Francesco Sforza

Condottieres). Du concept italien condotta qui signifie « contrat », les Condottieres étaient souvent d’origine étrangère mais ils incluaient aussi les nobles italiens comme par exemple les ducs Este de Ferrara, Gozangue de Mantoue et les Sforza, les ducs de Milan. Désireux de redorer leur blason, ces hommes mirent leur art et leur expérience au service des États en guerre en échange d'argent, de terres ou de titres[14]. I.3. Les Dix A Florence, les Dix se referaient aux dix bourgeois

1923 (on prête parfois son invention à Giovanni Amendola[4],[5] , opposant et victime du fascisme). Ce concept fut d'emblée un instrument de pensée et de lutte politique. Son emploi se répandit dans les milieux antifascistes italiens. Ainsi Carlo Sforza (libéral républicain), Gaetano Salvemini (gauche anticommuniste) et surtout Luigi Sturzo (démocrate-chrétien) furent dans l'Entre-deux-guerres des utilisateurs du concept de totalitarisme. En 1925, les théoriciens du fascisme reprirent de manière

Condottieres). Du concept italien condotta qui signifie « contrat », les Condottieres étaient souvent d’origine étrangère mais ils incluaient aussi les nobles italiens comme par exemple les ducs Este de Ferrara, Gozangue de Mantoue et les Sforza, les ducs de Milan. Désireux de redorer leur blason, ces hommes mirent leur art et leur expérience au service des États en guerre en échange d'argent, de terres ou de titres[17]. I.3. Les Dix A Florence, les Dix se referaient aux dix bourgeois

particulièrement chez Machiavel, ont éclairé « la nature humaine » et, d’autre part, les analyses systématiques données par Hobbes. Dans son réalisme, Machiavel, par son talent d’observateur, a découvert chez les hommes – César Borgia, les Médicis, Francesco Sforza ou les Baglioni –, des penchants, des passions, des vices, des calculs, une virtù... qui sont le propre des individus en tant que tels. Avant d’esquisser sa théorie pessimiste de la nature humaine, Machiavel a, en une psychologie tout empirique

Alors protégé par le personnnage le plus influent de Florence, Laurent de Médicis, surnommé le Magnifique, homme politique et mécène richissime, qui lui attire de nombreux clients, il est envoyé par ce dernier en 1482 à Milan, afin de servir le duc Sforza. A cette occasion, il écrit au duc de Milan une lettre étonnante, un véritable curriculum vitae, dans lequel il révèle ses ambitions d'ingénieur, d'inventeur et également d'homme de guerre : "Je peux construire des ponts très légers, solides, robustes

décembre, entrée du roi de France à Rome.   1495 * En février, Charles VIII s’empare de Naples. Mais sous l’initiative du pape Alexandre VI une sainte ligue se forme et chasse les Français d’Italie. * En octobre, traité de Verceil avec Ludovic Sforza qui devient duc de Milan. * En décembre, mort du dauphin Charles.   1497 * Vasco de Gama ouvre la route des Indes   1498 * Le troisième voyage de Colomb. * Mort accidentelle de Charles VIII * n’ayant pas d’héritiers directs

signification humaine qui permet à l’homme en présence de la beauté qui l’entoure l’exaltation d’être le centre de cette beauté. Il s’agit en soi d’un idéal humaniste qui veut respecter l’échelle humaine : * le plan d’architecture anthropomorphe par Francesco di Giorgio Martini Publié dans son traité de 1482, les proportions idéales respectent le canon humain pour être appliquer à l’architecture. Cette conception philosophique de l’humanisme présente de manière symbolique l’homme comme le centre du cosmos

exceptionnel. Il y réalise deux portraits. Le premier, daté de 1474 environ, a été commandé au peintre à l’occasion du mariage de Ginevra Benci. Le second, sur lequel Vinci a travaillé plusieurs années et dont il ne s’est jamais séparé, est une commande de Francesco del Giocondo, riche marchand, désirant un portrait de son épouse, Monna Lisa. Le portrait avait disparu de la peinture occidentale durant le Moyen Âge. Au XIVe siècle, les peintres italiens commencent à individualiser leurs personnages. À partir

massif de colonne. Ils ne se font pas vraiment face car en fonction de la perspective, on ne voit pas qu’ils font face à colonne. La colonne représente le christ  il est présent sans vraiment l’être. Il y a un subterfuge. Portraits de Battista Sforza et Federico da Montefeltro Federico était le mécène d’Urbino, il va commander beaucoup d’œuvre. La réputation artistique va attirer beaucoup de monde. C’est un tableau peint recto verso. Les personnages sont représentés de profil. Le genre du portrait

maison de Settignano près de Florence, après que le père a fini sa charge de podestat. Allant contre les vœux de son père et de ses oncles, réfractaires à l'art, Michel-Ange, après avoir étudié auprès du grammairien Francesco da Urbino, choisit malgré tout, grâce à son ami Francesco Granacci, d’être l’apprenti de Domenico Ghirlandaio pour trois ans à partir de 1488. Impressionné par son travail, Domenico le recommande au maître de Florence, Laurent de Médicis. De 1490 à 1492, Michel-Ange est élève