Franquisme église

fondamentales, abolition de la peine de mort, pluralisme politique), régionalisation destinée surtout à apaiser les indépendantismes basque et catalan, volonté de réconciliation nationale caractérisée par un refus d’« épuration » des années du franquisme. Cette démocratisation s’accompagne d’un désir d’enracinement dans l’histoire nationale revendiqué notamment par le biais de la culture : retours d’artistes exilés prestigieux (Salvador de Madariaga, Jorge Guillén ou Rafael Alberti), rétrocession

les étapes de sa politique étrangère voulant être en accord avec les régimes démocratiques. Or, l'Internationale communiste ne peut pas avoir ce genre de politique, car elle est formée des PC nationaux, qui ont des velléités de lutter contre le franquisme, en particulier pour les membres des PC ayant déjà le fascisme chez eux (Italie, Allemagne). Les communistes italiens sont gênés, vu que les socialistes italiens sont déjà là-bas et appellent déjà à lutter contre le fascisme (cf. "Appel

de l’après-guerre : c’est l’image d’une Espagne à dominante encore agricole, antérieure à la mécanisation. On pourra faire remarquer que cette image était plutôt représentative des années cinquante et soixante. L’Espagne des années de la fin du franquisme avait déjà amorcé un redressement économique qui s’est poursuivi ensuite à l’époque de la démocratie, grâce, notamment, à l’entrée dans le Marché Commun en 1986. La deuxième photographie est l’image d’une Espagne optimiste et souriante, qui a enfin

Mussolini entre 1919-1921 ? Ce sont les grands propriétaires terriens, les anciens combattants, les propriétaires d'industrie, les nationalistes et toutes même les catholiques, qui ont peur aussi du communisme. Même si les deux programmes, on sent que église espère trouver un arrangement avec Mussolini. Attention en 1921,on voit le parti fasciste se présenter aux élections de mai 1921. Les résultats ne sont pas exceptionnels. Il récolte que 35 sièges. La majorité vont aux socialiste, les catholiques,

peuvent poser une question aux ministres et entamer un débat sur la réponse ministérielle, et ensuite on vote sur sa réponse, en cas de « non », le ministre doit démissionner. Cas de l’Espagne : Espagne a connu guerre civile en 1936 avec victoire du franquisme et franco. A sa mort, roi Juan Carlos prend le pouvoir, et il décide d'installer un gouvernement parlementaire qui copie l'équilibre britannique (constitution 29 décembre 1978). On retrouve d'un côté le parlement (les cortes) qui comprend 2 assemblées

en 1853 une lettre de l’évêque de Poitiers à Napoléon 3 qui souligne que les droits de l’homme sont la négation des droits de Dieu. Par la suite au 20° siècle des mouvements exacerbés de nationalisme qui conduisent au nazisme, au fascisme et au franquisme rejettent eux aussi la logique de la DDHC de 1789. B) : La postérité des déclarations révolutionnaires L’habitude semble prise avec les trois premières constitutions (89, 93 et 95) de voir une déclaration des droits précéder le

résultats : "Le référendum règle le problème algérien". * 19 mars : l'Algérie accède à l'indépendance * 22 août L'attentat du Petit-Clamart contre de Gaulle Le cortège présidentiel qui vient de quitter l'Elysée pour se rendre à Colombey-les-deux-Eglises, est pris à partie par trois hommes armés de pistolets-mitrailleurs, alors qu'il traverse le Petit-Clamart. Cet attentat est l'oeuvre de l'OAS (Organisation de l'Armée Secrète), qui s'oppose à l'indépendance de l'Algérie. Le général de Gaulle qui

risques d’éclatement de l’Etat multinational, de divorce entre les différentes composantes, communautés ou minorités s’accentuent dès lors que le pouvoir étatique se démocratise, c’est à dire prend en compte les différences. L’Espagne de l’après-franquisme a développé l’autonomie de ses communautés; l’Etat belge est en proie à de multiples restructurations pour survivre à l’affrontement de ses communautés flamandes et wallonnes. L’Italie connaît un risque de division entre le Nord et le Sud. L’Etat-nation

les féministes. Picq cite à titre d'exemple la proposition faite par C. Peyret, responsable des Affaires sanitaires et sociales de l'UDR à l'Assemblée nationale visant à autoriser l'avortement dans certains cas. Mais résistances vives et diverses (Eglise catho, Conseil de l'ordre des Médecins...): organisation du mouvement contre la réforme autour du Professeur Lejeune, fondateur de l'association 'Laissez-les vivre' (novembre 1970); 27 mars 1970: signature d'un manifeste contre ce 'projet d'assassinat

entendus. Les médias ne sont plus écoutés. Les intellectuels, les artistes, les grands patrons, les éditorialistes, les économistes, les magistrats, les hauts fonctionnaires, les élus sont suspectés. Les mots euxmêmes sont faisandés : on « fait Église », quand on n’y va plus ; on « fait famille », quand on divorce ; on « fait France », quand on ne se sent plus français. On exalte le « vivre ensemble », quand les communautés se séparent. On « déclare la guerre à la finance », pour s’y soumettre