Foulques V d'Anjou

déstabilisé par les occupations et les incursions des Vikings au début du xe siècle. La Bretagne perd ses dernières conquêtes sur l'Anjou, le comté du Maine et la Neustrie. En 909, à la suite de la mort du roi de Bretagne Alain Ierle Grand, Foulque Ier d'Anjou reçoit le comté de Nantes (comté qui avait définitivement acquis le Pays de Retz sur le Poitou). Ce dernier est repris aux vikings par le duc Alain II de Bretagne en 93727. Dès la fin du xiiie siècle (et bien avant l'union du Duché de Bretagne

à démontrer le bien fondé de la conquête de l’Angleterre par un duc choisi par Dieu. Il loue les vertus de prudence, de prévoyance, de piété, de sagesse et de justice de son seigneur qu’il oppose aux tyrans que sont GODWIN, HAROLD Ier et le comte d’Anjou GEOFFROI MARTEL. Absent de la bataille d’Hastings de 1066, il en propose néanmoins le meilleur récit. ORDERIC VITAL, Treize livres d’histoire de l’Eglise. ( Né à Atchtam, le 16 février 1075 d’une mère anglaise et d’un père français. (

« garde noble »: saisie féodale du fief par le seigneur jusqu’à la majorité du vassal. En France du Nord, on imita le système capétien: seul le fils aîné associé au père hérite du fief (les cadets doivent se débrouiller). A l’ouest, existe le parage (v.1100): chaque héritier a une part du fief qui est divisé, mais seul l’aîné prête hommage pour tout le fief et est redevable du service vassalique, le seigneur ne veut reconnaitre que lui. Dans le bassin Parisien, le Frérage: l’aîné obtient une part

vie sentimentale qu’on découvre des changements dans son comportement. Ses deux premiers mariages étaient des liaisons plus politiques qu’amoureuses: par l’union avec Ermengarde il a cherché à établir une relation de bon voisinage avec le Comte d’Anjou Foulques le Réchin, par celle avec Philippie il visait l’acquisition de Toulouse. Au moment où l’a gagné l’enthousiasme pour l’Orient, le sentiment de folhor installé dans son esprit devint perceptible. Il vend Toulouse, adopte une attitude ostensible

en outre fourni quelques indications : Latin 9, 231, pièce 5 et suiv. Français 2896, fol. 3 et suiv. - 3409, fol. 128. - 16533, fol. 343. Clairambaut, 297, p. 591. - 359, fol. 195. - 442 p. 1. 11 Dupuy, 152, fol. 75 77. Baluze, vol. 40, fol. 85 v°. Enfin, une notable partie de notre documentation manuscrite provient des Archives de la Ma ison de la Trémoïlle. Les liasses et registres du Cha rtrier de Thoua rs concernant Morna c-sur-Seudre, l’Ile de Ré et Soubise, nous ont fourni, surtout pour

scandinaves. l’Anglet erre. — IV. Les établissements scandinaves : la France. — V. La christianisation du Nord. — VI. A la recherche des causes. CHAPITRE III. — Quelques conséquences et quelques enseignements des invasions : I. Le trouble. — II. L’apport humain : le témoignage de la langue et des noms. — III. L’apport humain : le témoignage du droit et de la structure sociale. — IV. L’apport humain : problèmes de provenance. — V. Les enseignements. Livre deuxième : Les conditions de vie et l’atmosphère

Paris et contrôle le debouché de la Seine : les marchands. Le Duc de Normandie mene une politque perso avec la Bourgogne et l’Italie. Comté d’Anjou. Dirigé par le sinistre et cruel Foulque Nerra. Principauté edifié par la violence et en guerre permanente. Comté de Blois Champagne : le comte basé à Blois cherche à s’aggrandir mais se confronte à foulques puis au comte d’Acquitaine  il ne parvient pas à percer. Il se lance dans entreprises chimériques. En 1023, il réussit tout de meme à s’emparer

burgonde ou à un noble romain, qu'il soit contraint de payer XV sous. 2. S'il a brisé une dent à des personnes ingénues d'humble condition, tant Burgondes que Romaines, qu'il l'amende à X sous. 14. MARCULFE, Formules, I, 8 (éd. K. ZEUMER, M.G.H., LL, V, p. 47-48 ; trad. J. IMBERT, G. SAUTEL, M. BOULET-SAUTEL, op. cit., vol. I, p. 340-341). Charte de duché, de patriciat ou de comté. La perspicacité de la clémence royale est louée dans sa perfection pour ce qu’elle sait choisir entre tous les sujets

signifie « homme du nord ». Menacés à la fois par les raids vikings et par les traditionnelles tendances homicides de leurs parents, les Carolingiens ne trouvent rien de mieux à faire que de se tuer en tombant de cheval (Carloman II, Louis IV, Louis V). Voire en galopant, toujours à cheval, sous une porte basse à la poursuite d’une jeune fille (Louis III). Notez que le dernier roi carolingien tombe de son cheval lors d’une partie de chasse sur les terres d’un certain Hugues Capet. Cet Hugues Capet

cette rédaction se fit partt en latin, sauf chez les Angles et les Saxons. Ce sont ces coutumes rédigées qui portent improprement le nom de « lois barbares ». En Gaule, furent notamment diffusées : - la loi des Wis. ou Code d’Euric, la + ancienne (v. 470-480) - la loi des Bugondes (ou loi Gombette), rédigée sur ordre de Gondebaud au début du VIè s. - surtout : la loi salique, ou loi des Francs saliens (installés au N. de la Gaule, dans la partie la + occidentale). Celle de lois germaniques