Foudre

II-La rencontre : 1-Le regard (champ lexical du regard) 2-La voix : les parole qui n’attendent pas de réponse, solennité III-La Beaute de Mme de Warens 1-portrait restreint au visage, aux yeux, teint, gorge 2-Amour : le coup de foudre, le bouleversement ressenti par l’inversion du sujet, « devins-je »

de la caserne, c'est cela au fond qui la rend supportable à la jeunesse. La camaraderie mène à l'amitié : deux garçons découvrent entre eux une ressemblance : « Moi aussi... C'est comme moi... » tels sont les mots qui d'abord les lient. Le coup de foudre est de règle en amitié. Voilà leur semblable enfin, avec qui s'entendre à demi-mot. Sensibilités accordées ! Les mêmes choses les blessent et les mêmes les enchantent. Mais c'est aussi par leurs différences qu' ils s'accordent : chacun admire dans

partie de sa famille, dont son frère. Car à l'origine Maxime et Tania étaient beau-frère et belle-sœur. Hannah la première femme de Maxime était la sœur de Robert, époux de Tania. Maxime et Hannah avaient un fils Simon. Maxime avait eu le coup de foudre pour Tania, sa belle-sœur le jour de son propre mariage. Ils avaient tenté de s'oublier jusqu'à ce que la guerre ne les rattrape. Certains membres de la famille avaient pu gagner la zone libre d'autre pas. Maxime et Tania avaient eu la chance de rejoindre

Le Voleur de foudre Percy, adolescent perturbé, suit des cours dans un établissement spécialisé pour les jeunes en difficulté. Il rentre parfois chez sa mère, Sally Jackson, une femme qu'il considère la meilleure mère au monde, malgré le fait qu'elle vive avec un immonde fiancé, Gaby, que Percy surnomme avec justesse "Gaby Pue-grave". Il se trouve qu'en pleine visite scolaire, sa professeur de maths se transforme en véritable harpie, lui demandant de lui rendre un certain objet que bien sûr

I ) Le coup de foudre de Mme de Clèves 1°) L'attente Mme de Clèves a été préparé à cette rencontre puisque tout le monde lui a déjà parlé du duc. l.1 : elle « avait ouï parler de ce prince à tout le monde ». On lui en parle de façon élogieuse. Deux superlatifs sont utilisés : l.2 : « ce qu'il y avait de mieux fait et de plus agréable » Mme la Dauphine, en particulier, lui en parle avec insistance l.3 : « lui avait dépeint d'une sorte, et lui en avait parlé tant de fois » La dauphine

L’amour en famille Lors d’un banquet J’eux un cachet Marquer par le coup de foudre D’une femme unique Son savoir faire Vis-à-vis de moi et mes frères Nous unissaient en équipe Et l’on se sentait protégé. Et oui mes ailiers Qui pourrait former un tel atelier Si ce n’est qu’une mère Cachetant, protégeant, soudant Une équipe unique Pour la vie. Et voilà à qui mon cœur dit merci Si ce n’est à toutes les mères Majestueuses, magnifique, soulante Ce n’est qu’une blague Vous savez bien mères Que votre

merveilleux possédant des pouvoirs sur Lanval. Ceux-ci ont d’ailleurs été manifesté lors qu’elle rencontre Laval et qu’il est ébahie par sa beauté « l’amour le pique alors d’une étincelle» (l.117) L’utilisation de la métaphore symbolise le coup de foudre vécu par le personnage. Il tombe instantanément en amour avec elle, comme si elle lui avait jeté un sort. Simplement en désirant son amour, elle arrive à l’obtenir. Finalement, leur amour anonyme et leur histoire d’amour digne d’un conte de fée prouve

Séquence 3 LA BAC 2 : la rencontre d’Amiens : coup de foudre de DG pour Manon I- Le coup de foudre et la métamorphose de DG 1- Le hasard de la rencontre - hasard de la rencontre : passé simple - effet de rapprochement/ opposition qui met en valeur la jeune fille : le récit est centré sur l’importance de cette rencontre - description de Manon : mise en valeur par le zoom/ opposition entre l’activité qui est autour d’elle et la position de Manon : analyse du rythme  et des

POURQUOI PEUT-ON DIRE DIRE QUE CETTE RELATION EST VOUE A L’ECHEC ? I) Le coup de foudre La rencontre entre Manon Lescaut et le chevalier Des Grieux a tout les aspects d'une rencontre banale. En effet elle est totalement due au hasard, puisque Des Grieux en se promenant en compagnie de son ami Tiberge, suit un coche sans « d'autres motifs que la curiosité» (l.4). Le lieu est lui aussi des plus banal: «jusqu'à l'hôtellerie» (l.3), «à Amiens» (l.14), «seule dans la cour» (l.5). Grâce à la

grandes parties : Dans un premier temps nous allons étudier le récit d’un coup de foudre et dans un second temps nous étudierons l’amour interdit et fatal entre Phèdre et Hyppolite. Aisin nous pouvons conclure que Phèdre déclara à Oeunone son amour pour Hyppolyte, le fils de son mari Thésée, ainsi elle se libère d’un terrible poids qui la hante. Mais c’est en avouant ces sentiments qu’elle va s’attirer la foudre des dieux, elle finira par mettre fin à ses jours pour mettre fin à cet idylle impossible