Fraternisation

traditionnelles et à l’enfantement. Dès noël 1914, des premières fraternisations eurent lieu entre soldats Allemands sortant de leurs tranchées et des Français et des Britanniques sortant des leurs pour des rencontres amicales. En avril 1917, l’offensive irresponsable du Général Nivelle au Chemin des Dames se soldera par 180.000 morts et son limogeage en mai : des mutineries de produisirent en grand nombre, voire des tentatives de fraternisation, de soldats épuisés par des attaques à répétition pour gagner

soldats fidèles aux tyrans, plus de gloire militaires S ils s'obstinent, ces cannibales À faire de nous des héros, Ils sauront bientôt que nos balles Sont pour nos propres généraux Ainsi, plus de cannibalisme , plus d exploitations, la fraternisation est de mise . L auteur condamné brutalement les chefs de l 'Armée. Cette strophe à fait coule beaucoup d ancré comme l affirme Perridier dans son ouvrage la commune et les artistes . " Ah ! Pauvre Pottier, qu est ce que ce couplet ne lui a pas

1917 à la victoire des alliés 1- Les crises de l’année 1917 En 1917, la lassitude des conflits atteint les populations les mouvements d’indiscipline se multiplient sur tous les fronts (mutinerie, désertion, mutilation volontaire, et scène de fraternisation) à l’arrière les grèves se multiplient en raison des pénuries de la vie chère des mauvaises conditions de travail etc., les femmes sont souvent au premier rang des manifestations. Cette lassitude s’accompagne d’une poussée pacifiste en France

WW1 proclame l’apogée d’une civilisation technique (plus d’héroïsme ni de courage). On invente également la guerre chimique (gaz moutarde) , avec la mitrailleuse (impossibilité d’avancer à pied pour les soldats). Il y a eu des tentatives de fraternisation, avec des groupes de soldats qui tenté d’avoir un minimum de rationalité dans leur combat. Les soldats dans les tranchées se rendent compte que les ennemis ne sont pas les soldats en face d’eux mais les dirigeants, les hautes sphères. Le groupe

instaure un régime dictatorial appelé « communisme de guerre ». Les caractéristiques de ce régime communiste sont détaillées dans les thèses d’avril de 1917 de Lénine. Il se déclare contre la guerre et préconise un arrêt immédiat de la celle-ci par fraternisation. Il se dit contre le gouvernement provisoire et contre une république parlementaire, mais pour un pouvoir révolutionnaire aux bolcheviks. Enfin, il demande la nationalisation des terres et des entreprises. Lénine, visionnaire, cherche à étendre

traumatismes de l'expérience combattante. La culture de guerre, la solidarité, le soutien entre compagnons d'arme et la nécessité d'obéir aux ordres peuvent expliquer pourquoi ils continuent le combat sans vraiment se révolter. Dans ce contexte, les fraternisations entre combattants des deux camps (noël 1914) sont rares et étonnantes. • Le retour à la vie civile est complexe, d'autant plus que la psychiatrie de guerre est presque inexistante. La pression et la violence permanente peuvent les pousser à

acariâtre et dur. En face, première victime, Matti Altonen, le valet qui, à l'inverse du valet traditionnel soucieux de ses seuls intérêts, souhaite avant tout rester lui-même et pouvoir ainsi se préserver de la cruauté comme des tentatives de fraternisation de son maître. Il comprend que sous l'effet de l'alcool, son maître Puntila s'avère plus redoutable encore puisqu'il arrive à manipuler ceux qu'il domine. Matti est un prolétaire doté d'un solide bon sens. Puntila est un propriétaire orgueilleux

des valeurs et pour se protéger mutuellement.. La deuxième est celle de Rousseau qui soutient lui la théorie selon laquelle ils étaient contraint à participer à cette guerre sous peine de se faire fusiller. Le noël de 1914 fût particulier, une fraternisation eut lieu entre soldat français et soldat allemand ce qui montre la nature de ce combat non consenti par la plupart des combattants. Puis, il y eut les mutineries qui se définissent par le refus de monter au front par un soldat, désertions, actes

Vichy). 1 - L’échec de la IIème République : * Dans un premier temps, la République qui naît de la Révolution de 1848 associe principes de démocratisation politique à principes de démocratisation sociale. Cela se traduit par des scènes de fraternisation de la Bourgeoisie avec le monde ouvrier contre la Monarchie. * Cependant, très vite, le non-respect de ces principes de départ aboutit à des émeutes sévèrement réprimées qui marque le divorce entre classes laborieuses et bourgeoisie au

donc, que l’on a suivi une partie de sa scolarité en Allemagne, comme le fait Céline des lignes 10 à 14, c’est chercher à provoquer le sentiment commun. Suggérer la possibilité d’une amitié (« venir nous parler d’abord » l.14 fait songer aux fraternisations qui ont parfois eu lieu pendant la première guerre mondiale) ou au moins d’une non-agressivité entre les peuples semble encore plus fou à l’époque. 1.2 Un lâche D’autant que c’est en grande partie une peur assumée qui conduit le narrateur-personnage