Formation brute de capital fixe

Taux d'investissement immobilier (l ) .@ q o 'tr f 6 c c o o 'ô. o ! o o o c 1959 1966 1973 1980 1987 1994 2001 individuels) au revenu disponible brut. INSEE, Comptes nationaux 2008 (1): Rapportde la formation brute de capital fixe des ménages (hors entrepreneurs ! z o - Base 2000,2009 Entraînez-vou, a, ea. r i 33 En % du PIB 6 4 2 0 -2 -4 -6 -8 00 0i 02 03 04 05 06 07 08 Sociétés non financières Administrations publiques Ménages

l’achat de logements et de biens durables par les ménages. Sociétés et ménages ont ainsi nettement accru leur recours au crédit. Par ailleurs, l’amélioration des comptes des administrations publiques leur a permis de modérer leurs appels aux marchés de capitaux, facilitant ainsi aux sociétés l’émission, à de bonnes conditions, de titres de créances. Au total, l’implication des intermédiaires financiers (établissements de crédit, OPCVM et sociétés d’assurance) dans la phase d’accélération de l’économie française

richesse des nations. Les statisticiens ont pour habitude de calculer la productivité du travail par un ratio obtenu entre la production et le facteur travail, mais il est également possible de la calculer en utilisant d’autres facteurs comme le capital, l’investissement ou les matières premières. On parlera également de productivité globale des facteurs lorsque l’on souhaitera avoir une vue d’ensemble du processus de production. Ce qui détermine en outre (de manière approximative) le progrès technique

impôts moins les subventions sur les produits (lesquels ne sont pas affectés aux secteurs et aux branches d'activité) ; * Le PIB est égal à la somme des emplois finaux intérieurs de biens et de services (consommation finale effective, formation brute de capital fixe, variations de stocks), plus les exportations, moins les importations ; * Le PIB est égal à la somme des emplois des comptes d'exploitation des secteurs institutionnels : rémunération des salariés, impôts sur la production et les

mondiale prise dans son ensemble n'est rien d'autre qu'une économie fermée. Dans tous ses développements, Keynes raisonne clairement en termes de valeurs nettes au sens de la comptabilité nationale, c'est-à-dire après déduction de la consommation de capital fixe, mais, dans un souci de simplicité, nous commencerons l'exposé par des valeurs brutes. Deux points de vue L'égalité entre le revenu national et la somme des valeurs ajoutées correspond à la description d'une même réalité, la richesse globale

engagés, des prestations en espèces, lorsqu’un assuré social se retrouve dans l’incapacité de travailler pour cause de maladie. Elles prennent la forme d’indemnités journalières. Si les subventions au système de soins, les dépenses de recherche et de formation médicales, celles de gestion de l’administration sanitaire et celles liées à la médecine préventive (médecine scolaire, du travail, protection maternelle et infantile) sont également prises en compte, on obtient la dépense courante de santé. Celle-ci

financières La comptabilité nationale décrit un équilibre entre les emplois et les ressources sur les opérations sur biens et services, avec l’équation emplois-ressources : Produit Intérieur Brut + Importations = Consommation finale + Formation Brute de Capital Fixe + Variations de stock + Exportations La comptabilité nationale traite deux types de flux : des flux physiques (biens ou services) et en contrepartie des flux monétaires, c’est le circuit économique. Grâce à la comptabilité nationale

impôts moins les subventions sur les produits (lesquels ne sont pas affectés aux secteurs et aux branches d'activité) ; - le PIB est égal à la somme des emplois finals intérieurs de biens et de services (consommation finale effective, formation brute de capital fixe, variations de stocks), plus les exportations, moins les importations ; - le PIB est égal à la somme des emplois des comptes d'exploitation des secteurs institutionnels : rémunération des salariés, impôts sur la production et les importations

l’économie permettant de déterminer « qui produit quoi ? ». * Approche par la demande : elle va mesurer l’utilisation finale des biens et des services produit au sein du territoire. Dans cette approche le PIB = consommation finale + formation brute de capital fixe (FBCF) + exportation. L’intérêt d’une telle approche est de voir quels sont les moteurs de l’économie. En France le véritable moteur est la consommation finale (50% du PIB). * Approche par les revenus : évaluée à partir des différents

impôts moins les subventions sur les produits (lesquels ne sont pas affectés aux secteurs et aux branches d'activité) ; • Le PIB est égal à la somme des emplois finaux intérieurs de biens et de services (consommation finale effective, formation brute de capital fixe, variations de stocks), plus les exportations, moins les importations ; • Le PIB est égal à la somme des emplois des comptes d'exploitation des secteurs institutionnels : rémunération des salariés, impôts sur la production et les