Frédéric II

Raffaello Santi ou Sanzio, dit Raphaël, peintre italien de la Haute Renaissance, est le fils du peintre Giovanni Santi, peintre et poète officiel de la cour du duc d'Urbino, Frédéric III de Montefeltro, l'un des princes les plus célèbres et protecteur des arts de la Renaissance en Italie et de Màgia di Battista Ciarla. Il naît en 1483 à Urbino qui est alors un foyer artistique réputé à l’aube du XVIe siècle[1]. Formation D'après Giorgio Vasari, Raphaël aurait été initié dans l'atelier de son

l’Académie française. En 1750, de nouveau non désiré à la cour, il part séjourner à Berlin, pendant 3 ans, en réponse à l’invitation de Frédéric II de Prusse. En effet, les soutiens des souverains d’Europe (comme celui de Catherine II de Russie), qu’il obtenait par flatterie, lui étaient utiles pour combattre l’Eglise catholique. En 1755, mal aimé de Frédéric II, il s’installe aux « Délices » à Genève. Une fois de plus en conflit, il s’établit dans son château de Ferney en 1760. De là, à la frontière

vocabulaire des Lumières. Voltaire et d'autres philosophes, qui affectionnaient l'idée du roi philosophe éclairant le peuple d'en haut, accueillirent avec enthousiasme l'apparition des soi-disant despotes éclairés, dont Frédéric II de Prusse, Catherine II la Grande de Russie, et Joseph II d'Autriche. 6 LES SOURCES DE LA RÉVOLUTION Vers la fin du XVIIIe siècle, des changements importants se produisirent dans la pensée des Lumières. Sous l'influence de Rousseau, le sentiment et l'émotion devinrent

depuis Genève, tandis que le discours sur l'origine de l'inégalité est paru à Amsterdam.   Les philosophes avaient recours à de grands mécènes : Voltaire eut l'appui de Frédéric II et du duc de Choiseul, derrière lui, on devine la marquise de Pompadour, qui abandonna cependant Voltaire, Diderot trouva appui auprès de Catherine II de Russie, et eut l'idée, un temps, de publier l'Encyclopédie de là-bas.   Les risques liés à la censure sont l'emprisonnement, l'exil : Voltaire, Diderot y furent contraints

époque, l’Angleterre est un pays européen qui a beaucoup d’avance en termes de démocratie. Le régime politique de ce pays est une monarchie parlementaire depuis le XIIIème siècle. Les nombreuses tentatives au XVIIème siècle (Charles Ier puis Jacques II), d’établir une monarchie absolue en Angleterre ont été contrées par le peuple. Depuis ces événements, l’Habeas Corpus puis la Bill of Rights obligent les rois à respecter les droits de leurs sujets : impossibilité d’emprisonner d’office une personne

jusqu'en 1888 puis par Frédéric III son fils pendant une période très courte car l'empereur mourra en 1888, puis par Guillaume II jusqu'à la fin de la première guerre mondiale, - l'empire austro-hongrois géré jusqu'en 1916 par François Joseph (le mari de la fameuses Sissi). A sa mort c'est Charles 1er de Habsbourg-Lorraine qui lui succèdera jusqu'à la chute de l'empire à la fin de la première guerre mondiale. - l'empire Russe dirigé de façon très autoritaire par Nicolas II de la dynastie des ROMANOV

1744-1755: A la cour des princes ~1756-1778: Voltaire s’établit à Ferney. Il va faire de cette petite ville du pays de Gex, un haut lieu de l’Europe intellectuelle. Il engage une correspondance avec plusieurs souverains : l’impératrice Catherine II de Russie, Frédéric II, les rois de Pologne, du Danemark et de Suède. De Paris, des personnages influents lui témoignent également leur soutien. Voltaire quitte Ferney le 5 février 1778. Retour triomphal à Paris. Voltaire meurt le 30 mai 1778 et est enterré presque

l'Encyclopédie. Leurs écrits sont censurés et brûlés. Des monarques Européens acceuillent des philosophes, ce sont des despotes éclairés, autrement dit des souverains autoritaires influencés par les philosophes des lumières. Joseph II de Habsbourg, Frédéric II de Prusse ou Catherine II de russie (qui acceuil voltaire) sont des despotes éclairés. (sauter 2 lignes) Domaine religieux L'église L'église aussi condamne la pensée des lumières. Pourtant la majorités des philosophes croient en dieu

depuis Genève, tandis que le discours sur l'origine de l'inégalité est paru à Amsterdam.   Les philosophes avaient recours à de grands mécènes : Voltaire eut l'appui de Frédéric II et du duc de Choiseul, derrière lui, on devine la marquise de Pompadour, qui abandonna cependant Voltaire, Diderot trouva appui auprès de Catherine II de Russie, et eut l'idée, un temps, de publier l'Encyclopédie de là-bas.   Les risques liés à la censure sont l'emprisonnement, l'exil : Voltaire, Diderot y furent contraints

Controverse Frasque : Inconduite, dévergondage, perversion, extravagance, impudicité, dépravation, écart   * Monarchie belge : Connaissons-nous vraiment notre monarchie, et la vie de ceux qui nous « gouvernent » ? * Le roi Albert II  La veille du mariage de Philippe, le prince héritier, et de Mathilde, un livre de Mario Danneels, un jeune flamand âgé de 18ans à l’époque, révèle l’existence d’une fille secrète du roi Albert. Delphine Boël est née d’un amour illégitime entre