Françoise Héritier

Henri IV est né à Pau dans le château de son grand-père maternel le roi de Navarre[3]. Henri d’Albret désirait depuis longtemps que sa fille unique lui donnât un héritier mâle. Aussitôt né, Henri est donc remis entre ses mains. La légende dit qu’il lui fit frotter les lèvres avec une gousse d'ail et une goutte de vin de Jurançon. La pratique était courante pour prévenir les maladies. Henri passe sa petite enfance dans la campagne de son pays au château de Coarraze[4]. Fidèle à l'esprit du calvinisme

ean de La Fontaine passe ses premières années à Château-Thierry dans l'hôtel particulier que ses parents, Charles de La Fontaine et Françoise Pidoux, ont acheté en 1617 au moment de leur mariage. Le poète gardera cette maison jusqu'en 1676. Classée monument historique en 1886, la demeure du Fablier abrite aujourd'hui le Musée Jean de La Fontaine. Années de formation (1641-1658) On dispose de très peu d'informations sur les années de formation de Jean de La Fontaine. On sait qu'il a étudié au

d’obéissance totale qui est essentiellement culturelle. Encore aujourd’hui, lorsqu’on est un homme ou une femme, il y a un modèle et des critères qu’il faut atteindre. Dès l’enfance, on assigne l’individus à leur sexe[1] sont les paroles de Françoise Héritier, qui explique que dans son temps, il était tenu pour normal que les filles aient moins d’ambitions que les garçons et que lors du diner, elles ne s’assoyaient pas à table. Par contre, elles devaient servir les garçons et manger ce qui reste

travailler. Il emploie le terme « d'automates spirituels ». Et comme dans les écrits de Simone De Beauvoir, si les femmes prennent conscience que leur corps est un produit de la société, une libéralisation de celle ci peut se mettre en route. Françoise Héritier, anthropologue française, a elle aussi cherché à expliquer la domination masculine. Pour elle, c'est une différence biologique qui fonde un rapport de force qui n'a cependant rien de «naturel». Elle dit que «L'inégalité n'est pas un effet de

partir de 1715): les romans de moeurs, d'aventures, comiques, sentimentaux, satiriques ou libertins. Courtilz de Sandras, Mémoires de M. d'Artagnan (1711). Hamilton, les Mémoires de la vie du comte de Grammont (1713). Robert Chasles, les Illustres Françoises (1713). Lesage (1668-1747), le Diable boiteux (1707), l'Histoire de Gil Blas de Santillane (1715-1735). Marivaux (1688-1763), les Aventures de ... ou les Effets surprenants de la sympathie (1713), la Vie de Marianne (1728-1742), le Paysan parvenu

car on aura tendance à évaluer un caprice chez une fille, comme de la détermination chez un garçon. Et ces attribution ne sont pas les même : l’une est plus positive que l’autre. (Cette notion précédente fait échos au tout les travaux de Françoise HERITIER-AUGE en montrant systématiquement que dans toutes les sociétés, les valeurs attribuées aux hommes sont toujours positives par rapport à celles des femmes. On voit donc les dynamiques sociales derrières nos manières de penser.) Donc

Jean de La Fontaine passe ses premières années à Château-Thierry dans l'hôtel particulier que ses parents, Charles de La Fontaine et Françoise Pidoux, ont acheté en 1617 au moment de leur mariage. Le poète gardera cette maison jusqu'en 1676. Classée monument historique en 1886, la demeure du fabuliste abrite aujourd’hui le Musée Jean de La Fontaine. On dispose de très peu d’informations sur les années de formation de Jean de La Fontaine. On sait qu’il a étudié au collège de Château-Thierry jusqu’en

plus dans les conflits. Un vent de liberté souffle sur les mœurs. Nous sommes enfin LIBRE. La télévision et la pilule en sont les symboles. Dans cet optimisme ambiant, l’heure est au culte de la jeunesse. La formule Nouvelle Vague apparaît avec Françoise Giroud, mais ne désignent encore que cette jeunesse flamboyante. On ne semble pas encore penser au cinéma. Ce n’est qu’en 1959 que Pierre Billard reprend ce terme pour parler des cinéastes réalisant leurs premiers courts métrages. L’aventure commence

la cour, l'ampleur de leur pouvoir, ainsi que leur disgrâce. Madame de Pompadour Madame de Montespan I. Qui étaient-elles avant d'entrer à la cour et de devenir Favorites Royales ? Avant d'être marquise, Madame de Montespan s’appelle Françoise de Rochechouart de Mortemart. Elle nait le 5 octobre 1640 au château de Lussac-les-Châteaux, issu d'une famille noble. En effet, son père Gabriel de Rochechouart de Mortemart était un intime de Louis XIII, et gouverneur de Paris. Elle est élevée

profonde et lucide. Jean de La Fontaine Née : le 8 juillet 1621 à Château-Thierry Mort : 13 avril 1695 à Paris Père : Charles de La Fontaine il porte le titre de Conseiller du Roi et Maître des Eaux et Forêts du duché de Chaury. Mère : Françoise Pidoux. Etude : Ces études restent mal connues. Probablement les commence-t-il au collège de Château-Thierry, établissement réputé, pour aller vers 1635 les achever dans un collège parisien, où il a Furetière pour condisciple. Il a commencé