Fraternisation

de la guerre des tranchées absurdité et inhumanité de la guerre. la mobilisation et les réactions qu’elle suscite l’hystérie nationaliste invasion de la Belgique et du nord de la France premiers combats réfugiés et otages absurdité de la guerre fraternisation répression militaire vie quotidienne du soldat omniprésence de la mort répression militaire vie quotidienne du soldat mépris militaire de la vie humaine réactions psychologiques extrêmes : désespoir et suicide antisémitisme vie quotidienne du

respective leur est « tombée » dessus! La deuxième étape… On a ensuite la deuxième étape : en sortant du train, Alice de Carroll se retrouve dans la forêt avec Bonnet Blanc et Blanc Bonnet. On peur considérer cette rencontre comme la première vraie fraternisation avec les gens du Monde du miroir depuis que le jeu est commencé, considérant que dans le train, elle n’a fait que côtoyer les gens, sans vraiment leur parler. Elle danse en rond avec les deux garçons et elle a une conversation avec eux : « Quand

militaire et politique, les usines travaillent a 80% pour l’armée il y a des grèves, des révolutions, le pays est sous alimenté, les soldats manquent de tout ! Les allemands et les bolcheviks vont profiter de la situation, ils vont créer une fraternisation. La guerre fait souffrir le prolétariat car les hommes sont au front. ! En 1917 l’empire romanov disparait, il y a de grandes grèves. Le 23 octobre a lieu la journée de la mondial de la femme, et il n’y a désormais plus de farine,

usée par 3 années de guerre, la population souffre de la faim, il y a énormément de chômage et l’hiver fut très rigoureux, 1 million de soldats décident de déserter. LE mouvement s’intensifie notamment à Petrograd, des émeutes éclatent il y a fraternisation entre les soldats et la foule tout cela aboutit a l’abdication du tsar … b) de la révolution de Février à celle d’Octobre En Février ; le pouvoir appartient aux socialistes libéraux leur chef est Kerenski. Différentes réformes : - Démocratisation

cependant la forme reste la même (toujours des rimes équivoquées). Dans la première strophe, les rimes sont annexées, c’est à dire que le vers commence par la dernière syllabe du vers précédant. Par conséquent, on peut observer dans cette chanson les fraternisations suivantes : « regente / Gente », « façon / Son », « tente / Tant et », « frisson / S’on », « chanson / Son », « doulcettes / C’est E[spoir] » et « marisson / Son[ger] ». La deuxième strophe comprend des rimes couronnées, la syllabe de la rime

traumatismes de l'expérience combattante. La culture de guerre, la solidarité, le soutien entre compagnons d'arme et la nécessité d'obéir aux ordres peuvent expliquer pourquoi ils continuent le combat sans vraiment se révolter. Dans ce contexte, les fraternisations entre combattants des deux camps (noël 1914) sont rares et étonnantes. • Le retour à la vie civile est complexe, d'autant plus que la psychiatrie de guerre est presque inexistante. La pression et la violence permanente peuvent les pousser à des

sociabilité de cette secte est très intéressante, les loges se multiplie dans l'empire, surtout en Italie où les grandes villes ont déjà des loges importantes. Les militaires de la grande armé entre dans les loges italiennes, ce qui contribue a une fraternisation avec les résidents, la carbonari/charbonnerie échappe au contrôle de Napoléon et donne une base de réseau à l'indépendance italienne. Les liens avec les États Unis sont très forts, Washington et Lafayette sont des francs maçons. La loge la plus

délibérée et rationnelle des Etats, Réné Jean Dupuy estime de la communauté internationale que c’est un « usage généralisé d’un concept au timbre rassurant qui tend à donner une vision euphorique du droit des gens, présenté comme l’instrument de la fraternisation et de la paix entre les peuples. ». Cela dit, à la différence dans l’ordre interne où c’est la communauté qui précède la société, dans l’ordre international, c’est la société qui précède la communauté. Aussi revient-il de s’interroger sur les

l’individu et le déshumanisent. 3ème idée : une déshumanisation du combat - Des actes de fraternisation entre combattants ont lieu, des trêves tacites interviennent. - Cela dit, la longueur et la dureté du conflit dévoilent (ou créent ?) chez certains combattants le goût, voire le

commande la nature, la forme et la durée des hostilités : deux nations peuvent s’affronter sans que les soldats de chaque camp ne nourrissent une détestation farouche de leurs ennemis, ce qu'ont montré en 1917, au grand dam des états-majors, les fraternisations spontanées entre les tranchées pour un Noël éphémère. Comme l’écrit Rousseau dans Du contrat social, « la guerre n’est donc point une relation d’homme à homme, mais une relation d’État à État, dans laquelle les particuliers ne sont ennemis qu’accidentellement