Freud Descartes Liberté

Tout au long de son existence, l’Homme s’est battu pour acquérir sa liberté, pour pouvoir s’exprimer, faire valoir son opinion et encore aujourd’hui et dans son quotidien, il se doit de faire des choix. C’est à ce moment qu’une interrogation se forme : l’être humain est-il libre? Cette question peut être mitigé puisque d’un côté, l’homme a un véritable pouvoir sur son action de sorte qu’il en est responsable et de l’autre, il est déterminé à agir par des causes inconscientes. Certains pensent que

Loi de la nature = Déterminisme. > Une loi naturelle conditionne absolument un comportement ou un phénomène . La nature se joue du côté de l'instinct, de l'inée et de l'hérédité . L'INSTINCT EST ABSENT CHEZ L'HOMME . >On peut envisager comme Freud ou Nietzsche que l'Homme est un être de pulsions (agressivité, pulsions de mort). Les deux hommes reconnaissent en revanche qu'il appartient à l'homme de maîtriser ou de canaliser ses pulsions . L'Homme est un être de facultés qui ne se développent

âme ou que tu en sois de plus averti, voilà qui n'est pas la même chose.» dit Sigmund Freud, dans son Essai de psychanalyse appliquée, en 1920. Ici Freud émet une distinction entre la conscience et l'inconscience. Selon la philosophie moderne le psychisme désigne l'ensemble des caractères, conscient ou inconscient, qui constitue la vie psychique, mais plus particulièrement la pensée. D'après ses travaux Freud considère que l'inconscience du sujet fait partie du psychisme, « l'inconscient est le

d’inconscience évoquée par les philosophes avant Freud et le concept de l’inconscient émis par Freud reste floue. Faut-il confondre la notion d’inconscience au concept d’inconscient ? Dans un premier lieu, nous verrons la notion non-psychique de l’inconscient évoquée par les philosophes. Puis, nous aborderons l’inconscient selon Freud. Enfin, nous étudierons en quoi la notion d’inconscience et le concept de l’inconscient sont incompatibles. Avant Freud, le mot « inconscient » sert à désigner les

conscience parle, c’est la société qui parle en nous. » A travers notre conscience individuelle, nous obéissons aux règles d’une société qui nous dépasse et nous forme. - de la menace de châtiment qu’est pour l’enfant la perte de l’amour de ses parents : Freud, enfin, voit dans le Surmoi, c’est-à-dire ce qui, dans notre psychisme, est l’intériorisation forcée, imposée par la menace du châtiment suprême qu’est pour l’enfant la perte de l’amour de ses parents, des exigences et des interdits des éducateurs

La conscience est-elle une substance ?Contre l'indépendance de la conscience et du corps se sont élevés tous les matérialistes, à la suite de Gassendi, qui objectait déjà à Descartes: «Il vous faut prouver que ce corps grossier et pesant ne contribue en rien à votre pensée quoique néanmoins vous n'ayez jamais été sans lui... et partant que vous pensez indépendamment de lui» (Cinquièmes objections). La conscience est ainsi, selon lui, un effet étroitement dépendant du cerveau. Contre la permanence

croyances sont absurdes et donc à nouveau nos préjugés existe. il faut donc une méthode plus radicale pour les vaincre c'est ce que va proposer Descartes qui va mettre en doute toutes les idées qu'il a dans son esprit. Même les plus évidentes. De cette façon si certaines idées résistent au doute elles ne sont pas de simples préjugés mais des idées vraies. Descartes va mettre en doute les deux sources de nos idées : les sens, nous disent qu'il y a des choses autour de nous et comment sont ces choses,

L'hypothèse de l'inconscient doit alors être évoquée. Aussi, quelle conception de l'homme l'hypothèse de l'inconscient remet-elle en cause ? Être conscient de soi est-ce être maître de soi ? Qu'est-ce que l'hypothèse de l'inconscient ? Et comment Freud l'explique-t-il ? Enfin, remet-elle en cause l'hypothèse d'un sujet libre, conscient et responsable ? Être conscient de soi, est-ce être maître de soi ? La conscience de soi, c'est avoir conscience que l'on existe, que l'on pense, donc que l'on

(opinions, sentiments, caractères). Mon identité est déterminé en partie par mon histoire (lieu, époque de ma naissance). Mais nous ne sommes pas prêt à considérer que ces facteurs extérieurs nous déterminent totalement. On peut avoir une certaine liberté vis-à-vis de notre identité. En même temps peut être que les autres peuvent-ils mieux définir mon identité que moi-même? Effectivement les autres ont un point de vue + objectif sur moi-même tandis que moi je suis aveuglé par mes choix et mes actions

mythes, comme celui de Pandore ou celui de la création avec Adam et Eve, qui illustrent un acte plus ou moins inconscient. En effet d’après Freud, tout homme est composé de cet inconscient, instance psychique, à laquelle il n’a pas accès, possédant un mode de fonctionnement et des caractéristiques propres, et de nature à nous faire agir. Quant à la liberté, elle s’entend comme un libre arbitre, elle suppose que nous puissions choisir. Or, choisir c’est décidé en conscience : nous optons volontairement