François Le Lionnais

importantes qui traduisent à la fois une fidélité à ses idéaux de transformation de la société et un « malheur de vivre ». André Malraux, de son côté, poursuit une carrière politique et publie ses mémoires mais renonce au genre romanesque comme François Mauriac qui se consacre, outre ses articles, à une oeuvre de mémorialiste avec l’exigence d’une écriture tout en nuances. Louis Guilloux considéré comme un écrivain populiste est surtout un grand témoin de son temps et des tumultes de l’histoire

dans Petits poèmes en prose. « Parce que la forme est contraignante, l'idée jaillit plus intense ! » Exemple : Nous pouvons voir cela avec L’Oulipo (L’ouvroir de littérature potentielle), un groupe d’auteurs créés par Raymond Quenaud et François le Lionnais, ils écrivent une littérature sous contraintes. Anagrammes, palindromes, acrostiches et autres lipogrammes sont leurs contraintes. Les oulipiens se définissent même comme « un rat qui construit lui-même le labyrinthe dont il se propose de sortir"

Choses et autres Contes pour enfants pas sages 3) a/ Qu’est ce que l’OULIPO ? L’ Oulipo, acronyme de OUvroir de LIttérature Potentielle, est groupe de mathématiciens, poètes et logiciens fondé en 1960 à l’initiative du mathématicien François Le Lionnais et de l’écrivain Raymond Queneau, et dont l’activité de recherche et d’expérimentation vise à découvrir et à élaborer des contraintes formelles arbitraires considérées comme autant de voies potentielles pour la création littéraire. Principes

Les avants-gardes: Futurisme, dadaïsme, surréaliste, L’Oulipo…Avant garde désigne un collectif Mouvement esthétique qui fait rupture avec les traditions du passé, quelque chose de radicalement nouveau, en avance sur son tempsLes artistes avant-gardistes sont ceux qui défrichent des terrains vierges, explorent des champs qui n’ont pas encore été exploré Animé par la volonté de ce tenir en avantEntreprise collective, constitué d’un groupe, d’un collectif d’artiste Volonté bien précise, dans une démarche

un sculpteur de mots. Tout ceci va donner lieu à de nombreuses ?uvres où le poète joue avec la langue et plus particulièrement à l’apparition, au XXème, de l'Ouvroir de littérature potentielle aussi connu sous l’appellation OuLiPo, fondé par François Le Lionnais et Raymond Queneau. Dans le poème de ce dernier, « Un train qui siffle dans la nuit », ce jeu du langage est bien manifeste. Mais parfois ces jeux de mots ne sont pas que ludiques ou esthétiques. Ils peuvent avoir une autre dimension : Une

OuLiPo, est un groupe international de littéraires et de mathématiciens se définissant comme des « rats qui construisent eux-mêmes le labyrinthe dont ils se proposent de sortir ». Ce groupe est fondé par une association entre le mathématicien François Le Lionnais avec le poète Raymond Queneau en 1960. D’abord connu sous le nom Selitex (séminaire de littérature expérimentale) puis Olipo, il prend son nom définitif en 1961. Ce mouvement qui se définit comme n’en étant pas un, vise à réfléchir autour de

dimanche 5 décembre 2021Oral. Cofondateur du groupe littéraire l’Oulipo aux côtés de François le Lionnais, Raymond Queneau est un romancier, poète et dramaturge français du 20e siècle, ayant écrit Les Fleurs Bleues. Son oeuvre relate les histoires du duc d'Auge et de Cidrolin, les deux personnages principaux. Le roman de Queneau et son histoire se compose ici de 21 chapitres et se présente comme un roman de chevalerie, de type réaliste, burlesque

retrouve d’anciens romantiques « convertis » à une pure virtuosité formelle (Banville, Odes funambulesques, 1857) ; des maitres en poésie didactique comme Sully Prudhomme (1839-1907) ou encore des artistes proches du symbolisme et de la décaddence comme François Coppée (1842-1908) ou Catulle Mendès (1841-1909). Le décadentisme ou la vitalité d’une esthétique « fin de siècle » Le courant dit décadent s’inscrit dans une période qui n’a rien d’une fin : on observe montre un bouillonnement littéraire où se

75 de l’ère pataphysique qui s’ouvre le jour de la naissance d’Alfred Jarry, le 8 septembre 1873). S’y sont agrégés au fil des ans, outre Queneau, Vian, Duchamp, des peintres (Max Ernst, Miró, Man Ray, Baj, Asger Jorn), des mathématiciens (François Le Lionnais), des historiens et critiques de la littérature et du théâtre (Pascal Pia, Maurice Saillet, Jacques Lemarchand), des cinéastes (René Clair, Henri Jeanson), des explorateurs (Paul-Émile Victor), des dramaturges (Ionesco), des écrivains et des

sculpteur de mots. Tout ceci va donner lieu à de nombreuses œuvres où le poète joue avec la langue et plus particulièrement à l’apparition, au XXème, de l'Ouvroir de littérature potentielle aussi connu sous l’appellation OuLiPo, fondé par François Le Lionnais et Raymond Queneau. Dans le poème de ce dernier, « Un train qui siffle dans la nuit », ce jeu du langage est bien manifeste. Mais parfois ces jeux de mots ne sont pas que ludiques ou esthétiques. Ils peuvent avoir une autre dimension : Une