Frederik de Klerk

de nos concitoyens et leurs dirigeants politiques, démocratiques, religieux, féminins, jeunes, économiques, traditionnels et autres pour parvenir à cette conclusion. Et parmi eux se trouve notamment mon second vice-président, l'honorable Frederik Willem De Klerk. Nous aimerions également rendre hommage à nos forces de sécurité, tous grades confondus, pour le rôle distingué qu'elles ont joué en protégeant nos premières élections démocratiques et la transition vers la démocratie des forces sanguinaires

question de son identité afrikaner, qu’il a dépassée depuis un demi-siècle. Il révèle que les Afrikaners se considéraient comme «une petite bande d’Israélites entourés par un noir océan de païens». Il indique qu’il croisa à l’université le jeune Frederik de Klerk, futur président, et l’expédie en des termes peu complaisants : «Son trait le plus frappant semblait être un grand désir de plaire et une certaine propension, voire une promptitude certaine, à s’abaisser bien bas pour y parvenir.» Il prit conscience

sur le plan diplomatique, seul Israël continuant à collaborer dans le domaine militaire et celui de la sécurité. En 1984, est formé un Parlement tricaméral ouvert aux Indiens et aux métis. Aussi, en 1990, le nouveau président de la République, Frederik de Klerk, décide de légaliser l’ANC, le parti communiste sud-africain et tous les mouvements nationalistes noirs et de libérer leurs dirigeants, dont Nelson Mandela, emprisonné depuis 1963. Les dernières lois de l’apartheid sont abolies en juin 1991.

libres sous l’égide de l’ONU. Mais fragilité. 1993 : 1ères élections libres sous le contrôle de l’ONU Afrique du sud : Aggravation des conflits raciaux ; sanctions économiques contre l’Afrique du sud. En 89 : remplacement du président Botha par Frédérik de Klerk ; libération du chef historique de l’ANC, Nelson Mandela. Démantèlement de l’Apartheid en 1991. 1994 : 1ères élections multiraciales qui porte Nelson Mandela, président. Amérique Latine : Cessez-le-feu au Nicaragua et élections libres (la

de nos concitoyens et leurs dirigeants politiques, démocratiques, religieux, féminins, jeunes, économiques, traditionnels et autres pour parvenir à cette conclusion. Et parmi eux se trouve notamment mon second vice-président, l’honorable Frederik Willem De Klerk. Nous aimerions également rendre hommage à nos forces de sécurité, tous grades confondus, pour le rôle distingué qu’elles ont joué en protégeant nos premières élections démocratiques et la transition vers la démocratie des forces sanguinaires

mis dans des bantoustans: états Noirs autonomes. L’après apartheid: de la ségrégation raciale à la ségrégation sociale: Les émeutes raciales finissent par une transition assurée à la fin des années 80 par le président de le république, Frederik de Klerk. Il prend conscience que la ségrégation institutionnelle ne peut plus durer et est poussé par la communauté internationale à mener des réformes sur ce régime. Il va donc démanteler les lois d’apartheid: entre 89 et 96 il va supprimer les lois

au pouvoir de Frederik DE KLERK (ANC), où la transition va se faire entre le régime de l’Apartheid et le régime actuel. L’ANC est légalisée en 1990, MANDELA est libéré de prison. 1991 : abrogation des dernières lois ségrégationnistes. En 1992, la majorité des blancs approuvent ces réformes par référendum. 1994 : premières élections multiraciales, première élection présidentielle multiraciale avec l’arrivée au pouvoir de Nelson MANDELA avec 2 vice-Présidents (un blanc, Frederik DE KLERK ; un noir, Thabo

l'impossibilité d'imposer une séparation concrète absolue entre les différents peuples d'Afrique du Sud et de la réprobation internationale que cette politique rencontrait, les dernières lois d'apartheid ont été abolies en 1991 par le président Frederik de Klerk, lors de la période de transition vers l'établissement de la démocratie multiraciale en 1994. États-Unis (XXe  XXIe siècle) Article détaillé : Ségrégation raciale aux États-Unis. Après que la proclamation d'émancipation eut aboli l'esclavage

j’étais parti avec une délégation, pour le prix Houphouët Boigny. Comme j’étais le parrain de ce prix, le Président Houphouët Boigny avait insisté pour que j’aille moi-même présider la première cérémonie de remise du prix à Nelson Mandela, et à Frederik de Klerk. Comme l’avion de commandement était en maintenance, le Président Houphouët mit à ma disposition un Fokker. Ceux qui me connaissent bien savent que je ne supporte pas la climatisation. Aussi je fis vite d’attraper un rhume terrible, avec l’espace

H.E. Buntinx J.P.M. Diederiks M J Driesse Silvia van Duuren-Kristen C.M.A. Frederiks J.C. Gerritse José Geurts G. Gladines K.A. Gorter R.J. de Haan J. Halbertsma E.J. van der Haring F.G. Hellema C.H. Hens-Versteeg Y. F. Heerkens Y. Heijnen W.M. Hirs H. W. Hoek D. van Hoeken N. Hoeymans C. van Hof G.R.M. van Hoof M. Hopman-Rock A. Kap E.J. Karel Zoltan E. Kenessey M.C.O. Kersten M.W. de Kleijn-de Vrankrijker M.M.Y. de Klerk M. Koenen J.W. Koten D.W.Kraijer T. Kraakman Guuss Lankhorst W.A.L. van Leeuwen