Frédégonde

ambitions féroces de deux reines qui sont Brunehaut et sa rivale Frédégonde, qui étaient très belles et Grégoire de Tour va écrire une histoire de France et il va parler de ces deux reines. En 613, c’était une femme la plus intelligente de son époque, mais elle finira très mal à 80, elle finira soumise à Clautère II. Puis il y a Frédégonde pas très aimé par les historiens, Grégoire de Tour, dressera un portrait terrible de Frédégonde, il dira « c’était une jeune fille aux manières élégante de belle

germaniques, dont les Francs, la femme est essentielle au clan et bénéficie alors de droits civils et politiques. Dans le droit barbare, la femme a toujours pu exercer des prérogatives de puissance publique. De nombreuses femmes, telles Clothilde, Frédégonde, Brunehaut, ont été régentes, parfois même reines, comme Bathilde. La loi salique regroupe les coutumes des francs saliens, elle consacre la légitimité de la vengeance personnelle (loi du talion) mais permet le rachat du crime commis. La loi

petit-fils de Clovis est Sigebert. Le concile de Paris en 614 veut améliorer cette situation en rétablissant la force des évêques. Il est réuni par Clotaire II, fils de Chilpéric (mort en 584) et roi de Neustrie. Clotaire II est aussi le fils de Frédégonde. A la mort de son père, il devient roi alors qu’il n’a que quelques mois. Sa mère devient alors régente et meurt en 597 alors que Clotaire II est a âgé de 13 ans. Brunehaut, femme de Sigebert peut alors accroître son pouvoir : elle contrôle l’Austrasie

fils : Chilpéric, Charibert, Gontran et Sigebert. Une guerre civile, Faide, éclate en (selon Guillot, c’est une sélection naturelle, l’issue est remportée par le plus fort). Elle éclate entre Chilpéric et Sigebert. Ils sont mariés avec deux sœurs, Frédégonde (femme Chilpéric) est tuée par Chilpéric. Brunehau pour venger sa sœur pousse le roi Sigebert pour entrer en guerre contre Chilpéric, commence la Faide. En 613, fin de la Faide. Il ne reste plus que Clotaire II et son fils Dagobert, le royaume est

notamment par leurs mariages avec les souverains francs. La première d'entre elle est Brunehaut (princesse wisigothique) mariée à Dagobert roi d'Austrasie qui va gouverner au nom de ses fils et petits fils de 575 à 613. En face d'elle se trouve Frédégonde, reine de Neustrie de 568 à 597, elles vont se vouer une haine féroce qui aboutira en 613 à l'écartèlement de Brunehaut à 83 ans pour avoir « fait assassiner plus de dix rois ». Il va y avoir une rivalité importante entre l'Austrasie (et sa capitale

irrationnelles. + Le serment purgatoire : C’est un serment fait par l’accusé. Il jure qu’il est innocent et est assisté de co-jureurs (pas du tout des témoins) qui sont des garants de la moralité de l’accusé. En 568, le Roi Chilpéric a une maitresse appelée Frédégonde. Donc elle va être accusée d’adultère. Elle va utiliser le serment purgatoire pour se disculper du soupçon d’adultère. Elle est assistée de 300 co-jureurs et de 3 évêques. Après le procès elle fait assassiner l’épouse du Roi et se marie avec lui

(avide de pouvoir) de deux reines : Brunehaut et sa rivale Frédégonde, deux reines magnifiques. Grégoire de Tours, grand chroniqueur des merovingiens (évêque de Tours et historien) va rédiger : l’histoire des Francs au VI s. Il raconte de Brunehaut (portrait flatteur de la reine d’Austrasie car elle été sa favorite) : « C’était une jeune fille de manière élégante, belle de figure, honnête et de bon conseil ». Et il raconte de Frédégonde (qu’il n’aimait pas) : « son influence est néfaste ». Il

de Clovis : les relations sont fragilisées, et mènent à de nombreux assassinats au sein même de la famille, dans lesquels les concubines et épouses jouent un grand rôle (= faide). Cela dégénère en guerre civile entre 575 et 613 entre Brunehaut et Frédégonde. Ces fragilisations ont mené le royaume à partager avec les nobles. Au début du VII ème siècle règne Clotaire II, et son fils Dagobert (629 – 639) apparaissent comme des règne d'unité, ils s'appuient sur les aristocraties locales, et ils sont assez

a ainsi « trois frances », dont les frontières évoluent au fil des luttes entre les fils de Clotaire 1er. 
On peut noter une lutte particulièrement notable restée dans les chroniques mérovingiennes, qui opposa Chilpéric de Neustrie (et sa reine Frédégonde) à Sigebert d’Austrasie (et Brunehaut) pour la conquête de l’unité du pouvoir. 
Ce duel laisse parfois oublier un autre combat, entre l’aristocratie et la royauté : à trop se concentrer sur la conquête du trône, les monarques mérovingiens oubliaient

épouse dans les actes quotidiens, on trouve cela dans les écrits de Grégoire de Tours rapporte que Frédégonde, 3ème femme de Chilpéric 1er avait consenti des donations importantes à sa fille et que ces biens lui appartenaient en propre car ils étaient le fruit de son travail. On a vu des femmes régner sur le royaume à la place du fils mineur, inaugurant le principe de la régence, Brunehaut, Frédégonde. Cela signifie aussi qu’en règle général le mari ne peut pas aliéner seul les biens de la dot, chez