Fort de Vaux

Un château (du latin castellum, d'où le terme de castellologie, l'étude des châteaux) est une structure fortifiée essentiellement construite et habitée par la noblesse au Moyen Âge en Europe, au Moyen-Orient et en Asie . Le château fort est une innovation européenne apparue au IXe siècle après la chute de l'Empire carolingien dont le territoire a été divisé entre seigneurs et princes. Ces nobles construisirent des châteaux pour contrôler, par la défense passive, mais aussi active, la zone les entourant

présentée à l’exposition universelle de 1889 où elle rencontra un vif succès ; Hilaire de Chardonnet s’associe avec JB Weibel, fabricant de papier bisontin qui lui propose de construire une usine « la société de soie Chardonnet » à Besançon aux Prés de Vaux en 1889. Mais les difficultés apparurent rapidement : les eaux du Doubs ne convenaient pas, il a donc fallu creuser un puits qui augmentait les frais d’exploitation de l’usine. Cependant les soyeux lyonnais, intéressés par la soie Chardonnet permit

Conférence PH. Jeammet – 25 01 2012 « Quand la rencontre avec l’autre devient une menace » Le sentiment de menace Les conduites liées à un fort sentiment de menace ne sont pas des choix. Elles sont le reflet d’une peur insurmontable. Les menaces perçues sont significatives d’un mal-être plus ou moins profond, souvent lié à la peur. Le repli sur soi est une manière de devenir maitre de son destin. Se couper des autres est un moyen de retrouver le contrôle de quelque chose, même si on est conscient

écrit l’école des Femmes. Molière, pour approcher le Roi reprend sa charge de tapissier. Il parle donc tous les matins et tous les soirs à Louis XIV Fouquet, le surintendant des financiers du Roi organise des festivités gigantesques dans son Château de Vaux le Vicomte, Molière y donnera pour la première fois une comédie ballet (Les Fâcheux). Louis XIV à l’issue de ses festivités décidera d’aménager Versailles pour pouvoir y vivre : et après avoir donné à Molière le théâtre du Palais Royal, il le nomme

j'espère de tout mon coeur qu'un beau jour tu verras ce que tu as raté. Je n'aurai jamais cru dire ça mais merci de m'avoir fait mal. Merci de m'avoir blesser, de m'avoir déçu, de m'avoir fait pleurer à chaud de larmes. Maintenant je sais ce que je vaux, je sais qui je suis, et j'ai compris que tu ne me méritait pas. Tu n'as plus d'importance, mon cœur ne connaît plus ton prénom, mes larmes non plus. Je vais enfin vivre, ce que je n'arrivais pas à faire avant car je croyais que je ne pouvais pas être

cette façon, Molière confronte deux personnages et illustre une seule et même idées; les médecins de l’époque ce serve des gens naïfs avec leur langage afin d’influencer leur clients, alors qu’il n’ont aucun réel savoir et qu’aux font, ce qu’il dise ne vaux rien. // De cet aspect du roman, nous pouvons donc conclure que les gens de l’époque étaient naïfs et qu’ainsi, n’importe qui pouvait abuser du titre de médecin. Molière ce sert aussi de cet œuvre pour dénoncer le peu de crédibilité que détiens

Verdun:    Introduction:    La bataille de Verdun a eu lieu pendant la première guerre mondiale (1914­1918),  elle a débuté le 21 février 1916. Le 25 février 1916  les Allemands attaquent le fort  de Douaumont, et dans la soirée, ils  occupent le fort. Le 24 octobre 1916 le fort est  repris par le Régiment colonial du Maroc (Régiment blindé français), qui fait partie  des divisions Mangin. La bataille de Verdun se termine le 19 décembre 1916.  La bataille débute par un manque de ressources en hommes et en matériels de 

siège de Colbert, le 15 novembre. 1695 La Fontaine meurt à Paris le 13 avril à l'âge de 74 ans. Formules Célèbres * Tout flatteur vit aux dépens de celui qui l’écoute. (Le Corbeau et le Renard, l, 2) * La raison du plus fort est toujours la meilleure. (Le Loup et l’Agneau, l, 10) * Si ce n’est toi, c'est donc ton frère. (Le Loup et l’Agneau, l, 10) * Plutôt souffrir que mourir, c’est la devise des hommes. (La Mort et le Bûcheron, l, 16) * Je plie et ne romps

condamné et peu à peu oublié, Lescot conserve sa réputation et son influence tout au long du Grand siècle. Les réformes a l’Antiquité ont une fonction à première vue esthétique car on remarque l’emploi d’un rythme triomphal avec des colonnes en fort relief, ainsi que des jeux subtiles d'interruption des entablements. Puis d’autres éléments, qui sont ou deviendront des caractérises apparaissent tel que, les croisés, les fenêtre segmentaires ( à la partie supérieur en arc de cercle ) et le toit

Noble le Lion. Nous déveloperons deux thèmes ; premièrement l’esprit malsain qui règne à la cour, ensuite nous nous attarderons sur le discours sage et posé de Seigneur Grimbert qui tente de soutenir et conseiller le pauvre Renart d’ordinaire si fort et courageux qui tremble à l’idée d’affronter Isengrain et l’ensemble de la cour liguée contr lui. Cet extrait de 52 vers peut être séparé en 3 parties bien distinctes. La première, allant du vers 1 au 27ème, décrit l’euphorie de la cours dans l’attente