François Ier de Médicis

Biographie[modifier] Jeunesse et éducation[modifier] François Ier est né le 12 septembre 1494 à Cognac (Charente). Son prénom lui vient de son parrain, François de la Rochefoucauld[3]. Son père Charles d'Orléans, duc d'Angoulême, que François n’a pas connu, était le cousin du roi Louis XII et l'arrière-petit-fils de la duchesse de Milan Valentine Visconti. Faute d’héritier, Louis XII avait fait venir à la cour d'Amboise le petit François, accompagné de sa mère Louise de Savoie et de sa sœur aînée

| Andrea del Verrocchio | Élèves | Salai, Francesco Melzi… | Mouvement artistique | Haute Renaissance | Œuvres réputées | La Joconde, La Cène, L’Homme de Vitruve, etc. | Mécènes | Laurent de Médicis, Ludovic Sforza, François Ier de France… | modifier Consultez la documentation du modèle Léonard de Vinci (Leonardo di ser Piero da VinciLeonardo di serP iero da Vinci écouter, dit Leonardo da Vinci[Note 2]), né à Vinci le 15 avril 1452 et mort à Amboise le

connaissances en philosophie. En architecture, il fut excellent et original. Dans sa jeunesse, il dessine d’après le carton de Michel-Ange, mais il ne voulut suivre les leçons que de très peu de maîtres. Ayant peint plusieurs tableaux, il les donna au roi François 1er, à qui ils plurent beaucoup et qui les fit placer dans la galerie de Fontainebleau. Il fut bientôt nommé surintendant des bâtiments, des peintures et de tous les embellissements du château, et construisit d’abord une galerie, qui ne fut pas voutée

remplacée par les Sforza : il estime les droits des Visconti supérieurs aux droits des Sforza. Il réclame ainsi la possession du Duché de Milan, ainsi que du Royaume de Naples, en vertu des droits de son père. - la quatrième est dûe aux ambitions de François Ier ( 1515 – 1547 ), qui récapitule les prétentions de ses précédesseurs. Celui ci a un tempérament chevaleresque qui le pousse à tenter l’aventure italienne : en 1515, il remporte la bataille de Marignan et conclut en 1516 des traités qui font de

également une période de mutations : des innovations techniques (imprimerie), le retour aux textes originaux (le grec, l’hébreu,…) et un grand intérêt porté à l’Antiquité gréco-romaine. Apparue en Italie avec le mécénat des grands princes, tel Laurent de Médicis à Florence, elle caractérise aussi d’autres régions : la Renaissance flamande naît autour de Bruges où, encouragés par les élites urbaines ou par la cour de Bourgogne, de nombreux artistes développent un art réaliste, éloigné du modèle antique rependu

dérive un mouvement artistique, motivé par la recherche du beau, reflet de la perfection divine, qui naît au XVe siècle à Florence grâce au soutien de mécènes. Toute l'Europe est gagnée par cette nouvelle forme d'art en particulier la France de François Ier. En 1550, le peintre toscan Giorgio Vasari dit bien que nous avons affaire à une Renaissance ; même si l'héritage du Moyen Âge continue à être présent. L'humanisme jette les bases d'idées futures : la valeur de l'Homme et le rôle de l'éducation

Sciences" (voir l'image). Les princes italiens protègent les humanistes, ces derniers grandissant le prestige de leur protecteur. Les Médicis en sont une excellente illustration pour la ville de Florence. Ici, Pic de la Mirandole, Bembo et Policien se regroupent sous l'égide de Ficin, sous la protection de Cosme de Médicis. Grâce à l'encouragement des Médicis, Ficin traduit Platon et ses adeptes. Florence est la première ville à se voir dotée d'une académie, qui regroupe beaucoup d'humanistes.

Saint-Barthélemy — les deux êtres les plus chers à son cœur étant catholiques. Mais l'intrigue n'a rien à voir avec celle d'Alexandre Dumas. Postérité[modifier | modifier le code] Le roman a contribué à renforcer la légende noire de Catherine de Médicis et la réputation de légèreté de la reine Margot4. Adaptations[modifier | modifier le code] Dumas a lui-même adapté son roman, en collaboration avec Auguste Maquet. Le drame La Reine Margot, en cinq actes et treize tableaux, a été représenté pour

Après un bref séjour à Florence, Cellini retourne à Rome où le pape Clément VII lui confie de réaliser un bijou pour sa chape. Benvenuto passe quelques années en prison pour le vol de pierres du trésor papal. En 1540, Cellini se rend à la cour de François 1er. Il y travaille comme orfèvre et expérimente de nouvelles techniques (bronze). Après de nouvelles altercations, en 1545, Cellini retourne à Florence où Cosme 1er de toscane, duc de Florence lui commande une statue de Persée. L’œuvre, qui est

L’affirmation de l’Etat dans le royaume de France Les XVI et XVII siècles constituent un moment crucial de l’histoire de France. Le lent renforcement de l’autorité royale, entamé dès le XIII siècle, s’accélère à partir de François Ier. La construction d’un appareil administratif, relai de l’autorité royale auprès des Français, assure la naissance d’une unité nationale, et permet au pays de prendre sa place de grande puissance européenne. Mais l’affirmation de l’Etat ne convient pas à tous,