Frisson

dans l'herbe, sous la nue,
 Pâle dans son lit vert où la lumière pleut.

 Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme
 Sourirait un enfant malade, il fait un somme :
 Nature, berce-le chaudement : il a froid.

 Les parfums ne font pas frissonner sa narine ; 
Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine,
 Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit. Octobre 1870, Poésies Questions 1. Quelle est l’impression du lecteur quand il arrive pour la première fois sur le dernier vers

dans l'herbe, sous la nue, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme : Nature, berce-le chaudement : il a froid. Les parfums ne font pas frissonner sa narine ; Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine, Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit. Le Dormeur du val est un sonnet en alexandrins d'Arthur Rimbaud. Ce poème est le premier du second Cahier de Douai (le recueil Demeny)

Histoire de la maladie : Miriam a eu de la fièvre à 40° le 27/09 à 20h, mise sous doliprane/antalgique donné par la mère. S’est réveillé dans la nuit du 27 au 28/09 à 2h avec une cyanose péribuccale, les extrémités froides et cyanosées puis des frissons, en pleurs avec de la fièvre. Les parents décident d’aller aux urgences. Aux urgences, hyperthermique à 40°, antipyrétique donné. Bilan sanguin fait, montre une CRP a 25 (normale inférieur à 5) et des leucocytes a 28 000/ mm3 (normale de 7 000 à

Guy de Maupassant, LA PEUR On remonta sur le pont après dîner. Devant nous, la Méditerranée n'avait pas un frisson sur toute sa surface qu'une grande lune calme moirait. Le vaste bateau glissait, jetant sur le ciel, qui semblait ensemencé d'étoiles, un gros serpent de fumée noire ; et, derrière nous, l'eau toute blanche, agitée par le passage rapide du lourd bâtiment, battue par l'hélice, moussait, semblait se tordre, remuait tant de clartés qu'on eût dit de la lumière de lune bouillonnant

Dans le texte de Maupassant, il y a plusieurs sentiments qui se mélangent et qui s’opposent. Le personnage est à la fois heureux et malheureux. Il est envahi par des émotions contradictoires. Il ressent de l’excitation ( irrésistible désir – frisson – frémissement) et aussi de la colère (irrité affolé) jusqu’à en être énervé (énervement). Il ressent de la folie (obsédé) et cela lui fait peur (hanter). Pourtant il ressent de la joie (j’étais heureux) et de l’émerveillement (je la buvais -

DANS LES VALEURS NORMALES Observer : Coloration de la peau
 Extrémités ;rouges, froides, moites…
 Température corporelle de ce jour Frissons….. Demander : Si la personne est frileuse ou non |   |   La peau ne présente pas de rougeurs et n'est pas cyanosée. Les extrémités ne sont ni rouges ni froides, ni moites. 37,2°C Ne présente pas de frissons. La personne n'est pas frileuse. | 
EVITER LES DANGERS Observer : Son comportement : détendu, inquiet, angoisse
 Risques

la Chambre des députés, dont les bâtiments se font face. Le Palais-Bourbon figurera vraisemblablement comme la prochaine étape du parcours de l’arriviste. Du Roy savoure physiquement son triomphe : « Il sentait sur sa peau courir de légers frissons, ces frissons froids que donnent les immenses bonheurs. » Sa jouissance est semblable à celle que procure un trouble amoureux. Georges Du Roy éprouve sans doute un amour véritable pour Clotilde de Marelle, vers qui il revient toujours – après son mariage

poètesse britanique de langue francaise du courant parnassien de la belle époque. Ce poème est extrait du recueil Etudes et Préludes publié en 1901, dans ce poéme, un homme décrit ses changements d’ état à la vue de cette femme sublime qui le fait frissonner. A la femme aimée Lorsque tu vins, à pas réfléchis, dans la brume, Le ciel mêlait aux ors le cristal et l'airain. Ton corps se devinait, ondoiement incertain, Plus souple que la vague et plus frais que l'écume. Le soir d'été semblait un

Saint-Yves mais « l’Ingénu [...] vit les diamants [...] Son amante s’en aperçut; une pâleur mortelle se répandit sur son beau visage, un frisson la saisit, elle se soutenait à peine. Ah! madame, dit-elle à la fatale amie, vous m’avez perdue! vous me donnez la mort! » (p.79-80) Il est possible d’apercevoir un champ lexical de la mort avec les mots « pâleur mortelle », « frisson », « fatale », « perdue », « mort ». Pour la triste Saint-Yves, les diamants représentent son malheur puisque c’est Saint-Pouange

des frissons au réveil post-anesthésique : L’hypothermie retarde le réveil en abaissant la MAC (Monitored Anesthesia Care : suivi de soins d'anesthésie) des halogénés et fait apparaître une curarisation résiduelle au réveil. La dépense énergétique nécessaire au rétablissement de la normothermie majore la consommation en oxygène. Le frisson s’accompagne d’une hypercatécholaminémie et d’une vasoconstriction entraînant une augmentation de la pression artérielle et du débit cardiaque. Le frisson répond