Formes Poétiques Automne Malade

Fiche synthétique d’Alcools, Guillaume Apollinaire, 1898-1913Œuvre étudiée : Alcools, poésie. Parcours associé : Modernité poétique ? En quoi consiste le parcours ? – · Ce parcours proposé pour étudier cette œuvre, mis sous forme de question,  suggère, plutôt qu’il affirme son appartenance à la modernité poétique  en raison de la présence du point d’interrogation. Comme esquissé précédemment, Apollinaire se place à cheval entre monde ancien, sources d’inspiration

que chaques humais avait quatre humeurs qui circulait dans le corps . Ce qui signifiait aussi que lorsque quelqu'un était malade , ses humeur était en désequilibre . Chaques humeurs était associer a une couleur , un élément naturel et un trait de caractère . Le sauguin : rouge , feu , été Le colérique : marron , vent , le primptemps Le melancolique : noir , terre , automne Le Flegmatique : Bleu , eau , hiver Le melancolique aurait de « la bile noir » qui coule en lui , cees effets serait

officiel pour le 26 juin 2 Objet d’étude : La poésie du XIXe siècle au XXIe siècle Œuvre intégrale : Alcools de Guillaume Apollinaire,1913 Parcours associé : Modernité poétique ? Textes de l’œuvre intégrale Édition au choix de l’élève 1) « Zone » (24 premiers vers) 2) « Automne malade » 3) « Nuit rhénane » Texte(s) du parcours associé 4) « Correspondances » de Charles Baudelaire in Les Fleurs du mal, 1857 5) « Sois tranquille, cela viendra ! » de Philippe

comme a dit de lui le critique littéraire Pierre Brunel.Pbmatique.Pour répondre à cette question, nous allons dans un 1er temps analyser les ressorts modernes de l’œuvre d’Apollinaire, puis de quelle manière son écriture s’enracine dans la tradition poétique, pour enfin comprendre l’esthétique propre au poète.I. Un recueil symbole de modernitéA. Un hymne à la modernité. Le premier poème du recueil intitulé Zone plonge dès le début le lecteur dans un monde nouveau

disgrâce. La nature va de pair avec la poésie, toutes deux ont su toucher tous les peuples et toutes les époques. Si la nature est aux origines même de l’Humanité, la poésie date, elle aussi, de la nuit des temps puisqu’elle est l’une des plus anciennes formes littéraires. Etymologiquement, le mot poésie vient du grec ’’poïen’’, qui signifie ‘’créer’’. Le poète est donc un artisan mais il tire son inspiration de chose qui le dépasse, telle que les forces de la nature qui peuvent alors être associé au Divin

insolites, une richesse de la prosodie innovative. ‘’Zone’’, poème liminaire du recueil ’’Alcools’’ mais écrit le dernier en 1912, lui servit moins de préface, bien qu’Apollinaire y appliqua la suppression systématique de la ponctuation, qu’aux formes poétiques ultérieure Le pont Mirabeau Conclusion Avec ‘’Le pont Mirabeau’’, Apollinaire a su revivifier l’éternel thème lyrique de l’écoulement de l'eau pour exprimer la fuite du temps, à la fois irréversible et immuable, l’idée banale de cette loi de

l’amour dans La courbe de tes yeux de Paul Eluard, ou encore le temps qui passe et la nature réunis dans Automne Malade de Guillaume Apollinaire. Ce sérieux dans la poésie est directement lié à son origine même. Au départ la poésie était quelque chose de très sérieux, la plupart du temps utilisée pour des choses religieuses comme les célébrations aux Dieux. Aussi, un des premiers genres poétique est la poésie épique, venant de l’épopée qui est un genre littéraire très ancien, c’est long récit racontant

qui peut en parler lors de la période difficile du cubisme. En 1913, Apollinaire publie « Les Méditations esthétiques » et « Les Peintres cubistes ». Il est reconnu puisqu’il anime les Soirées de Paris et pour son chant poétique. Apres 1913, il se focalisera sur le chant poétique. Ensuite, il y aura une pénurie de papier, il sera donc inactif pendant un moment et il reprendra en 1916. En 1911, il fera un séjour en prison (moment de désespoir ou de recherche par désespoir). Explication : en fait

supprimé toutes les marques de ponctuation sur les épreuves du recueil. Il s’agit donc d’un remaniement tardif, mais décisif, qui doit inviter à examiner avec une attention soutenue les propriétés rythmiques, mélodiques et structurelles d’un texte poétique non ponctué. « Pour ce qui concerne la ponctuation, déclarait Apollinaire, je ne l’ai supprimée que parce qu’elle m’a paru inutile et elle l’est en effet ; le rythme même et la coupe du vers voilà la véritable ponctuation et il n’en est point besoin

caresse. » (rime batelée=reproduit le son à l'hémistiche du vers suivant). Louise de Vilmorin: « Étonnamment monotone et lasse/Est ton âme, en mon automne hélas » (vers olorime). Du Bellay, Défense et Illustration de la langue française: « une bien amoureuse musique tombante en un bon et parfait accord » (D.B conseille les rimes riches). Boileau, Art poétique: « la rime est une esclave et ne doit qu'obéir » (les classiques ôtent le prestige de la rime). Emile Deschamps, Études françaises et étrangères