Freud Le Moi Et Le Ca

forment pas à un niveau conscient du psychisme, mais dans le ça, selon freud, le ça constitue (dans la seconde théorie de l’appareil psychique) le pôle pulsionnel de la personnalité. Sorte de réservoir chaotique et impersonnel de tendances ou « motions » contradictoires, le ça est défini de façon négative par l’absence de sujet cohérent, d’où le pronom neutre utilisé pour le désigner. C’est un grand réservoir de l’énergie psychique, le ça est amené à s’opposer à la fois au moi et au surmoi. Ses contenus

psychanalyse est Sigmund FREUD. Il est né le 6 mai 1856 à Freiberg en Moravie (aujourd’hui devenue République Tchèque) et il meurt à Londres, le 23 septembre 1939. Diapo 5 Il s’installe avec sa famille à Leipzig, puis à Vienne en 1860 où il va vivre jusqu’en 1938. Il fuit à ce moment-là, la menace nazie sous l’insistance répétée de Marie Bonaparte, qui était une de ces analysantes, et qui a amené la psychanalyse en France, au moment de la Seconde Guerre Mondiale. FREUD va entamer des études de médecine

avec Sigmund Freud, de qui il retiendra les concepts pour former sa propre analyse tout en s’en démarquant. Le concept mis en place par Kardiner dans son ouvrage L'individu dans la société est le concept de personnalité de base, que nous allons tenter de comprendre. Concepts freudiens du « Moi », du « Ca » et du « Surmoi » Pour commencer l’explication du concept de personnalité de base, il faut revenir la psychanalyse de Freud, et réexpliquer les concepts du « moi », du « ça » et du « surmoi »

Freud 1) Sur quoi le philosophe s’appuie-t-il pour élaborer sa pensée? Freud s’appuie sur la psychanalyse pour élaborer sa pensée. En effet, il utilise l’analyse des instances psychique de l’homme pour définir sa nature et la dissocier des mécanismes comportementales qui servent davantage à la survie en société. De par cette méthode, il décèle les malaises psychiques se reflétant dans l’état physique de ses patients. Pour Freud, c’est par cette étude appliquée que l’on peut faire le constat d’une

D'après la théorie de Freud sur la psychanalyse, l'inconscient est un maillage d'idées, de perceptions, d'émotions constituant le psychisme, influant sur nos conduites, et inaperçues par la conscience. Il ne s'agirait pas ici simplement de l'opposition à la notion de conscience mais d'une structure réactive et dynamique. Par exemple, un changement dans l'une des mailles provoqué par une perception pourrait entraîner des modifications sur une plus grande partie du psychisme. Pour Freud, l'inconscient est

l’esprit. On peut alors s’intéresser à l’analyse freudienne portant sur l’inconscience. Freud définit l’individu à travers le ça, le moi et le surmoi : le ça désigne les désirs primaires comme la faim, le surmoi correspond aux désirs réfrénés comme l’inceste et qui est la partie inconsciente et le moi qui est la partie consciente qui subit les pressions du ça et du surmoi. A partir de cela Freud montre que l’imagination est la manifestation de l’inconscience. L’imagination renvoie en fait

autre langue. Qui vient d’ailleurs, et par conséquent « je ne comprends pas » ; l’étranger me déroute souvent et provoque des sentiments de méfiance, d’inquiétude, de peur et parfois de mépris. Réflexion - l’inconscient : l’autre moi-même et « ça » parle (Lacan) - problème de l’histoire et de l’unicité de la personne. Je ne suis plus le même à 30 ans qu’à 10 ans, je joue différents personnages également. - Problème des relations de mon « esprit » et de mon « corps ». Ai-je, suis-je

sont immorales ? L’inconscient consisterait alors parfois en une sorte de mauvaise foi, un mensonge sur soi. => Sartre, l’Etre et le néant. Pour refouler une pensée ou une pulsion, il faudrait d’abord en avoir une forme de conscience. Mais, selon Freud, pour être efficace, le refoulement doit lui-même être inconscient. Il faut donc en même temps avoir et ne pas avoir conscience ; ce paradoxe constitue la mauvaise foi. Sartre soutient que la conscience est objectivement requise, mais subjectivement

Kien Kegaard, Il a fait un lien entre amour et répétition. Le phénomène de la répétition est central dans la clinique analytique ainsi que dans la psychologie générale. Freud va s'y penser scientifiquement et y revenir. Il va interroger le processus de répétition. Plus encore il pense que c'est un processus inconscient. Freud va donc essayer de conceptualiser la répétition. Lacan fait de la répétition, un des 4 fondamentaux de la psychanalyse. (Inconscient, pulsion, transfert, répétition) Dans

I Intro : Sigmund Freud est un philosophe du XIXème, Xxème siècle. Il a écrit de nombreux essais, tel que Introduction a la psychanalyse publié en 1916. C'est une séie de conférence où Freud nous expose ses idées et ses découvertes. Notamment sur la psychanalyse. Le texte étudié est le chapitre 18 de cet essai. Dans cet extrait Freud nous parle des trois grands démentis que la science a infligé à l'homme. Les grandes découvertes sur l'homme et le monde. Thèse : Freud soutient qu'il faut critiquer