela veut dire que l’entreprise investit sur ces hommes pour être plus performants dans la démarche productive, innovatrice et, c’est aussi l’acquisition de brevets logiciels

Chapitre 2 : Accumulation du capital, progrès technique et croissance : Problématique : Quels sont les effets de l’investissement et du progrès technique sur la croissance ? àComment et pourquoi investir ? L'investissement est « l'augmentation du stock de capital ». Quand une entreprise achète une machine, elle investit, car elle accroît son stock de capital (après l'opération d'investissement, elle aura une plus grande quantité de moyens de production qu'avant). Les agents économiques disposent

décision d'investir Tout d'abord, l'investissement est une opération provenant des agents économiques, d'achats de biens de production afin de favoriser leur processus de production. Ainsi, on peut le qualifier de flux qui alimente le stock de capital. On peut séparer l'investissement en deux catégories: l'investissement des ménages et les investissements des entreprises. les investissements des ménages se limitent aux logements et aux terrains. Toutefois, ceux des entreprises comprennent les investissements

croissance, qui était jusque là très faible (et même négative pour l'année 1993) repart et passe à près de 4 % en 1999. On peut également dire que lorsque la croissance est forte, l'investissement augmente, et inversement. 2) En 2007, la Formation Brute de Capital Fixe, c'est-à-dire l'investissement des entreprises, a contribué à un point de croissance du PIB. En d'autres termes, l'évolution de l'investissement a permis d'augmenter le PIB de 1 %, toutes choses égales par ailleurs. 3) Les deux principaux

pour lesquelles ils ne donnent pas le meilleur d’eux-mêmes. C’est donc un facteur de hausse de la productivite?. •De plus, certains pensent que les inégalités salariales liées à l’individualisation des salaires (salaire au mérite formé d’une partie fixe et d’une partie variable en fonction des performances du travailleur) créent une émulation favorable à la productivite? : pour accroître son salaire, chacun fait des efforts et se montre le plus productif possible. B-Réduction des inégalités et croissance

représentation de l’économie : L’une considère l’économie comme un ensemble de marchés ou se confrontent une offre et un demande. Chaque bien ou service échangé est représenté par son marché (marché du travail, marché des biens, marché des capitaux….) et les entités économiques fondamentales (entreprises, ménages) fonctionnent de manière interdépendante, ce qui signifie que l’action de l’une de ces unité a des conséquences sur le comportement des autres agents économiques. L’autre décrit

des administrations publiques Les dépenses par agent responsable Croissance des investissements environnementaux : Une nette amélioration en 2005 Formation brute de capital fixe : FBCF Investissement de protection de l’environnement Secteurs plutôt en extension et plus important que le reste La dépense courante progresse au rythme de l’ensemble de la consommation nationale * Consommation globale ou nationale

D’ENSEIGNEMENT : 2 h par semaine. I- Programme : Eléments du programme Recommandations et précisions Partie I : Les concepts économiques de base 1- Le marché 1-1- Définition 1-2- Typologie : marchés de biens et services, du travail, des capitaux et celui de change 1-1- Définition 1-1-1- Sens concret 1-1-2- Sens abstrait 1-2- Composantes du marché 1-2-1- Offre 1-2-2- Demande 1-2-3- Prix 1-2-5- Instrument

l’investissement d’une entreprise. Notre module va appréhender ce modèle Investir, c’est utiliser des ressources actuelles qui seront consommées immédiatement et dont on attend des ressources futures reparties dans le temps et supérieures au capital initial. Le risque majeur est le caractère réel des dépenses alors que la séquence des recettes est aléatoire et repose sur l’espoir. Les investissements contribuent au développement de l’entreprise et détermine sa pérennité. La politique d’investissement

conséquences. Les ………………………………………….. d’une Nation sont constituées par la production , mesurée par le …………………………………….. plus les importations. Les …………………………………………….. comprennent la consommation finale des ménages et des administrations (C), le formation brute de capital fixe (FBCF), les exportations (X) et la variation de stock (VS). Au niveau macroéconomique, il y a forcément ……………………………………….. entre les …………………………………………….. et les ………………………………………………. Cet …………………………………………….. comptable n’exclut pas des déséquilibres