Franz Hellens

écrits se succèdent (les Rêves et la Jambe en 1923, Qui je fus en 1927...) et les styles se multiplient. Dans les années 1920, il collabore activement à la revue d'avant-garde Le Disque vert fondée par Franz Hellens (Michaux écrira d'ailleurs des textes sur Charles Chaplin). C'est Franz Hellens qui parlera de Michaux à Jean Paulhan.Pendant cette période, il émigre à Paris. Dès lors, il ne cessera de renier tout ce qui le rattache à la Belgique. En revanche, il gardera jusqu'à la fin de sa vie une

affirmée. 3 FICHE DE SYNTHÈSE Le surnaturel et la littérature fantastique Copyright Éditions Didier 2014MONDES EN VF Auteure : Myriam Louviot a 1923 : Publication du recueil Réalités fantastiques de Franz Hellens ( Belgique). a 1928 : Publication en français de La Métamorphose de Franz Kafka (Die Verwandlung, 1915), un texte phare de la littérature qui a influencé de très nombreuses œuvres. a 1943 : Malpertuis de Jean Ray (Belgique). a 1975 : Brouillards de Pierre Pelot (France)

la suite d'un pari encouragé par Franz Hellens. Michaux situe lui même avec précision, le moment où il aurait commencé à écrire c'est à dire le 9 Mars 1922. Son premier texte intitulé Cas de folie circulaire, paraît en Septembre de la même année dans la revue Le Disque Vert dirigée à Bruxelles par Hellens. c) Rencontres primordiales : En 1924, il arrive à Paris et va rencontrer les écrivains Jules Supervielle et Jean Paulhan qui sont proches de Franz Hellens . Par la suite Paulhan deviendra

déjà une idée de son style. Ensuite les écrits se succèdent (les Rêves et la Jambe en 1923, Qui je fus en 1927...) et les styles se multiplient. Dans les années 1920, il collabore activement à la revue d'avant-garde Le Disque vert fondée par Franz Hellens. Pendant cette période, il émigre à Paris. Dès lors, il ne cessera de renier tout ce qui le rattache à la Belgique. En revanche, il gardera jusqu'à la fin de sa vie une réelle affinité avec la France et avec Paris en particulier[2] - même s'il

Apollinaire (Le Poète assassiné) Honoré de Balzac (La Peau de chagrin, L'Élixir de longue vie, Séraphîta) Alexandre Dumas (Le Meneur de loups, Les mille et un fantômes) Nicolas Gogol (Nouvelles de Pétersbourg, Vij, L'Effroyable Vengeance) Franz Hellens (Nocturnal, Réalités fantastiques) Guy de Maupassant (Le Horla) Prosper Mérimée (La Vénus d'Ille, Lokis) - GAUTIER T., La Cafetière in La Cafetière et autres contes fantastiques. - HOFFMANN, Le Violon de Crémone. - MOLLA J., La Revanche

déjà une idée de son style. Ensuite les écrits se succèdent (les Rêves et la Jambe en 1923, Qui je fus en 1927,...) et les styles se multiplient. Dans les années 20, il collabore activement à la revue d'avant-garde Le Disque vert fondée par Franz Hellens. Pendant cette période, il va à Paris. Dès lors, il ne cessera de renier tout ce qui le rattache à la Belgique. Outre les textes purement poétiques, il rédige des carnets de voyages réels (Ecuador en 1929, Un barbare en Asie en 1933) ou imaginaires

déjà une idée de son style. Ensuite les écrits se succèdent (les Rêves et la Jambe en 1923, Qui je fus en 1927,...) et les styles se multiplient. Dans les années 1920, il collabore activement à la revue d'avant-garde Le Disque vert fondée par Franz Hellens. Pendant cette période, il émigre à Paris. Dès lors, il ne cessera de renier tout ce qui le rattache à la Belgique. En revanche il gardera jusqu'à la fin de sa vie une réelle affinité avec la France et avec Paris en particulier[1] - même s'il

déjà une idée de son style. Ensuite les écrits se succèdent (Les Rêves et la Jambe en 1923, Qui je fus en 1927...) et les styles se multiplient. Dans les années 1920, il collabore activement à la revue d'avant-garde Le Disque VERT fondée par Franz Hellens. Pendant cette période, il émigre à Paris. Dès lors, il ne cessera de renier tout ce qui le rattache à la Belgique. En revanche, il gardera jusqu'à la fin de sa vie une réelle affinité avec la France et avec Paris en particulier2 - même s'il ne

pas eu à choisir, chose profonde, portée en soi dès l'enfance, qui est vous-même et par quoi l'on se projette hors de soi pour les autres – et d'abord pour d'autres qui pratiquent le même idiome. Même des Flamands de souche – un Maeterlinck ou un Hellens – s'ils sont venus à la patrie littéraire française, c'est parce que la langue française, parlée par eux dès l'enfance, était celle qui leur permettait de se dire le plus véridiquement : eux non plus n'ont pas choisi. Cette littérature – qu'on l'appelle

poésie appelée Journal des poètes, une quinzaine de poète écriront pour cette revue, dont André Salmon. En 1932, il invite des poètes à lire dans son Grenier. En 1937, il crée les cahiers blancs en collaboration avec Roland de Reneville, Franz Briel, Franz Hellens, Dc R. Alendy, Marc Heemans, Michel Desmet, Marcel Proust. Ils y publieront un hommage à Milosz et vont exalter Victor Segaelen vingt ans avant qu’il soit à la mode. En 1941, il épouse sa concubine Denise Perriere, une peintre. En 1954,