François Fillon

Poinso-Chapuis est la bolique de l’homme fort. Il faudra attendre première femme nommée ministre (mila présidence de Valéry Giscard d’Estaing nistère de la Santé publique et de la Population). pour connaître une féminisation des institutions politiques. François Mitterrand 1974 : Simone Veil est la deuxième femme nommée ministre. accentue le mouvement, en nommant une 2001 : la loi sur la parité, votée le 6 juin femme Premier ministre en 1991 (Édith 2000, s’applique pour la première fois Cresson). Cependant

seul chef. Quant à savoir qui gouverne réellement, c’est s’interroger sur un éventuel assujettissement du Premier ministre au Président de la République.« Ce qui revient au Premier ministre, c’est de gouverner dans le cadre que j’ai fixé » estime François Hollande. Dès lors, le Premier ministre est-il l’obligé du Président de la République ? La Constitution l’enferme-t-elle définitivement dans un rôle de second ? Premier ministre, premier des ministres, serviteur ou rival, la Constitution est rude

2.3 La Vème République de1969 à 1981 Georges Pompidou continue la politique du général en essayant cependant de prendre en compte certaines aspirations issues du mouvement de 1968. La gauche française s'organise et en 1971, au congrès d'Epinay, François Mitterrand prend la tête d'un nouveau parti socialiste : le P.S. Georges Pompidou meurt en avril 1974, au moment où se font sentir les premiers effets de la crise. Valéry Giscard d'Estaing remporte les élections présidentielles contre Mitterrand

toutes les décision et fait déroulé toutes les actions nécessaire au bon fonctionnement de l’état. Sarko et Fillon est un couple qui fonctionne. Quand Sarko a procédé au remaniment il n’a pas décidé de changer de Premier ministre. Borloo a été senti pour se poste, mais les lobbies en place ont influencé le gouvernement et Fillon est resté. Il a su utilisé les mots de langage qu’il fallait. Fillon est en train de préparer la suite. Il veut aujourd’hui la mairie de Paris comme Rachida DATI. Bertrant DELANOE

la première cohabitation (Mitterrand-Chirac, 1986-1988). Elles ont été réappliquées au cours des deux suivantes   (93-95, Mitterrand-Balladur, dont rend compte un livre récent d’Edouard Balladur «  Le pouvoir ne se partage pas, conversations avec François Mitterrand », Fayard, 2009 ; puis Chirac-Jospin ( 1997-2002). Cette dernière cohabitation aura été plus longue et plus difficile. Un livre en rend compte également, celui d’ Olivier Schramek, alors directeur de cabinet de Lionel Jospin « Matignon

juin 1969. Il meurt de la maladie de Waldenström à son domicile le 2 avril 1974, deux ans avant la fin de son mandat. Valéry Giscard d’Estaing a été élu de justesse face au socialiste François Mitterrand le 27 mai 1974. Candidat à sa propre succession en 1981, il est battu cette fois-ci par François Mitterrand. François Mitterrand, élu le 21 mai 1981 face au président sortant puis élu de nouveau en 1988 face à Jacques Chirac. Il est le premier président de la République élu deux fois au suffrage universel

peuvent être engendré à la suite d’un refus de signer des ordonnances tel a été le cas pour François Mitterrand ou pour des refus d’inscrire des textes à l’ordre du jour du Conseil des ministres, cas pour Jacques Chirac. De plus, à l’inverse les Premiers ministres peuvent dénoncer les projets élyséens, ce qui a formé plusieurs conflits comme entre L. Jospin et Jacques Chirac ou Jacques Chirac et François Mitterrand. Cependant nous pouvons remarquer que la réforme du quinquennat, la quasi-simultanéité

France et le Concorde ), création du nouveau franc, augmentation des salaires, avantages sociaux ( création de l'ANPE, de l'assurance-chômage ), la France entre dans la société de consommation. Cependant, l'élection de 1965 est un semi-échec, car François Mitterrand, qui se présente comme le candidat de la gauche unie, le pousse à un deuxième tour. Le régime semble usé. L'impopularité du régime éclate avec les révoltes étudiantes de mai 1968. Paris devient le lieu d'affrontements violents entre étudiants

qui gouverne » Telles sont les paroles du Président de la République actuel Nicolas Sarkozy. Celui-ci se définit comme un Homme politique qui oriente et décide de tout, laissant à son premier ministre le soin de conduire sa politique. De même François Fillon, Premier Ministre depuis le début du quinquennat présidentiel de Nicolas Sarkozy, a déclaré le 17 mai 2007 au Journal télévisé « c'est le président qui gouverne ». Or La Ve république a un exécutif bicéphale c'est-à-dire qu’il y a deux têtes à

d’architecture quasi concentrationnaire dans sa nature et criminogène dans ses résultats". décembre 1990 : Les troisièmes assises nationales Banlieues 89 consacrées aux quartiers défavorisés des grandes agglomérations urbaines. Le 4, déclaration de François Mitterrand qui annonce un plan de rénovation des quartiers défavorisés sur 5 ans et estime qu’il faut "casser partout le mécanisme de la ségrégation", annonce la création d’un chargé de coordonner les actions en faveur de ces quartiers et préconise