Foulard

désordre volontaire par rapport au thème évoqué. Il y a deux plans principaux, le radeau au premier plan et le paysage au second plan. Au premier plan: Radeau en ruine, mise en scène de 4 cadavres Second plan: Groupe d'hommes dont 2 agitent un foulard, le mer, sur celle-ci on aperçoit un navire au fond à droite. Le ciel est éclairé sur la gauche alors qu'il est très sombre sur la droite. Les personnages représentés sont les 15 rescapés des 149 personnes qui avaient pris place sur le radeau qui

moulage et elle est composée de résine de polyester,de fibre de verre ainsi que de vrais produits de supermarché et de vêtement car le mouvement artistique de cette œuvre est l'hyperréalisme. Description : On voit une grosse femme blanche,avec un foulard sur la tête laissant apparaître ses bigoudis et une cigarette aux lèvres. Elle a le regard vide et fatigué .Elle porte un haut rose et une jupe bleue, des collants, un sac noir, un collier ainsi que des chaussons aux pied. Elle pousse un caddie rempli

«  en plus tu as un jouet pour quinze goce tu voi ? » ce passage tiré du texte montre aussi les liens social que peut créez le football. « L’autres fois il y’a deux Rockys ( gothique ) qui arrive mais vraiment des Rockys habillé tout en noir, foulard noir….. et ils on taper le ballon pendant une heure » Ce passage du texte nous montre bien que le football unis les personne quelque sois leur appartenance social, le football a prouvé plusieurs fois qu’il a le pouvoir de franchir toute les barrière

Le Drapeau liégeois Terrain : terrain plat et assez vaste (un peu plus qu'un terrain de hand) Age des enfants : A partir de 8/10 ansMatériel : -2 fanions,drapeaux, ou autres.-Maquillages, foulards ou brassards, etc... Pour visualiser les équipes.Joueurs : 20 à 30 répartis en 2 équipes Disposition : Chaque équipe attribue à ses joueurs un nombre en commençant par le 1. Sur une longueur du terrain, les deux équipes. Aux coins opposés des équipes, un drapeau à la couleur de l'équipe. Règles : 1° L'animateur

les cheveux. 2- A première vue on pourrait croire que c’est une scène habituelle : une femme qui fait ses courses. Mais en l’observant de plus près on peut voir que cette femme est négligée : elle porte des bigoudis sur la tête recouverte d’un foulard, une cigarette au coin de la bouche, elle a des chaussons de couleur bleu clair aux pieds et le regard dans le vide. Elle porte un collier jaune, un tee-shirt rose, une jupe bleue et un à sac à main noir pendu à sa main droite. Elle pousse un caddie

perroquets. (sachet de pipas) 1. A voile et en papier. (bateau en papier) 2. Un pirate en a toujours une. (boucle d’oreille) 3. Tu te vois dedans et tu peux faire des signaux avec. (miroir) 4. Il n’y a pas que les femmes qui en mettent sur la tête. (foulard) 1. Les fantômes méticuleux le repassent tous les jours. (drap) 2. Les sorcières ne s’en servent pas pour faire le ménage. (balai) 3. Je suis tout petit mais je fais reculer Dracula. (ail) 4. Je suis indispensable pour circuler dans un souterrain

porte le bonnet de la police qu’il a surement volé. A droite, proche de la liberté, nous pouvons en voir un autre, il représente la jeunesse révoltée il a deux fusils, il en brandit un vers le ciel tout en lançant son cri de guerre. L’homme au foulard sur la tête : C’est un paysan venu travailler a la ville, il porte les couleurs de la ville de Paris. Etant gravement blessé, il se relève a la vue de la liberté comme si son désir de liberté était plus grand que la Révolution

cour est goudronnée, il y a de l’herbe sur l’autre partie. Nous ne sommes pas du tout intervenues dans cet endroit de l’école. En ce qui concerne le matériel, là encore l’école est bien équipée : balles, ballons, cerceaux, plots, cordes, rubans, foulards, chasubles, quilles, témoins, raquettes, volants, clochettes, bâtons, élastiques, vélos, tricycles… La classe à qui nous avons proposé notre cycle est celle de M. MIQUEU Arnaud, elle compte 19 élèves : 8 filles et 11 garçons de moyenne et grande

garçon, dont le bras droit est pointé vers le haut, tenant un pistolet dans chaque main. Il a lui aussi l’air bien habillé. Le personnage dessiné de profil est agenouillé devant la femme, qui elle, ne le regarde pas. Il a des vêtements froissés, et un foulard cramoisi sur sa tête. Finalement, au troisième plan, à droite, Notre Dame qui dépasse des fumées, laissant donc penser que la scène se situe probablement sur l'île de la Cité à Paris. Le ciel est sombre et les silhouettes de quelques autres combattants

qu’on appelle le serment d’Hyppocrate. Sophie referma la lettre et s’endormit. Le lendemain matin, elle se demanda si ce n’était qu’un rêve ou si la lettre était bien réelle. Elle regarda en dessous de son lit et elle trouva à coté de la lettre, un foulard rouge avec écrit dessus "HILDE"