Friche

fort déclin depuis les années 1950. Il ne reste plus aujourd’hui qu’une dizaine de maraîchers qui exploitent 25 hectares, le reste des hortillonnages s’étant progressivement transformé en terrains de loisirs et de résidences secondaires, ainsi qu’en friches qui sont occupées par de nombreuses espèces sauvages qui y nichent, s’y reproduisent ou s’y nourrissent : c’est un espace d’une grande richesse écologique. BOUVET RAHIMI SAGE - Enseignement de Paysage / D. Hernandez - ENSAPB 2011 Les hortillonages

| |Feuillus |196-255 | [pic] Cet histogramme ci-dessus représente la classe des herbacées. Il était difficile de déterminer cette classe puisqu’il y avait de la friche qui constituait aussi cette classe. De même que pour les terrains de golf, qui eux, ont une réponse différente en termes de valeurs qui ressemble un peu plus à la forêt mixtes à tendance feuillus et à la forêt de feuillus. [pic] L’histogramme

des techniques respectueuses de l’environnement et de la santé. Une nouvelles techniques apparait depuis peu, le pâturage avec des troupeaux mobiles au sein des espaces verts des communes. C’est un atout positif pour la réouverture de site en friche ou bien des sites inaccessibles avec des engins. Les animaux passent partout. La population est en contact avec les animaux et les accepte très bien : les animaux créent aussi du lien social, ce qui fait entièrement parti de la gestion différenciée

terre - jardin indiscipliné, moins organisé - mauvaises herbes • Jardin sauvage ou « discipliné » ? • Jardin rural ou jardin urbain ? RÉFLEXIONS SUR « JARDIN SAUVAGE OU DISCIPLINÉ ? » Ce que l’on entend par jardin « sauvage » : • Jardin sauvage = - Friche - Tout est mélangé,  multiplication de la diversité - Non discipliné mais cultivé Un jardin est sauvage mais dans l’organisation il peut rester réfléchi. • Jardin sauvage = « écosystème autonome » : il faut réserver un coin dans le jardin, mais pas

vastes étendues de forêt primaire (forêt tropicale humide) et de forêt secondaire. Cette dernière est constituée par la végétation qui repousse dans les jardins de taro, cultivés en général entre 1800 et 2 300 mètres et qui sont ensuite laissés en friche pour des périodes de quinze à vingt-cinq ans. Au-dessous de 2 000 mètres, la forêt cède une place de plus en plus importante à des savanes herbeuses qui, pour la plupart, sont la conséquence d'une pratique trop intense de l'agriculture sur brûlis

équipements. Et l’élargissement de la place commandant Maria. La ZAC Maria veut créer un lien entre la résidence de la Californie et le quartier de centre-ville Prado République. Villa des Bleuets : 5- Avant la ZAC Maria il y’avait une ancienne friche GDF qui était située en centre-ville. En 2008, les 1ers travaux d’aménagements ont permis de déplacer des lignes électriques et de les réunir dans une galerie technique qui traverse le site. De plus en 2010 Vinci immobilier promotion, a été choisi

à mesure de la succession familiale, des héritages, des partages… La France du Nord et de l’Est a connu aussi une situation d’open-field. D’autre part, les animaux passaient sur une zone périphérique jamais mise en culture. Ces terres toujours en friche s’appelaient « terrains communaux ». Cette vieille civilisation rurale de l’open-field est une civilisation communautaire : l’usage libre des communaux appartient à tous. De plus ces nombreuses petites parcelles ne sont pas closes et en réalité il

péri-centraux ou dans d’anciennes zones industrielles devenues friches (dans ce dernier cas toutefois, l’usage du terme gentrification est sujet à discussion, voir Davidson et Lees, 2004). Par ailleurs, comme dans les pays anglo-saxons, les artistes semblent jouer un rôle important. Ainsi, divers projets urbains récents montrent que la symbolique du squat d’artistes ou du lieu « alternatif » permet de retourner le stigmate de la friche industrielle en atout (Vivant, 2006b). Le rôle des artistes

discrètes et les vieux hameaux au nord-ouest du bois semblent être d’une autre époque.  Aux alentours, on constate la dominance d’exploitations agricoles ainsi que quelques serres maraichères, des vergers typiques de la région mais aussi des prairies en friche, quelques haies et un autre étang (étang du Paradis). Le bois est traversé d’un ruisseau, le nant de la Bistoquette. Coté nord-est, on aperçoit une zone résidentielle, qui s’étend ensuite jusqu’à la ville de Carouge. Invariants et cadastres fonciers :

années 70, on a assisté à la naissance d’espaces culturels qui échappent la logique culturelle de l’État et qui transforme la culture dans une expérience vraiment démocratique. C’est le cas des «friches culturelles», des espaces culturels autogérés par la société civile et nés de la reclassement urbaine de friches industrielles abandonnées. 1 MESNARD, A. H., L’action culturelle du pouvoir publique, Librairie Générale de Droit et de Jurisprudence, Paris, 1969, p.179. L’objet de cette dissertation