François Ier de Médicis

de nouvelles réflexions et de nouvelles disciplines (comme la cosmographie de Mercator). La présence de souverains éclairés, de princes protecteurs ou de puissants épris de culture favorisent l'esprit nouveau...et son financement: François Ier en France, les Médicis (Cosme puis Laurent) à Florence, Mathias Corbin en Hongrie, le cardinal Cisneros en Espagne... Enfin, le développement de l'imprimerie facilite la diffusion des traductions des grands Anciens mais aussi des œuvres humanistes comme celle

maitrise de l’éloquence. Le vrai savoir c’est la théologie que l’on appréhende finalement. Cette culture humaniste s’inscrit dans ce qu’on appelle la république des lettres qui est protégée, financée par les princes. Développement de mécénat. François Ier (1515- 1547) s’entoure d’humanistes comme Guillaume Budé, qui obtient du roi la création d’une nouvelle institution qu’on appelle le Collège royal en 1530. Accueille les savants qui n’ont pas trouvés de place à l’Université de Paris (ancêtre du

de la révolution et de la liberté sous un angle assez pessimiste. En effet, elle raconte l’histoire (romancée) de la révolution ratée des Florentins (= habitants de Florence) qui tentèrent de renverser le pouvoir de la famille Médicis en 1536-37. En effet, les Médicis dirigeaient Florence d’une main de fer, ce qui ne plaisait pas du tout, ni aux citoyens, ni aux « seigneurs » des autres familles nobles de la ville dont certains souhaitaient instaurer une république. L’œuvre doit être mise en

aujourd’hui, a attiré les foudres de la censure, comme en témoigne ce rapport : « Nous ne croyons pas que cette œuvre, arrangée telle qu’elle est, rentre dans les conditions du théâtre. Les débauches et les cruautés du jeune duc de Florence, Alexandre de Médicis, la discussion du droit d’assassiner un souverain dont les crimes et les iniquités crient vengeance, le meurtre même du prince par un de ses parents, type de dégradation et d’abrutissement, nous paraissent un spectacle dangereux à présenter au public

II (1458-1464) : veut une croisade contre les Turcs (échec) Alexandre VI Borgia (1492-1503) : l'image du pape de la Renaissance Jules II (1503-1513) : chef de guerre et chef d'Etat (le "pape en éperons"), association temporel/spirituel Léon X Médicis (1513-1521) : système d'indulgences pour construire Saint Pierre de Rome (~ pape urbaniste) Clément VII (1523-1534) : fin des papes de la Renaissance et Sac de Rome de 1527b) L'organisation pontificaleSixte Quint (1585-1590) : fait des Etats pontificaux

Grands Hommes A. Les amis et artistes contemporains du poète ( sonnets 164 à 169 ) D’Avanson et Magny Ronsard Poulin Michel de L’Hospital B. Les personnalités Royales ( sonnets 170 à 173) Marie Stuart Catherine de Médicis Le Dauphin François Jeanne D’Albret C. La figure élogieuse d’une femme ou le cycle de Marguerite ( sonnets 174 à190) D. Suprême éloge: représentation d’Henri II ( sonnet 191) Introduction : « Là où le regret déplore la dépossession et la

les sciences. En 1478, il propose de soulever l’église de Saint Jean de Florence pour y ajouter un soubassement. Cette même année il quitte Verrocchio et devient indépendant. A Florence le travail de Leonard ne passe pas inaperçu, Laurent de Médicis l’envoie chez Ludovic Sforza (1452-1508) à Milan en 1482. Leonard se propose comme peintre, sculpteur, ingénieur et musicien dans une lettre souvent assimilée à son curriculum vitae (voir pièce jointe). Sforza lui commande notamment la statue équestre

qualifié d’état monarchique. C’est-à-dire un état dans lequel se .ent un monarque soit un roi. Néanmoins ceLe croissance de la puissance du roi a dû faire face à diverses crises tel que la guerre de religion. L’état fait face à deux périodes : François Ier (1515-1547) et Henri II (1547-1559) qui ont permis la mise en place de ce type de régime. Cependant leurs successeurs verront leurs pouvoirs contestés pendant les guerres de religion (1562-1598). Il semble donc intéressant de chercher à comprendre

six rois durant cette periode: Henri II (1547-1559), Francois II (1559-1560), Charles IX (1560-1574), Henri III (1574-1589), Henri IV (1594-1610), Louis XIII (1617-1643). En 1559 Henri II est mort et Francois II etait devenu le nouveau roi, fil de Henri II et de Catherine de Medicis, qui a gouverne et participe au gouvernement pendant vingt-neuf ans. Le prochain roi etait Charles IX, frere du Francois II et fil du Henri II et Catherine de Medicis. Sous son règne, le royaume est déchiré par les guerres

Séquence 2: La France du premier absolutisme I ) – La guerre A– Les ambitions italiennes Louis XII entreprend la guerre pour des raisons féodale, conception médiévale de la guerre. François Ier est l’héritier des grandes interprétations de la guerre. Il fait la guerre dans un contexte sacrale, reforme de l’église = conforme a la motivation de Charles VIII. Il defend aussi sa femme, Anne de Bretagne, ses biens sont spolié = chevalier défenseur de sa dame. Troisième motivation =