Frédégaire

envoyés qui viennent d’Angleterre. CHAPITRE II LES PRINCES CAROLIGIENS ET LA CULTURE 1. Avant Charlemagne La cour de Charles Martel est très cultivée. Ex : son frère Childebrand fait composer la « Geste des Francs », suite de l’œuvre du Pseudo Frédégaire, c’est l’époque de l’écriture du Liber Historiae Francorum. Pépin et son frère Carloman réforment l’Eglise franque → surtout régénération morale et rétablissement de la hiérarchie mais aussi contrôle par l’évêque de l’instruction des clercs et de

DU MOYEN ÂGE Les origines. – on n’a jamais cessé d’écrire l’histoire, même dans les temps les plus troublés. – Aux VIe et VII e siècles, nous trouvons des rédactions latines, dont les plus célèbres sont celles de Grégoire de Tours (595) et de Frédégaire (660). Dans les couvents, on enregistre les faits et l’on compose au jour le jour des Chroniques, qui aboutissent, au XIIIe siècle, aux Grand Chroniques de Saint-Denis, dont la collection complète nous mène jusqu’à Louis XI. – D’autres part, on

siècle (les pippinides). La principale source de la période sont les écrits de Grégoire de Tours qui s'attache à prouver que les Francs sont les seuls légitimes à prendre la succession de l'Empire Romain. Au VIIe siècle la seule source est celle du Frédégaire puis au VIIIe siècles les nouvelles sources tendent à déprécier le pouvoir mérovingien en faveur des carolingiens. 1. Le règne de Clovis de 482 à 511Il succède à Childéric mort en 481 en se disant descendant des ancêtres légendaires du peuple franc

potestas parce que s’il est confronté à un problème qui ne peut être résolut par la loi, il doit faire appel à Charles Martel qui seul est détenteur de l’auctoritas.  Cette mission permet à Charles Martel d’être considéré dans les chroniques de Frédégaire comme princeps. Il est donc vu comme le protecteur de l’Eglise, il est amené à intervenir sur les évêchés, les monastères et les biens de l’Eglise.  Cela permet également de comprendre l’origine de la vassalité. Il est protecteur des monastères

carolingiens et les califes abbassides et omeyyades[modifier] Elephant blanc offert par le calife Hâroun ar-Rachîd à l'empreur CharlemagneMalgré des débuts tumultueux, les premiers contacts diplomatiques ne tardèrent pas. Déjà en 768, le Continuateur de Frédégaire rapporte que plusieurs ambassadeurs du calife abbasside passent l'hiver à Metz afin de rencontrer le roi Carloman Ier avant de regagner le Moyen-Orient les bras chargés de présents. Trois décennies plus tard, Charlemagne soucieux de préserver

Les uns et les autres étaient également des officiers militaires et civils : toute la différence était que le duc avait sous lui plusieurs comtes, quoiqu'il y eût des comtes qui n’avaient point de duc sur eux, comme nous l'apprenons de Frédégaire . On croira peut-être que le gouvernement des Francs était pour lors bien dur, puisque les mêmes officiers avaient en même temps sur les sujets la puissance militaire et la puissance civile, et même la puissance fiscale: chose

Mais elle y est également présente sous une forme en quelque sorte dédoublée, déplacée, jumelle : Rome est là, mais en miroir et en image. Dire, en effet, que les Francs sont aussi, comme 1 On connaît, depuis l’Historia Francorum du pseudo-Frédégaire (727) jusqu'à la Franciade de Ronsard (1572), au moins une cinquantaine de témoignages sur la légende de l'origine troyenne des Francs. Ou bien M. Foucault se réfère à cette tradition, ou bien il s'appuie sur un texte précis qui pourrait être

le catalogue de la Bibliothèque nationale. Annuaire de la Soc. française de Numismatique XVII (1893), 37-49. 698. E. GAMILLSCHEG, Romania germanica. Berlin, 1934, XVIII-435 pp. ; 1935, XIV-329 pp. ; 1936, XII-252 pp. 699. A. JACOBS, Géographie de Frédégaire, de ses continuateurs et des Gesta rerum Francorum. Rev. des Soc. sav. des Départements 2e sér. II (1859), 313-343. 700. A. JACOBS, Géographie de Grégoire de Tours. Le pagus et l'administration en Gaule. Paris, 1858, 157 pp. 701. A. JACOBS, Géographie