Fresque De 1998 Ecole Primaire Au Cap

sécurisé ( qualifié de « havre » dans l'article) alors qu'il n'y a pas si longtemps ce même endroit accueillait des enfants afin de les torturer. L'endroit baptisé « maison de redressement pour jeunes délinquants » autrefois est aujourd'hui « une école ». Preuve de changement, l'endroit a été repeint afin de « l'humaniser ». L'auteur de l'article met en avant l'absurdité du moyen de changement qui a été employé, presque sur un ton ironique, en opposant deux passages de textes reprises de son article

l’interdisent. Par conséquent, ces enfants sont hébergés à l’école du Hogar à La Esperanza, ancienne maisons de redressement pour jeunes délinquants. Ces enfants sont pris en charge par l’association Solidarité Nouveau Monde qui a fait de cette école un lieu d’hébergement pour les clandestins mineurs. Ils reçoivent une éducation et des cours. Puisqu’ils apprennent l’espagnol et quelques matières de base. La carte joint à l’article nous permet de constater que la traversée est longue entre le

une photographie prise par Elisabeth Deliry Antheaume en 1998 au Cap, en Afrique du Sud. Cette photographie de type discriptif, est accompagné de notes d’information. Ces notes nous explique la photographie. Cette dernière montre un morceau de fresque, réalisé par des enfants d’une école primaire du Cap, sur le thème des droits de l’enfants. Le cadre de la photographie est horizontal dont la fresque est le seul élément. Sur cette fresque, on aperçoit tout d’abord ce jeune homme assis sur une chaise

qui le voyage c’est fini a l’école du Hogar car selon la loi espagnole ils sont trop jeunes pour travailler ou pour être expulsés (l’expulsion n’étant pas une solution !), cette école leurs permet de découvrir leurs nouvel environnement et d’être scolarisé certains même pourront prétendre a des études supérieures. Cette école remplace ce qui était avant une maison de redressement et accueille actuellement 109 jeunes, leurs parents ne sont pas tous satisfait que leurs enfants ne travaillent pas directement

photographie prise par Elisabeth Deliry Antheaume au Cap (ville d’Afrique du Sud) en 1998. La légende nous apprend qu’il s’agit d’une fresque constituée de plusieurs dessins d’élèves d’une école primaire sur le thème des droits de l’enfant. Nous pouvons apercevoir plusieurs éléments, nous allons les détailler et les analyser. Deux slogans contre les abus sexuels fait aux enfants apparaissent « stop abusing children » et « say no to children abuses » ; Le Cap étant une ville pauvre nous pouvons supposer

de vivres, et la mer très agitée. Au final, ils ils finissent à l'école du Hogar car selon la loi espagnole ils sont trop jeunes pour travailler ou pour être expulsés (l’expulsion n’étant pas une solution !). Ils se retrouvent scolarisés. Cette école remplace ce qui était avant une maison de redressement et accueille actuellement 109 jeunes, au grand désarroi de leurs parents ne sont pas tous satisfait que leurs enfants ne travaillent pas directement. Dans certaines familles africaines l’adolescence

appartiennent à «toute une école primaire » ; il s’agit donc d’écoliers entre six et douze ans, non d’enfants scolarisés dans une même classe. Cette disparité d’âges, sans doute voulue par l’instituteur qui a organisé l’activité, peut expliquer la différence d’allure entre des éléments assez naïfs et au tracé immature comme la fillette en suspension au-dessus de la fleur, et des éléments beaucoup plus aboutis, tel le personnage central. Ceci est corroboré par le terme fresque, lequel désigne souvent un

appartiennent à «toute une école primaire » ; il s’agit donc d’écoliers entre six et douze ans, non d’enfants scolarisés dans une même classe. Cette disparité d’âges, sans doute voulue par l’instituteur qui a organisé l’activité, peut expliquer la différence d’allure entre des éléments assez naïfs et au tracé immature comme la fillette en suspension au-dessus de la fleur, et des éléments beaucoup plus aboutis, tel le personnage central. Ceci est corroboré par le terme fresque, lequel désigne souvent un

aussi les familles à les envoyer là-bas. Il y a le risque qu’un jour ces jeunes soient envoyés dans d’autres province, étant donné la saturation des structures pour les accueillir. 1.2 Le second document est une fresque descriptive, dessinée par des écoliers d’une école primaire du Cap en Afrique du Sud, qui représente les envies auxquelles ils aspirent en tant qu’enfants, leurs droits et leur avenir. A la demande de leurs professeurs, ces élèves ont exprimé ce qu'ils entendaient par le droit des

Murs des écoles, école des murs en Afrique du Sud. Les institutions éducatives vues du dehors Élisabeth Deliry-Antheaume * L ’avènement de la démocratie en Afrique du Sud a progressivement fait oublier le caractère draconien des lois qui sévissaient sous le régime de l’apartheid 1 , un régime qui a légué un espace fragmenté [Foucher, 1991 ; Gervais-Lambony, 1997] et une société divisée. Il régissait non seulement la sphère privée, chacun devant occuper la place que Dieu et le système lui