Frederik de Klerk

nationales non raciales de l'histoire du pays. Après vingt-sept années d'emprisonnement dans des conditions souvent très dures, Mandela est relâché le 11 février 1990, et soutient la réconciliation et la négociation avec le gouvernement du président Frederik de Klerk. En 1993, il reçoit avec ce dernier le prix Nobel de la paix pour avoir conjointement et pacifiquement mis fin au régime d'apartheid et jeté les bases d'une nouvelle Afrique du Sud démocratique. Impliqué par la suite dans plusieurs associations

1985, le régime Botha abolit la loi sur les laissez-passer et celle qui interdit les mariages mixtes. - Frederic De Klerk libère Nelson Mandela et met fin à l’apartheid Début 1989, devenu président de l’Afrique du sud, Pieter Botha, malade, démissionne et est remplacé par Frederik De Klerk. En quelques années l’Afrique du sud va changer du tout au tout. Frederik de Klerk frappe l’opinion par une série de décisions étonnantes : la légalisation immédiate de l’ANC il invoque la chute du mur

(ce qui soulage les anglais). -La venue au pouvoir en 1990 de Frederik de Klerk, conscient des effets néfastes de ce régime sur l’économie de l’Afrique du Sud, a du prendre de nombreuses mesures qui menèrent tout doucement à la fin de la ségrégation raciale et à la libération du noir Nelson Mandela. Il a négocié et ensuite l’abolition de l’apartheid est survenue. - En 1994, Mandela est devenu Président de la République et de Klerk vice président (ils ont eu le prix Nobel de la paix en 1993)

perpétuité pour terrorisme. Il s'agit de Nelson Mandela. En 1966, après des conflits entre l'ANC et le gouvernement au pouvoir, le premier ministre Hendrik Verwoerd fervent acteur de l'apartheid est assassiné. Puis en 1990, le nouveau président Frederik de Klerk, légalise l'ANC, le parti communiste sud-africain et tous les gouvernements politiques noirs, il libéra Nelson Mandela. C'est en 1991 que le gouvernement abolie les lois restantes de l'apartheid. C'est donc aux élections suivantes du 27 avril

notamment que les Afrikaners sont le cœur de la nation blanche d’Afrique du Sud, préfèrent tenter l’ouverture politique vers la majorité noire du pays sous le précepte que l’Afrikaner doit s’adapter pour survivre. C’est un Afrikaner, le président Frederik de Klerk, qui met finalement fin non seulement au système d'apartheid mais aussi à la domination politique des Blancs sur le pays, approuvé par une consultation référendaire auprès de la communauté blanche le 17 mars 1992. En 1994, le partage du pouvoir

l'abrogation de lois symboliques de l'apartheid comme le passeport intérieur interviennent en 1986 sans pour autant endiguer les manifestations de l’ANC et l’opposition de la communauté internationale. En 1990, le nouveau président sud-africain, Frederik De Klerk, légalise l'ANC, le parti communiste sud-africain et tous les mouvements noirs. Nelson Mandela est libéré. En juin 1991, le gouvernement abolit les dernières lois de l'apartheid et entame un processus de transition constitutionnelle. Le 27 avril

selon des critères raciaux. L’Afrique du Sud mit en place à partir de 1948 légalement des lois séparant les Noirs et les Blancs. Pour avoir pacifiquement mis fin à la politique d'apartheid et entamé des négociations politiques, Nelson Mandela et Frederik de Klerk reçoivent le Prix Nobel de la paix en 1993. L'apartheid a également été appliqué de 1959 à 1979 dans le Sud-Ouest africain (actuelle Namibie), alors administré par l'Afrique du Sud. 3. Le discours de Martin Luther King : « I have a dream »

intervient sur tous les fronts mondiaux avec l’aide de l’ONU, que ce soit avant ou après la fin de la Guerre Froide. Afrique du Sud : Il participe au démantèlement de l’apartheid sud-africain en rencontrant, séparément, le président Frederik de Klerk et Nelson Mandela, et le 10 juillet 1991, le président américain lève les sanctions frappant l’Afrique du Sud. Amérique Latine : On assiste à une démocratisation de l’Amérique Latine : - Avec l’aide des services américains, le 25 juillet

Ainsi, lors de la première élection multiraciale en 1994, des électeurs blancs, certes encore marginaux, à peine 2 %, ont apporté leur suffrage à Nelson Mandela. Mais, fait plus significatif, 70 % des Métis et 90 % des Indiens se sont portés vers Frederik de Klerck. Et cinq ans plus tard, les partis considérés comme blancs (le NNP et le Parti démocratique) ont su, au Natal, attirer une grande part de l’électorat indien. De même, une bourgeoisie noire et indienne apparaît progressivement, partageant

populations selon leur race ou leur ethnie dans des zones géographiques déterminées. Il fut conceptualisé et mis en place à partir de 1948 en Afrique du Sud par le Parti national, et abolie le 30 juin 1991 sous l’influence de Nelson Mandela et Frederik de Klerk. La politique d'apartheid se voulait l'aboutissement institutionnel d'une politique et d'une pratique jusque là empirique de ségrégation raciale (le baasskap et le colour bar), élaborée en Afrique du Sud depuis la fondation de la colonie du Cap