François Chamoiseau

Raphael Confiant est un auteur martiniquais né en 1951. Militant de la cause créole il crée en 1970 avec Jean Bernabé et Patrick Chamoiseau le mouvement de la créolité . En 1985 il écrit Chimères d'en ville, c'est un extrait de cette œuvre que nous allons étudier. Nous allons voir par quels moyens l'auteur donne t-il une leçon de tolérance au lecteur. D'abord nous allons étudier les différentes invocations du mot noir dans cet extrait puis voir en quoi ce récit est engager contre le racisme. il

qu'ils se " situent " ou non face à la tourmente politique. Plusieurs noms émergent de cette production de plus en plus abondante : Ahmadou Kourouma (récent prix Renaudot), Sony Labou Tansi, Tchicaya U'Tamsi, Moussa Konate, Raphaël Confiant, Patrick Chamoiseau, Daniel Maximin... Mais aussi Maryse Condé, Véronique Tadjo, Tanella Boni, Calixthe Beyala. Car les femmes africaines ont aussi pris la plume et font entendre leur différence. Cet ouvrage a repris, en les remaniant, les principaux chapitres d'une

Histoires brisées, rédige quelques bribes pour servir de scénario interprétatif à cette tranche de vie. Michel Tournier, dans Vendredi ou les Limbes du Pacifique, essaie de montrer comment le contact direct avec la nature a changé le naufragé. Patrick Chamoiseau, avec L’Empreinte à Crusoé, tente de reconstruire la personnalité de son héros perturbé par une amnésie. Dans chacun de ces extraits, l’écriture remplit une fonction précise. Le journal tenu par le marin solitaire dans Robinson de Daniel Defoe

à l’autre. Dans le cas de la Martinique, elle met en relation le créole avec le français. L’écrivain Patrick Chamoiseau, dans son texte à la fois autobiographique et théorique, Ecrire en pays dominé, déclare : Je découvre, comme une vague qui dissipe son écume, cette opposition initiale en moi. Le désordre illisible du pays et l’ordre clarificateur de l’entreprise coloniale. Chamoiseau met en avant le fait que la colonisation instaure un ordre. C’est de cet ordre que découle une hiérarchisation

discours pour présenter la littérature antillaise. Tel est le pari de ce petit ouvrage -écrit pour Internet en 2002 par un jeune Martiniquais- et qui porte un regard lucide sur Aimé CESAIRE, Frantz FANON, Edouard GLISSANT, Raphaël CONFIANT, Patrick CHAMOISEAU, ces écrivains dont la réputation dépasse de loin les limites de cette petite île des Amériques qu’est la Martinique. Où qu’ils soient, les jeunes Antilllais se retrouveront dans cette brève présentation qui allie à l’amour du pays un effort de

------------------------------------------------- Patrick Chamoiseau Chemin d'école PERSSON, Ann-Sofie B., « Tracing Childhood : The Poetics of Autobiography in the Writings of Maria Wine, Patrick Chamoiseau and Nathalie Sarraute », thèse de doctorat, Department of French and Italian, Ohio State University, 2001, 464 f. Type de document : Thèse de doctorat / mémoire de maîtrise Résumé / commentaire : « The present study explores how three authors of different geographical and social origin

œuvres antillaises majeures de la fin du XXe siècle. Cherchant à restituer les saveurs et les douleurs de l'existence caribéenne, l'auteur préfère cependant l'évocation du passé au détriment d'une trame se déroulant à une époque contemporaine. Chamoiseau interroge également les formes d'expression créole. Prenant acte de l'existence d'une culture créole essentiellement travaillée par l'oralité, il envisage le développement d'une littérature orale pour laquelle l'écrivain, héritant des tournures

transmettre son histoire, son passé, sa culture ? Séquence 1 : L'enfance Problématique : Comment vivre son enfance en ce pays dominé ? Séance 1 : Patrick Chamoiseau et les langues de son enfance, Supports : Texte de Patrick Chamoiseau, une enfance créole, chemin d'ecole, Gallimard 1994 et 1996 Question : Patrick Chamoiseau ; le négrillon La langue créole est la langue usuel au quotidienLe français, c'est la langue de la métropole du « savoir » ( le maître parlait français ;

car pour elle la racine n'est pas nécessairement mortifère. », c'est ce qu'annonce la 4e de couverture et c'est ce que les auteurs tentent d'éclaircir dans cet essai. On pourrait d'ailleurs comparer leur démarche à celle de Jean Barnabé, Patrick Chamoiseau et Raphaël Confiant dans L'Éloge de la Créolité ou encore aux écrits de Édouard Glissant sur la créolisation. Mais on peut noter des différences avec ces démarches. C'est par une relecture des problématiques réunionnaises actuelles et une redéfinition

conception littéraire et philosophique apparue dans les années 30, qui considère la place des personnes de couleur noire dans la littérature. La créolité, quand àelle, est un mouvement né dans les années 80, et créée par Raphaël Confiant, Patrick Chamoiseau et Jean Bernabé, tous trois écrivains. Le mot « créole » était à l’origine destiné à définir les enfantsblancs nés sur une île, dans le but de les différencier de ceux de la métropole à laquelle appartiennent les îles. Parmi ces textes, Cahier d’un