Freud La Liberté Individuelle

société : Durkheim, à l’instar de Marx, y voit un produit de la société. « Quand la conscience parle, c’est la société qui parle en nous. » A travers notre conscience individuelle, nous obéissons aux règles d’une société qui nous dépasse et nous forme. - de la menace de châtiment qu’est pour l’enfant la perte de l’amour de ses parents : Freud, enfin, voit dans le Surmoi, c’est-à-dire ce qui, dans notre psychisme, est l’intériorisation forcée, imposée par la menace du châtiment suprême qu’est pour l’enfant

l’individu » (4). Aussi, comme l’a souligné Freud, l’intolérance est-elle inévitable, et cela d’autant plus que les cultures sont plus proches : « Dans les aversions et répulsions qui se manifestent de façon apparente à l’égard des étrangers qui nous touchent de près, nous pouvons reconnaître l’ expression d’un amour de soi, d’un narcissisme, qui aspire à s’affirmer et se comporte comme si l‘existence d’un écart par rapport aux formations individuelles qu’il a développées entraînait une critique

rapport à ma biographie que les autres semblent avoir de l’importance. L’autre comme médiation Hegel montre, dans sa « Dialectique du Maître et de l’Esclave », qu’une conscience ne se constitue qu’en obtenant d’une autre la reconnaissance de sa liberté, ce qui implique qu’elle lui soit supérieure. Comme cette exigence se forme simultanément dans les deux consciences, il en résulte un conflit, dont l’issue est la suppression d’une conscience en tant que telle, sa régression au rang d’outil (c’est

l’arrache et l’éloigne de lui-même , un rétrécissement de sa liberté et une dégradation de sa condition ou au contraire une réalisation et un accroissement de sa condition et de son humanité ? Afin de répondre à ces questions, nous verrons dans un premier temps dans quel mesure la socialisation procède à un éloignement de l’homme de son état primitif et donc de sa nature. Ensuite, comment cet séparation pourrait elle réduire sa liberté et mener a une dégradation de son état. Mais ,à contrario

« « Se libérer », est un verbe à la forme pronominale qui désigne un processus de libération, d’affranchissement, cela veut dire, se rendre libre. « Du passé », comprend ce qui a été vécu antérieurement, nous avons deux types de passé, le passé individuel, biographie personnelle et le passé collectif, l’histoire. La question est à voir, après ce découpage en plusieurs expressions, quelle signification peut on donner à l’énoncé saisi comme un tout? Il s’agit de savoir comment le sujet humain indéfini

la non science : si l’hypothèse ne peut être vérifiée par l’expérience, elle fait partie de la non science. Ex  : Il existe des théories qui ne peuvent pas être testées (=postulats) comme l’existence de Dieu, l’immortalité de l’âme mais aussi la liberté. On ne peut donc pour lui pas les considérer comme vraie. Il dit que le propre de la théorie scientifique est d’être réfutée car elle permet la discussion et ne s’impose pas ; On est libre de penser et de croire. SCHOPENHAUER : Il pense que même

des idées, des représentations et de la conscience, est d'abord directement et intimement mêlée à  l'activité matérielle et au commerce matériel des hommes : elle est le langage de la vie réelle." Karl MARX -  "Il est tel moment ou toute notre liberté se réduite à  la conscience de notre servitude." Jean Guéhenno -  "Je ne sais pas ce que peut être la conscience d'une canaille, mais je sais ce qu'est la conscience d'un honnête homme : c'est effrayant." Abel Hermant -  "Rien ne peut être

psychanalyse (théorie freudienne), a connu des développements très variés selon l’endroit où l’on se trouve. Il y a eu un développement fulgurant entre 1900 et 1950 puis à partir des 40, 50,60 d’autres courants sont nés. Publications de Freud surtout entre 1895 et 1930. Freud était très sur de lui, pour lui trois grandes découvertes comme la terre est ronde… Beaucoup de choses étaient marquées par la psychanalyse. Le modèle Freudien est construit sur deux piliers : l’inconscient et la sexualité enfantine

fondamentale : la naissance La psychanalyse permet d’aider à penser des problématiques. En psychanalyse on ne parle pas d’identité mais de personnalité Le sujet, la question du moi, je, le soi, identification et narcissisme. Fondateur de la psychanalyse : FREUD, la construction identitaire du sujet, méthode de recherche faisait suite au développement de la psychologie sociale, il aimait décrire le processus de tout le monde pour mieux appréhender ceux qui souffraient. Etudiant les personnes normales qu’il

l'espace Le présent et le néant La solitude Le suicide La vie et la mort l’énigme du libre arbitre que « l’homme est un être déterminé une fois pour toutes par son essence, possédant comme tous les autres êtres de la nature des qualités individuelles fixes, persistantes, qui déterminent nécessairement ses diverses réactions en présence des excitations extérieures [1]» Ainsi, Schopenhauer montre que l'action de chaque homme est régis à la fois par des motifs (qui sont extérieurs à l’homme