Front d'onde

pour éviter les pertes * la lumière doit être émise suffisamment rapidement après le passage de la particule * son indice de réfraction doit être proche de celui des photocathodes des photomultiplicateurs (cf après), et la longueur d'onde de la lumière émise doit être le plus 25 proche possible de celle du maximum d'efficacité des photomultiplicateurs. Le matériau scintillateur doit pouvoir être facilement usinable et d'utilisation aisée II. Les matériaux scintillateurs Aucun

chimique o e e 13 13 13 3 Premi`re partie e Physique 1 Ondes m´caniques progressives e – D´finir : Perturbation, Milieu de propagation, Signal, Source, Amplitude, e C´l´rit´, Onde transversale, Onde longitudinale, Elasticit´, Front d’onde, ee e e Rayon d’onde, Homog`ne, Isotrope. e – Que se passe-t-il lorsque 2 ondes se croisent ? – Que se passe-t-il lorsque la signal arrive ` l’extr´mit´ du milieu ? a e e – Pour l’onde r´fl´chie, que se passe-t-il si l’extr´mit´ est fixe ? si l’extr´mit´ e

................................................................................................ 4 1.4.2 Période .................................................................................................................... 5 1.4.3 Longueur d'onde ...................................................................................................... 6 1.4.4 Ampleur .................................................................................................................. 7 1.4.5 Phase

fort séisme ne produit pas nécessairement un tsunami : tout dépend de la manière dont se modifie le niveau du plancher océanique aux alentours de la faille. Le déplacement d'eau se propage de proche en proche et crée un mouvement de grande longueur d'onde (généralement quelques centaines de kilomètres) et de grande période (quelques dizaines de minutes). Lorsque la cause du tsunami a lieu près d'une côte, celle-ci peut être atteinte en moins d'une heure ; on parle alors de tsunami local. Certains

................................................................... 4 MULTIPLEXAGE DE CODE : CDM .......................................................................................................................... 5 MULTIPLEXAGE EN LONGUEUR D’ONDE : WDM................................................................................................... 6 CHAÎNE DE TRANSMISSION.....................................................................................................................

écriture. - Les EPROM (Erasable Programmable Read-Only Memory) : mémoire pouvant être efface et reprogrammée. Cette fois ci, la puce possède une vitre permettant de laisser passer les ultra-violets. Pour des rayons UV d’une certaine longueur d’onde ceux ci reconstituent les fusibles, mettant tous les bits de la mémoire à 1. C’est cependant un processus contraignant, de plus c’est toujours laa totalité de la mémoire qui est effacée. La durée d’effacement et de réecriturre est assez longue et

Caméra IUT : Z1/Z7/V1/Ex3 Plan de branchement : Branchement Mic Mic+48 Line Input 1 Bouton Auto Manuel Ch1 Chanel Rear Front WjjMic Wireless Input 2 X X X X X X X X Rec/select Ch1 Ch1.Ch2 Mixette Sensibilité De 0 à 10 De 0 à 10 Ch2 X X Ch1 Ch2 x (X) x x (x) x x x III. Lumières 1. La longueur d’onde, valeur théorique et spectre 3 valeurs théoriques : - 3200°K  lumière artificielle (par ex : un lampadaire) - 4300°K  Eclairage néon

domaine des ondes électromagnétiques. Donner, sous forme d’encadrement, les limites chiffrées en nanomètres des longueurs d’onde du domaine visible. Préciser les couleurs aux limites. ᕢ Situer les domaines d’ondes suivants : rayons UV, rayons IR, rayons γ, ondes radio, rayons X, micro- ondes sur l’axe du schéma ci-dessous que l’on recopiera. On précise que l’échelle des longueurs d’onde n’est pas respectée. Visible λ ᕣ L’atmosphère absorbe certains rayonnements provenant de l’Univers. Citer un rayonnement

coefficient de non linéarité rapport des chaleurs spécifiques nombre de Goldberg (nombre de Reynolds acoustique) déformations radiale et tangentielle en coordonnées polaires viscosité de volume viscosité de cisaillement conductivité thermique longueur d’onde coefficient de poisson de la membrane (PVDF) masse volumique de l’air au repos masse volumique de la membrane (PVDF) contraintes radiale et tangentielle en coordonnées polaires variation de température potentiel de vitesse pulsation (ondes primaires)

pointe bretonne, à une profondeur de 3000 m, la houle s’est formée avec une longueur d’onde de 60 m. En utilisant le document 2, calculer la vitesse de propagation v1 de cette houle. En déduire sa période T. 1.4 Arrivée de la houle dans une baie. 1.4.1 Sur la photographie aérienne du document 3, quel phénomène peut-on observer ? Quelle est la condition nécessaire à son apparition ? 1.4.2 Citer un autre type d’onde pour laquelle on peut observer le même phénomène. II. Surfer sur la vague