Freud Le Moi Et Le Ca

Les « topiques » freudiennes De nombreux textes de Freud dans le manuel scolaire – à lire ! Définitions On appelle « topique » la représentation sous forme spatiale, plus précisément sous forme de lieux ( du grec, topos : lieu ), des parties du psychisme humain. Cette représentation est purement métaphorique ( > d’où la critique de Karl POPPER : si la falsifiabilité ( ou réfutabilité ) définit la scientificité d’une théorie, alors la psychanalyse est hors de la science. La théorie ne

------------------------------------------------- FONDEMENTS THÉORIQUES DU FREUDISME Neurologue et psychiatre autrichien, nous pouvons dire que Freud est un naturaliste par sa profession qui se rattache sans aucun doute à la science. Il élabore plusieurs démarches scientifiques pour comprendre les maladies mentales, donc il cherche des réponses par hypothèses, par observation des faits. On peut donc affirmer que Freud se rattache à la conception naturaliste. Comme je disais un peu plus haut, il élabora plusieurs choses telles des

cadre de sa pratique médicale, Freud a observé que le comportement tout à fait incomprehensible de certains de ses patients s'éclairait à condition de supposer en eux une activité mentale inaperçue d'eux même. L'hypothèse que soumet Freud est d'abord du domaine scientifique, puis médical et finalement du domaine de la parole. Les patients qu'il a eu lors de ses psychanalyses, grâce à leurs histoires, il a pu développer sa thèse en s'appuyant sur des exemples concrets. Freud débute une carrière de médecin

La notion d'inconscient telle que nous la connaissons aujourd'hui est une découverte récente puisque nous la devons à Sigmund Freud (début du 20e siècle) mais ce n'est pas lui qui l'a inventé. L'inconscient est l'ensemble des faits liés à l'esprit et qui échappent à la conscience. L'hypothèse de l'inconscient a évolué au cours des siècles : nous parlerons de Freud, de ses précurseurs et de ses successeurs. I) Les précurseurs La philosophie classique n'a pas reconnu l'existence de l'inconscient

notre conscience n’est plus occupée à agir. 3) Un inconscient refoulé et dynamique Plus encore, nous agissons et nous nous comportons parfois sans que notre conscience puisse expliquer ces actions et comportements. Le père de la psychanalyse, Freud, montre que ces éléments sont le produit de refoulements. Ainsi, les rêves, les actes manqués (lapsus, oublis, maladresses … ) et les symptômes névrotiques (phobies, angoisses, inhibitions … ) seraient la réalisation indirecte et déguisée de désirs

souci, en si peu de séances, d’être exhaustive (si tant est qu’on peut l’être ; par ailleurs, la démarche diagnostique, comme toute démarche clinique, vous le voyez certainement en stage et vous vous en rendrez compte par la suite, ça se nourrit avec l’expérience, ça ne se construit pas “une fois pour toutes”). Au-delà des points de repères, j’espère avoir également pu faire passer que cette démarche relève d’une position, à savoir d’une position de non-savoir vis-à-vis du sujet : c’est parce

dois refonder l'édifice entier. » Méthode: le doute hyperdolique: « Je pensais qu'il fallait [...] que je rejettasse comme absolument faux tout ce en quoi je pourrais imaginer le moindre doute ». (Discours de la méthode, 1636) Il va écarter tout ça : _ ce que lui enseigne les sens Malin Génie _ les raisonnements des sciences _ certitudes de la vérité _ les vérités mathématiques « Il est impossible même si je me trompe ou si je suis trompé de douter que je doute et donc tant que

connaissons. Illusion des sens = quant les sens nous trompent Exemple: oasis en plein désert. Lorsque je doute de tout, que je ne crois plus en aucune vérité je peux toujours me fier à notre lutte. Car si je lutte c'est que j'en ai conscience. Ça s'appelle le « cogito ». Je ne peux pas douter que je pense. Le sujet se saisi comme celui qui pense dans l'acte même de penser. Ce qui signifie que chose est substantiel comme l'auteur de sa propre pensée. Sujet = sujet de sa pensé, chose qui

pour de grands penseurs ? En effet cette dichotomie entre l’homme conscient et sa mauvaise conscience rappelle étrangement la théorie freudienne. Effectivement lorsque Sigmund Freud étudie au XXe siècle le psychique humain, il découvre que l’homme possèderait trois consciences ; Le Moi, Le Ca et le Surmoi. Selon Freud, le Moi est la partie consciente du sujet, reflet de ce que celui-ci est en société, en quête de bonheur et qui aurait un mécanisme de défense rapidement déclenché dés lors que le

- Structure du psychisme : (moi ≠ ça ≠ surmoi) : Moi : instance du psychisme qui joue le rôle d’un médiateur entre le ça, le surmoi, et le monde extérieur. Surmoi : instance du psychisme qui incarne la loi et interdit sa transgression : il joue le rôle de censeur et de modèle/idéal. Ça : pôle pulsionnel de la personnalité, le ça est défini par l’absence de sujet cohérent. Principe de la cure psychanalytique : Pour Freud, être heureux, c’est parvenir à trouver